Le portement de la Croix

« Ils réquisitionnèrent Simon de Cyrène pour aider Jésus à porter la croix » (Luc 23, 26). Comme Simon, Jésus appelle chacun de nous à l’aider à porter la croix, à contribuer à son salut et à celui de son prochain.

La prière d’abandon de Charles de Foucauld exprime sa disponibilité à aider Jésus à porter la croix du salut. En se livrant à la volonté du Père, il se fait imitateur du Fils dans son offrande de Lui-même. Il prend la croix et suit Jésus sans craindre la souffrance. Il est même prêt à l’accueillir et à l’offrir si cela concourt à la gloire de Dieu et au salut des âmes. Il écrit : « Je m’abandonne à toi, fais de moi ce qu’il te plaira. Quoi que tu fasses de moi, je te remercie.  Je suis prêt à tout, j’accepte tout. Pourvu que ta volonté se fasse en moi, en toutes tes créatures, je ne désire rien d’autre, mon Dieu. » Il s’agit pour lui de porter la croix dans les sentiments d’amour de Jésus pour le Père, pour les hommes. Cet amour de Jésus, il le rendra présent jusque dans l’adversité, jusqu’au martyre.

Seigneur Jésus, par Marie, par Charles de Foucauld, accordez-nous la grâce de nous donner à vous sans réserve, pour mieux nous donner à notre prochain.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

« Mon Père, je m’abandonne à toi, fais de moi ce qu’il te plaira. Quoi que tu fasses de moi, je te remercie. Je suis prêt à tout, j’accepte tout, pourvu que ta volonté se fasse en moi, en toutes tes créatures. Je ne désire rien d’autre, mon Dieu. Je remets mon âme entre tes mains. Je te la donne, mon Dieu, avec tout l’amour de mon cœur, parce que je t’aime, et que ce m’est un besoin d’amour de me donner, de me remettre entre tes mains sans mesure, avec une infinie confiance car tu es mon Père » (prière d’abandon de Charles de Foucauld).

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

Le Couronnement d’épines

« Tu l’as dit, je suis roi, dit Jésus à Pilate, mais ma royauté n’est pas de ce monde » (Jean 18, 37).

À moins d’une grâce particulière, personne n’aurait pu imaginer que le Messie tant attendu exercerait sa royauté d’une autre manière que celle des rois de la terre, qu’il consentirait à se laisser maltraiter, ridiculiser pour nous sauver de la mort éternelle.

Jésus est un roi d’humilité. Il règne par l’amour. Il ne cherche pas à soumettre mais accueille ceux qui viennent à lui. C’est par la Croix qu’il prouve son amour. La Croix et son amour sont indissociables.

Charles de Foucauld arbore le Sacré-Cœur sur son habit. Il le porte sur sa poitrine, sur son coeur, parce que sa préoccupation est de révéler l’amour de Dieu en imitant Jésus, qui a choisi de se donner pour chacun de nous. « Mon Dieu, voilà où vous a conduit votre Cœur, voilà où vous a conduit votre amour pour nous ! … Pourquoi êtes-vous là, mon Seigneur Jésus, si ce n’est parce que Dieu a tant aimé les hommes qu’il a donné pour eux son Fils unique et voulut qu’il souffrît ainsi pour le bien de leurs âmes ? »

Seigneur Jésus, par Marie, par Charles de Foucauld, accordez-nous la grâce de nous donner à vous sans réserve, pour mieux nous donner à notre prochain.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

« Mon Père, je m’abandonne à toi, fais de moi ce qu’il te plaira. Quoi que tu fasses de moi, je te remercie. Je suis prêt à tout, j’accepte tout, pourvu que ta volonté se fasse en moi, en toutes tes créatures. Je ne désire rien d’autre, mon Dieu. Je remets mon âme entre tes mains. Je te la donne, mon Dieu, avec tout l’amour de mon cœur, parce que je t’aime, et que ce m’est un besoin d’amour de me donner, de me remettre entre tes mains sans mesure, avec une infinie confiance car tu es mon Père » (prière d’abandon de Charles de Foucauld).

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

La Flagellation

La foule hurle : « que son sang retombe sur nous et sur nos enfants » (Matthieu 27, 25). Jésus exauce la prière de la foule mais selon son projet de salut : son sang retombera sur eux mais comme une source intarissable de bénédiction.

Rendre le bien pour le mal, devenir une source de bénédiction pour ceux qui l’approchent : c’est le programme de vie de Charles de Foucauld. Le mystère de la communion des saints le marque profondément notamment la phrase : « tout ce que vous aurez fait au plus petit d’entre les miens, c’est à moi que vous l’aurez fait » (Matthieu 25, 40). À une époque où la charité se pratique pour l’essentiel envers ses semblables, Charles multiplie les œuvres de miséricorde envers les musulmans.

Seigneur Jésus, par Marie, par Charles de Foucauld, accordez-nous la grâce de nous donner à vous sans réserve, pour mieux nous donner à notre prochain.

Prions

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O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

« Mon Père, je m’abandonne à toi, fais de moi ce qu’il te plaira. Quoi que tu fasses de moi, je te remercie. Je suis prêt à tout, j’accepte tout, pourvu que ta volonté se fasse en moi, en toutes tes créatures. Je ne désire rien d’autre, mon Dieu. Je remets mon âme entre tes mains. Je te la donne, mon Dieu, avec tout l’amour de mon cœur, parce que je t’aime, et que ce m’est un besoin d’amour de me donner, de me remettre entre tes mains sans mesure, avec une infinie confiance car tu es mon Père » (prière d’abandon de Charles de Foucauld).

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

L’Agonie au Gethsémani

Écoutons Jésus reprocher doucement à ses Apôtres, ceux-là même qui l’ont vu transfiguré : « vous n’avez donc pas pu veiller une heure avec moi ? » (Matthieu 26, 40). Il donne sa vie par amour pour ses amis et eux se laissent vaincre par le sommeil…. Il s’est chargé de tous nos péchés et le châtiment de toutes nos fautes est retombé sur lui.

Charles de Foucauld disait que Jésus a tellement pris la dernière place que personne ne pourra jamais la lui ravir. Cette dernière place étant prise par Jésus, Charles a pris l’avant-dernière afin de suivre l’exemple du maître. Il a renoncé à sa vie faite de confort et d’aisance pour se faire pauvre et ignoré, d’abord à la Trappe, puis au désert, dans un pays fermé au christianisme et hostile à toute autre religion que l’Islam. Mais il est avec Jésus et s’efforce de l’imiter dans son amour pour les hommes.

Au désert, il éprouve la solitude, la sécheresse, l’aridité dans la prière, le silence de Dieu comme Jésus au jardin des oliviers. Il écrit : « L’amour consiste non pas à sentir qu’on aime mais à vouloir aimer. Quand on veut aimer, alors on aime ; quand on veut aimer par-dessus tout, alors on aime par-dessus tout. » Il rejoint saint Jean de la croix : « quand on peut souffrir et aimer, on peut beaucoup, on peut le plus qu’on puisse en ce monde. On sent qu’on souffre. On ne sent pas toujours qu’on aime et c’est une grande souffrance de plus. Mais on sait qu’on voudrait aimer. Et vouloir aimer, c’est aimer. On trouve qu’on n’aime pas assez. Et c’est vrai : on n’aimera jamais assez. »

Seigneur Jésus, par Marie, par Charles de Foucauld, accordez-nous la grâce de nous donner à vous sans réserve, pour mieux nous donner à notre prochain.

Prions

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O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

« Mon Père, je m’abandonne à toi, fais de moi ce qu’il te plaira. Quoi que tu fasses de moi, je te remercie. Je suis prêt à tout, j’accepte tout, pourvu que ta volonté se fasse en moi, en toutes tes créatures. Je ne désire rien d’autre, mon Dieu. Je remets mon âme entre tes mains. Je te la donne, mon Dieu, avec tout l’amour de mon cœur, parce que je t’aime, et que ce m’est un besoin d’amour de me donner, de me remettre entre tes mains sans mesure, avec une infinie confiance car tu es mon Père » (prière d’abandon de Charles de Foucauld).

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

Les Mystères Douloureux

Les mystères douloureux nous font voir l’Apôtre Jean, le disciple bien-aimé, reposer sur le Cœur de Jésus.

Méditer les mystères douloureux, c’est comme donner à Marie l’opportunité de poser notre tête sur le Cœur de Jésus, pour qu’il nous soit donné de pénétrer ses pensées, de partager ses sentiments, de nous associer à sa Passion, pour la gloire de Dieu et le salut du monde.

Charles de Foucauld a cherché à rejoindre Jésus là où il est c’est-à-dire à la dernière place. Il a voulu être un autre Christ pour le rendre présent à son entourage. Il est tellement entré dans les sentiments de Jésus qu’on peut dire de lui, que toute sa vie il a reposé sur le Cœur de Jésus. Ce n’est pas un hasard, s’il choisit de porter sur sa poitrine l’image du Sacré-Cœur surmonté d’une croix. Ce n’est pas pour questions d’esthétique qu’il écrit en-haut de chacune de ses lettres : « Iesus caritas », Jésus est charité. Dans ce sens, il écrit à sa cousine, Marie de Bondy : « notre anéantissement est le moyen le plus puissant que nous ayons de nous unir à Jésus et de faire du bien aux âmes. »

Seigneur Jésus, par Marie, par Charles de Foucauld, accordez-nous la grâce de nous donner à vous sans réserve, pour mieux nous donner à notre prochain.

Prions

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O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

« Mon Père, je m’abandonne à toi, fais de moi ce qu’il te plaira. Quoi que tu fasses de moi, je te remercie. Je suis prêt à tout, j’accepte tout, pourvu que ta volonté se fasse en moi, en toutes tes créatures. Je ne désire rien d’autre, mon Dieu. Je remets mon âme entre tes mains. Je te la donne, mon Dieu, avec tout l’amour de mon cœur, parce que je t’aime, et que ce m’est un besoin d’amour de me donner, de me remettre entre tes mains sans mesure, avec une infinie confiance car tu es mon Père » (prière d’abandon de Charles de Foucauld).

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

La Résurrection de Lazare

« Jésus cria d’une voix forte : « Lazare, viens dehors ! » Et le mort sortit, les pieds et les mains liés par des bandelettes, le visage enveloppé d’un suaire. Jésus leur dit : « Déliez-le, et laissez-le aller » (Jean 11, 43-44).

Dès lors que nous ne laissons pas le Christ illuminer nos vies, elles deviennent tristes et sombres. Nous nous donnons l’illusion du bonheur en jouissant des plaisirs de la vie. Mais ils nous laissent un goût amer, un sentiment d’insatiété. Nous ressemblons à des sépulcres blanchis.

Le Christ nous invite à sortir de nos tombeaux pour retrouver la pleine lumière de la foi, la vraie vie en Dieu. Pour cela, répondons à son appel à la conversion.

Avant sa conversion, Charles mène une vie de patachon. Comme saint Augustin, il connait les plaisirs charnels, les distractions mondaines. Tout cela ne le satisfaisait pas. En recouvrant la foi, il opte pour une vie tissée de renoncement, d’austérité, de pauvreté (qu’il ne jugeait d’ailleurs jamais assez radicale). Mais quelle vie de contemplation ! Quelle richesse intérieure ! Il a trouvé le seul vrai trésor : Jésus-Christ ! Il dit souvent : « Jésus suffit », « là où est Jésus rien ne manque. » Sa toute dernière photo, notamment ses yeux, nous le montre habité d’une grande paix intérieure, le cœur comblé par l’amour qu’il donne et qu’il reçoit. Heureux Charles ! Heureux saint Charles !

Seigneur Jésus, par Marie, par Charles de Foucauld, accordez-nous la grâce de nous donner à vous sans réserve, pour mieux nous donner à notre prochain.

Prions

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O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

« Mon Père, je m’abandonne à toi, fais de moi ce qu’il te plaira. Quoi que tu fasses de moi, je te remercie. Je suis prêt à tout, j’accepte tout, pourvu que ta volonté se fasse en moi, en toutes tes créatures. Je ne désire rien d’autre, mon Dieu. Je remets mon âme entre tes mains. Je te la donne, mon Dieu, avec tout l’amour de mon cœur, parce que je t’aime, et que ce m’est un besoin d’amour de me donner, de me remettre entre tes mains sans mesure, avec une infinie confiance car tu es mon Père » (prière d’abandon de Charles de Foucauld).

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

La Confession de Pierre

« Heureux es-tu, Simon fils de Yonas : ce n’est pas la chair et le sang qui t’ont révélé cela, mais mon Père qui est aux cieux » (Matthieu 16, 17).

Dieu nous aime le premier. C’est lui qui vient à nous, nous donne de le connaitre et de l’aimer. C’est lui qui vient à nous dans l’Incarnation. C’est lui qui nous sauve par son offrande de lui-même sur la Croix. C’est lui qui nous appelle, qui nous donne de répondre à son appel, de le suivre. « Tout est grâce » disait sainte Thérèse de Lisieux. Oui, tout est grâce ! Tout est grâce ! Tout est don de l’amour de Dieu ! Que ne pouvons-nous le comprendre et surtout le vivre. Nos vies en seraient transfigurées.

Dans la voix de l’abbé Huvelin, qui ordonne à Charles de se confesser, il faut entendre celle de Jésus, qui l’appelle à changer de vie. Comme il a appelé Pierre, l’a invité à le suivre, à quitter sa famille, Jésus appelle Charles de Foucauld à sa suite.

Dans la voix de l’abbé Huvelin, qui donne l’absolution à Charles de Foucauld, il faut entendre la voix de Jésus qui pardonne la trahison de Pierre et l’appelle à paitre ses brebis.

Dans la réaction de Charles de Foucauld à l’injonction de l’abbé Huvelin de se confesser sur le champ, il faut entendre la réponse de Pierre à la question de Jésus : « pour toi, qui suis-je ? » : « je crois que tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant. »

Seigneur Jésus, par Marie, par Charles de Foucauld, accordez-nous la grâce de nous donner à vous sans réserve, pour mieux nous donner à notre prochain.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

« Mon Père, je m’abandonne à toi, fais de moi ce qu’il te plaira. Quoi que tu fasses de moi, je te remercie. Je suis prêt à tout, j’accepte tout, pourvu que ta volonté se fasse en moi, en toutes tes créatures. Je ne désire rien d’autre, mon Dieu. Je remets mon âme entre tes mains. Je te la donne, mon Dieu, avec tout l’amour de mon cœur, parce que je t’aime, et que ce m’est un besoin d’amour de me donner, de me remettre entre tes mains sans mesure, avec une infinie confiance car tu es mon Père » (prière d’abandon de Charles de Foucauld).

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

La multiplication des pains

« Donnez-leur vous-mêmes à manger » (Luc 9, 13).

« L’homme ne vit pas que de pain mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu » (Matthieu 4, 4). Nous pouvons donner le pain de la parole de Dieu en transmettant notre foi, en paroles et en actes, en veillant à l’unité de notre vie.

Au désert, Charles ne prêche pas beaucoup, il s’efforce de vivre ce qu’il croit et de rendre Jésus présent et sensible à tous ceux qui l’approchent. En cela, il se fait pain pour ceux qui ont faim et soif de la parole de Dieu. L’évangélisation ne consiste pas d’abord à faire mais à être. N’oublions pas que nous ne pouvons donner que ce dont nous-mêmes, nous débordons.

Seigneur Jésus, par Marie, par Charles de Foucauld, accordez-nous la grâce de nous donner à vous sans réserve, pour mieux nous donner à notre prochain.

Prions

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O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

« Mon Père, je m’abandonne à toi, fais de moi ce qu’il te plaira. Quoi que tu fasses de moi, je te remercie. Je suis prêt à tout, j’accepte tout, pourvu que ta volonté se fasse en moi, en toutes tes créatures. Je ne désire rien d’autre, mon Dieu. Je remets mon âme entre tes mains. Je te la donne, mon Dieu, avec tout l’amour de mon cœur, parce que je t’aime, et que ce m’est un besoin d’amour de me donner, de me remettre entre tes mains sans mesure, avec une infinie confiance car tu es mon Père » (prière d’abandon de Charles de Foucauld).

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

La pêche miraculeuse

« Avance au large, et jetez vos filets pour la pêche » (Luc 5, 4).

C’est dans les profondeurs du large que les eaux sont les plus poissonneuses.  Jésus invite les Apôtres à ne pas craindre de s’y rendre pour faire une bonne pêche.

Charles de Foucauld n’est pas un tempérament à faire les choses à moitié. Sa conversion est si radicale, qu’il n’hésite pas à entrer à la Trappe, l’un des ordres les plus austères de l’Église catholique, (la Trappe est aux antipodes de sa vie d’avant sa conversion), puis à s’embarquer pour le Maroc, la Syrie, le Sahara pour y vivre en ermite, au milieu des Touaregs.

La tenue de Charles de Foucauld reflète son idéal de pauvreté. Il est vêtu de blanc. Les seuls ornements de sa tenue sont le Sacré-Cœur, qu’il a cousu en rouge sur sa poitrine, et son chapelet.

Le Rosaire compte 153 grains autant qu’il y de poissons dans le filet des Apôtres lors de la seconde pêche miraculeuse (Jean 21). Charles s’est converti en octobre 1886, mois du rosaire. Il a éprouvé l’efficacité de cette prière sur lui-même mais aussi dans la mission. Le rosaire est la prière missionnaire par excellence.

Merci Seigneur d’avoir donné une telle puissance à un instrument qui prend si peu de place, s’adapte à toutes les conditions et à toutes les situations. Merci !

Seigneur Jésus, par Marie, par Charles de Foucauld, accordez-nous la grâce de nous donner à vous sans réserve, pour mieux nous donner à notre prochain.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

« Mon Père, je m’abandonne à toi, fais de moi ce qu’il te plaira. Quoi que tu fasses de moi, je te remercie. Je suis prêt à tout, j’accepte tout, pourvu que ta volonté se fasse en moi, en toutes tes créatures. Je ne désire rien d’autre, mon Dieu. Je remets mon âme entre tes mains. Je te la donne, mon Dieu, avec tout l’amour de mon cœur, parce que je t’aime, et que ce m’est un besoin d’amour de me donner, de me remettre entre tes mains sans mesure, avec une infinie confiance car tu es mon Père » (prière d’abandon de Charles de Foucauld).

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

La Tempête apaisée

« Survient une violente tempête. Les vagues se jetaient sur la barque, si bien que déjà elle se remplissait. Jésus dormait sur le coussin à l’arrière. Les disciples le réveillent et lui disent : « Maître, nous sommes perdus ; cela ne te fait rien ? » (Marc 4, 37, 38).

Jésus dort mais son cœur veille. Il n’est pas indifférent à ce qui arrive aux Apôtres pris dans la tempête mais ils doivent apprendre à lui faire confiance, à s’en remettre à  lui. Même en sommeil, il reste le maître des événements.

Charles de Foucauld a éprouvé le vide d’une existence sans Dieu. Il priait souvent en lui-même : « Mon Dieu, si vous existez, faites que je vous connaisse ! » C’était sa façon de réveiller le maître alors qu’il est pris dans les vagues de sa vie tourmentée. Le maître a répondu à sa prière en lui ordonnant, par la voix de l’abbé Huvelin, de se confesser puis de communier. Dès lors, le calme se fait dans sa vie.

Quoi qu’il nous arrive, ne coupons pas le lien de la prière. Elle est la condition de toutes les grâces. Quand le Seigneur appelle, ne passons pas à côté de lui en feignant de ne pas le voir. Redécouvrons le sacrement de la pénitence, qui a ramené le calme dans l’âme tourmentée de Charles de Foucauld : il a été à l’origine de toutes les grâces de choix dont il a été comblé.

Seigneur Jésus, par Marie, par Charles de Foucauld, accordez-nous la grâce de nous donner à vous sans réserve, pour mieux nous donner à notre prochain.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

« Mon Père, je m’abandonne à toi, fais de moi ce qu’il te plaira. Quoi que tu fasses de moi, je te remercie. Je suis prêt à tout, j’accepte tout, pourvu que ta volonté se fasse en moi, en toutes tes créatures. Je ne désire rien d’autre, mon Dieu. Je remets mon âme entre tes mains. Je te la donne, mon Dieu, avec tout l’amour de mon cœur, parce que je t’aime, et que ce m’est un besoin d’amour de me donner, de me remettre entre tes mains sans mesure, avec une infinie confiance car tu es mon Père » (prière d’abandon de Charles de Foucauld).

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.