Bienheureuse Karolina Kozka

Naissance / Mort : 22 août 1998 – 18 novembre 1914

Age : 16 ans

Fête : 18 novembre

Patronage : de la jeunesse polonaise, les victimes de viols

Vie : Karolina Kózka était une jeune paysanne née à Wal-Ruda en Pologne où elle est morte en martyre 16 ans plus tard.

Fille de la terre de la Vistule, « étoile de ton peuple » selon les mots de saint Jean-Paul II, Karolina Kózka a des parents paysans, des gens simples et croyants. On parle de sa famille, comme d’une « famille de saints ». Ils appelaient leur maison « la petite Église », pour montrer combien ils accordaient d’importance à la prière au quotidien.

Dès son plus jeune âge, Karolina a suivi les conseils de son père spirituel au sein de la paroisse du village, passant son temps libre à faire le catéchisme à ses frères, ses sœurs, aux enfants des maisons voisines et à aider les personnes âgées et les malades.

C’est au milieu de la première guerre mondiale qu’un jour, Karolina fut attaquée par un soldat russe et traînée hors de sa maison jusque dans la forêt de Wal-Ruda. Elle a essayé de se défendre avec force et a été tuée pour cela. Dans la forêt où ses restes ont été retrouvés, ses concitoyens ont voulu ériger une grande croix de bois et plus tard la communauté, profondément ébranlée par cette violence sans précédent, lui a dédié un monument à côté de la cathédrale.

Comme l’a souligné saint Jean-Paul II, Karolina Kózka est une figure qui est profondément liée à la foi et à la terre agricole de Pologne.

Elle est béatifiée par Jean-Paul II le 10 juin 1987

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…).

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Eternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les Anges et tous les Saints,

le Corps, le Sang, l’Âme, la Divinité, la Sainte Face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les Anges et de tous les Saints,

de toutes les saintes Messes et Communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les Plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Eglise catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

https://www.youtube.com/channel/UC0Va9VhE_C2EMUaWwJtv8Og?view_as=subscriber

Jeunes témoins de la foi : saint Pierre Calungsod

Naissance / Mort : 1654 – 2 avril 1672

Age : 18 ans

Fête : 2 avril

Patronage : les catéchistes

Vie : Pedro Calungsod est un jeune catéchiste philippin, missionnaire dans les iles Mariannes.

On sait peu de choses de la vie de Pedro avant son travail comme jeune catéchiste. Il a fait ses études dans une école jésuite, peut-être à Tanay (dans le Negros oriental).

La formation de catéchiste comprenait l’étude de la langue espagnole, du Chamorro, et l’acquisition de compétences telles que le dessin, le chant, la menuiserie et tout ce qui était nécessaire au travail de missionnaire itinérant.

À partir de 1668, il accompagne et devient le fidèle assistant du père Diego de San Vitores envoyé évangéliser l’archipel des Mariannes, une œuvre financée par la régente espagnole Marie Anna d’Autriche.

En 1672, Pedro et ses compagnons sont tués par un chef des Chamorros sur l’île de Guam, pour avoir baptisé sa fille contre sa volonté. Pedro aurait pu échapper à la mort mais il préféra rester aux côtés du père de San Vitores et de ses compagnons. Après l’assassinat, son corps est jeté à la mer.

Le pape Jean-Paul II l’a déclaré bienheureux le 5 mars 2000 et le pape Benoît XVI l’a canonisé le 21 octobre 2012.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…).

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Eternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les Anges et tous les Saints,

le Corps, le Sang, l’Âme, la Divinité, la Sainte Face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les Anges et de tous les Saints,

de toutes les saintes Messes et Communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les Plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Eglise catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

https://www.youtube.com/channel/UC0Va9VhE_C2EMUaWwJtv8Og?view_as=subscriber

Jeunes témoins de la foi : saint André de Phú Yén

Naissance / Mort : 1625 – 26 juillet 1644

Age : 19 ans

Fête : 26 juillet

Patronage : la jeunesse vietnamienne

Vie : Il est faible de constitution, mais très intelligent et naturellement bon. Sur la requête de sa mère, veuve, il est accueilli parmi les étudiants du Père de Rhodes, célèbre missionnaire Jésuite.

À 16 ans, en 1641, il reçoit le baptême avec sa mère. Depuis ce jour, il s’attache à développer une profonde vie spirituelle. Le Père de Rhodes en fait l’un de ses proches collaborateurs et après une année, en 1642, il est admis dans le groupe des catéchistes fondé par le Père et appelé « Maison Dieu ». Comme le demande cette association, André s’engage publiquement à consacrer sa vie au service de l’Église en aidant les missionnaires et en diffusant l’Évangile.

En juillet 1644, le mandarin Ong Nghe Bo revient de chez le roi d’Annam qui, ayant appris que beaucoup de Cochinchinois se sont convertis, donne l’ordre d’empêcher l’expansion du christianisme dans son royaume (dont dépend la Cochinchine). Les chrétiens sont exposés à de lourdes peines. Le mandarin somme le Père d’arrêter l’enseignement de la doctrine chrétienne et de retourner à Macao (enclave portugaise en Chine). Il décide d’agir en premier lieu contre les catéchistes. Des soldats, dépêchés par lui, se rendent à la maison du Père et ils arrêtent le jeune André, à défaut d’un autre qu’ils cherchaient. Ils le frappent à coups de bâton et l’emmènent, ligoté, en barque chez le mandarin. Il comparaît devant lui dans la soirée du 25 juillet 1644. Le gouverneur fait des tentatives pour le faire renoncer à sa « stupide opinion » et pour lui faire abandonner la foi. André répond qu’il est prêt à subir n’importe quel tourment pour ne pas l’abandonner. Pour cette cause, dit-il, toute souffrance, même la mort, est une très grande gloire. Le 26 juillet, vers 5 heure du soir, on l’emmène au lieu du supplice. En chemin, il exhorte les chrétiens à demeurer fermes dans la foi, à l’aider par leurs prières et à ne pas s’affliger de sa mort. « Rendons amour pour amour à notre Dieu, répète-t-il. Rendons vie pour vie. » Le Père obtient que, conformément à la coutume, on lui mette une natte sous les genoux, mais André préfère que son sang tombe à terre comme celui du Christ. On lui transperce le côté gauche de plusieurs coups de lance et avant qu’on le décapite d’un coup de cimeterre, d’une voix forte, il s’écrie : « Jésus. »

Il est béatifié le 5 mars 2000 par Jean-Paul II.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…).

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Eternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les Anges et tous les Saints,

le Corps, le Sang, l’Âme, la Divinité, la Sainte Face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les Anges et de tous les Saints,

de toutes les saintes Messes et Communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les Plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Eglise catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

https://www.youtube.com/channel/UC0Va9VhE_C2EMUaWwJtv8Og?view_as=subscriber

Jeunes témoins de la foi : sainte Thérèse des Andes

Naissance / Mort : 13 juillet 1900 – 12 avril 1920

Age : 19 ans

Fête : 12 avril et le 13 juillet  (dans l’ordre du Carmel)

Patronage : le Chili et la jeunesse

Vie : Teresa de Jésus de los Andes est née à Santiago du Chili dans une famille chrétienne aisée. Ses parents s’appelaient Miguel Fernandez et Lucia Solar. Elle est baptisée deux jours plus tard sous le nom de Juanita.

À partir de six ans, elle accompagne sa mère à la messe presque chaque jour avec le grand désir de communier, ce qu’elle fera pour la première fois le 1er septembre 1910. Dès lors, elle communie chaque jour et s’entretient longuement avec Jésus, son ami.

En 1907, une tendre dévotion à la Sainte Vierge Marie naît dans le cœur de Juanita. Elle lui promet de réciter le rosaire chaque jour, ce qu’elle fera jusqu’à la fin de sa vie. Elle vit ainsi, dès son enfance, une intense vie mariale qui sera un des piliers de sa vie spirituelle et décide de réformer son caractère. En effet, Juanita a tendance à s’emporter rapidement mais possède un grand cœur qui la pousse vers les autres et les pauvres en particulier.

Un jour, elle mettra en loterie sa montre pour un enfant nécessiteux. Elle sera en permanence disponible et souriante avec tous.

Elle mènera une vie ordinaire et équilibrée au sein de sa famille. Elle apprécie les études, les devoirs domestiques et le sport qu’elle aime passionnément, surtout la natation et l’équitation. Elle fera ses études au collège dirigé par les religieuses du Sacré-Cœur de 1907 à 1918. Juanita dédiera son journal à la mère Julia Rios de cette communauté et elle l’intitulera « Histoire de la vie d’une de ses filles. »

Sa courte vie sera marquée par plusieurs maladies qui la conduiront aux portes de la mort, surtout durant la période allant de 1911 à 1914. C’est alors qu’elle lira le récit autobiographique de Thérèse de l’Enfant-Jésus.

Le 13 juillet 1915, jour de ses 15 ans, Juanita avoue que le Christ l’a captivée. Elle entend l’appel du Carmel la même année et deux ans plus tard découvre sainte Thérèse de Jésus ainsi qu’une petite française de Dijon du nom d’Elisabeth de la Trinité. Elle décide à son tour de convertir toute son existence en louange de Dieu et comprend l’idéal de la carmélite avec lucidité.

Après une correspondance assidue avec la mère prieure du Carmel de los Andes et plusieurs visites au monastère, elle demande son entrée en communauté. Ce qui lui sera accordé en 1919. Elle entre en clôture le 7 mai et s’appellera désormais Teresa de Jésus.

Une immense joie la comble, son cœur déborde d’amour. Le 14 octobre, elle reçoit l’habit de Notre Dame et commence ainsi son noviciat. Mais la maladie est là, qui la guette.

Dans les premiers jours de mars 1920, elle déclare qu’elle mourra dans un mois. Le 2 avril, Vendredi saint, Teresa étant au plus mal, le médecin qui vient la consulter découvre qu’elle est atteinte du typhus.

Trois jours plus tard, elle reçoit les derniers sacrements avec une immense ferveur. Le 6 du même mois, elle fait sa profession religieuse et redit avec joie et émotion la formule de sa consécration au Seigneur. Le 12 avril vers 19 heures, elle rend son âme à celui qui fut son unique amour. Teresa n’avait pas encore vingt ans. Elle vécut onze mois au Carmel.

Elle est béatifiée par Jean-Paul II le 3 avril 1987 et canonisée le 21 mars 1993.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…).

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Eternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les Anges et tous les Saints,

le Corps, le Sang, l’Âme, la Divinité, la Sainte Face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les Anges et de tous les Saints,

de toutes les saintes Messes et Communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les Plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Eglise catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

https://www.youtube.com/channel/UC0Va9VhE_C2EMUaWwJtv8Og?view_as=subscriber

Jeunes témoins de la foi : saints Christophe, Antoine et Jean

Naissance / Mort : Cristobal : 1514 – 1527 / Antonio et Juan : 1517 – 1529

Age : Cristobal : 13 ans / Antonio et Juan : 12 ans

Fête : 23 septembre

Patronage : l’enfance mexicaine

Vie : Cristobal, Antonio et Juan sont parmi les premiers autochtones mexicains à être évangélisés par les missionnaires franciscains et les dominicains après la conquête européenne. Ils sont cruellement tués par leur tribu parce qu’au nom de la foi catholique, ils refusent de sacrifier aux idoles, de participer aux cultes traditionnels et à la polygamie. Cristobal est martyrisé en 1527, Antonio et Juan en 1529.

Ils sont les premiers martyrs indigènes du continent latino-américain. « Les enfants constituent les protomartyrs d’Amérique, les premiers à avoir versé leur sang pour le Christ sur ce continent » : c’est ce que déclare Francisco Moreno Barron, évêque de Tlaxcala, à l’occasion du 5ème centenaire de la naissance des trois martyrs, organisé en 2015.

Ils sont béatifiés le 6 mai 1990 par le pape Jean-Paul II, lors de son voyage apostolique au Mexique et canonisés par le pape François le 15 octobre 2017.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…).

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Eternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les Anges et tous les Saints,

le Corps, le Sang, l’Âme, la Divinité, la Sainte Face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les Anges et de tous les Saints,

de toutes les saintes Messes et Communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les Plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Eglise catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

https://www.youtube.com/channel/UC0Va9VhE_C2EMUaWwJtv8Og?view_as=subscriber

Jeunes témoins de la foi : saint Nunzio Sulprizio

Naissance / Mort : 13 avril 1817 – 5 mai 1836

Age : 19 ans

Fête : 5 mai

Patronage : apprentis, personnes handicapées

Vie : Nunzio est né dans les Abruzzes et dès l’âge de six ans, il est orphelin de mère et de père. Il est confié à sa bien-aimée grand-mère maternelle, qui lui apprend à aller à la messe et à connaître Jésus, mûrissant intérieurement un fort désir de lui ressembler davantage.

Quand, à l’âge de neuf ans sa grand-mère meurt, il est exaucé : l’oncle à qui il est confié, en effet, le force à travailler dans son atelier de forgeron-ferrailleur, largement inadapté pour un enfant de cet âge. C’est là que la vie de Nunzio commence à imiter le chemin douloureux de Jésus vers la croix.

Charges lourdes à transporter, de longues distances à parcourir à pied avec du soleil, de la pluie, du vent ou de la neige, mais surtout avec les mêmes vêtements à chaque saison. Nunzio ne se plaint pas : il pense à Jésus et commence à offrir ses efforts pour racheter les péchés du monde et pour « gagner le paradis. »

Un jour, une blessure au pied se gangrène. L’oncle n’a aucune pitié, pas plus que les villageois qui lui interdisent d’utiliser la source du pays pour se soigner, de peur qu’il ne l’infecte. Nunzio trouve donc un filet d’eau à Riparossa, aujourd’hui considéré comme une source miraculeuse, où il passe beaucoup de temps dans la récitation du Rosaire.

En 1831, en raison de sa santé précaire, il fait face à une première hospitalisation à L’Aquila et il s’y fait connaître par tous les patients hospitalisés pour sa foi, pour les œuvres de charité envers les autres malades et pour les notions de catéchisme transmises aux enfants.

Un autre oncle apprend sa situation et le présente au colonel Felice Wochinger, un soldat haut gradé de Naples qui l’affectionne et lui fait suivre tous les soins possibles pour sa maladie osseuse, jusqu’au cures thermales à Ischia. Il restera longtemps à l’hôpital des Incurables à Naples, où finalement il reçut Jésus Eucharistie pour la première fois.

Pendant un certain temps, Nunzio ira mieux. A sa sortie de l’hôpital, il s’installe chez le colonel, qui vit à Naples à Maschio Angioino, utilisé comme une caserne.

Entre les deux s’instaure une belle relation père-fils, permettant à Nunzio d’approfondir sa foi. Il pense à la consécration, mais en attendant de devenir assez grand, son confesseur approuve pour lui une règle de vie qu’il suit scrupuleusement et qui prévoit de longues heures de prière, de méditation et d’étude, outre la messe le matin et le rosaire le soir. Cette période de sérénité, cependant, est interrompue par le diagnostic que Nunzio est condamné : il s’agit d’un cancer des os.

Nunzio se montre fort, jusqu’à la fin. Il console le colonel – qu’il appelle maintenant « mon papa » – avec la certitude de la promesse que les deux seront un jour en mesure de s’embrasser de nouveau au Ciel.

Nous sommes en 1836 et la situation est désormais désespérée : Nunzio souffre des très fortes fièvres qu’il affronte à travers la prière et l’offrande de ses souffrances pour les conversions et pour l’Église.

La mort le libéra de la douleur le 5 mai, alors qu’il venait d’avoir 19 ans, mais non sans d’abord recevoir les sacrements. Autour de son corps, éprouvé par les plaies, se répand un incroyable parfum de roses.

Il est béatifié le 1er décembre 1963 par Paul VI et canonisé le 14 octobre 2018 par le pape François.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…).

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Eternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les Anges et tous les Saints,

le Corps, le Sang, l’Âme, la Divinité, la Sainte Face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les Anges et de tous les Saints,

de toutes les saintes Messes et Communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les Plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Eglise catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

https://www.youtube.com/channel/UC0Va9VhE_C2EMUaWwJtv8Og?view_as=subscriber

 

Jeunes témoins de la foi : bienheureux Marcel Callo

Naissance / Mort : 6 décembre 1921 – 19 mars 1945

Age : 24 ans

Fête : 19 mars

Patronage : des journées mondiales de la jeunesse

Vie : Membre de la Jeunesse Ouvrière Chrétienne (JOC), en Bretagne, il est fiancé à une jeune fille qui appartient au mouvement.

Réquisitionné en 1943 par l’occupant allemand pour le Service du travail obligatoire, il lui faut partir pour l’Allemagne. Il décide de s’y comporter en missionnaire, pour aider ses frères jocistes.

Souffrant du froid, mal nourri, il doit travailler de longues heures dans une usine. Ses nerfs sont mis à rude épreuve. Pour surmonter son désarroi, il cherche sa force dans sa foi au Christ.

C’est alors qu’il rencontre un groupe de jocistes allemands et leur aumônier, un prêtre capable de s’exprimer en français. Marcel entraîne avec lui à ses messes des camarades français qui ne sont guère familiers de l’Eglise. Un groupe chaleureux se forme ainsi autour de lui, ce qui attire aussitôt l’attention de la Gestapo qui n’aime guère cette « action catholique. »

Arrêté, il est déporté à Mathausen. Soumis à la soif, la faim, battu, il doit travailler tout le jour dans une usine souterraine.

Dans ce qui pourrait être le désespoir, sa foi ne cesse de grandir en espérance et en charité. Il la partage avec d’autres prisonniers. Bientôt, à bout de forces, il est envoyé à l’infirmerie, à deux pas du four crématoire. Là, il continuera de soutenir ses compagnons de misère, jusqu’au bout, alors que lui-même se meurt de dénutrition, de tuberculose et de dysenterie.

Il est béatifié le 4 octobre 1987 par le pape Jean-Paul II.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…).

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Eternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les Anges et tous les Saints,

le Corps, le Sang, l’Âme, la Divinité, la Sainte Face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les Anges et de tous les Saints,

de toutes les saintes Messes et Communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les Plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Eglise catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

https://www.youtube.com/channel/UC0Va9VhE_C2EMUaWwJtv8Og?view_as=subscriber

Jeunes témoins de la foi : servante de Dieu Chiara Corbella Petrillo

Naissance / Mort : 9 janvier 1984 – 13 juin 2012

Age : 28 ans

Fête : /

Patronage : /

Vie : Durant son enfance, Chiara Corbella reçoit une éducation catholique ; elle étudie à l’Istituto Santa Maria de Rome, tenu par les religieux marianistes.

À l’adolescence, elle se met à fréquenter, avec sa mère, la communauté du Renouveau dans l’Esprit Saint.

Durant l’été 2002, alors qu’elle est en pèlerinage à Međjugorje avec sa sœur aînée, elle rencontre Enrico Petrillo, membre du renouveau charismatique, avec qui elle se marie six ans plus tard, le 21 septembre 2008, à Assise.

Au retour de son voyage de noces, Chiara apprend qu’elle est enceinte. Bien qu’une échographie révèle que l’enfant est atteint d’une anencéphalie, les époux refusent d’entendre parler d’avortement. La petite Maria naît le 10 juin 2009 ; elle meurt une demi-heure après sa naissance.

Quelques mois plus tard, Chiara tombe à nouveau enceinte. Rapidement, on décèle chez son enfant de graves malformations : il est, notamment, dépourvu des membres inférieurs. Baptisé Davide, il meurt le 24 juin 2010, peu de temps après sa naissance.

À la suite de ces drames, Chiara et Enrico Petrillo font réaliser des tests génétiques. Ceux-ci excluent tout lien entre la maladie de Maria et celle de Davide. Chiara peut donc entamer une nouvelle grossesse.

Enceinte de cinq mois, Chiara apprend qu’elle est atteinte d’un cancer de la langue. Opérée une première fois le 16 mars 2011, elle refuse d’être opérée une seconde fois avant son accouchement, car l’opération risquerait de mettre en danger son enfant. Pour cette même raison, elle refuse tout traitement médicamenteux ou radiothérapique.

Le 30 mai 2011, le petit Francesco naît en parfaite santé. Ainsi, dès le 3 juin, Chiara est opérée et reçoit une chimiothérapie intensive. Mais il est trop tard : le cancer se généralise et Chiara meurt le 13 juin 2012, « en laissant un précieux témoignage de foi », d’après les propos du cardinal Agostino Vallini. Ses funérailles sont célébrées par ledit prélat le 16 juin 2012, en la basilique Santa Francesca Romana, en présence de milliers de personnes.

Son procès de béatification a été ouvert le 2 juillet 2018.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…).

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Eternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les Anges et tous les Saints,

le Corps, le Sang, l’Âme, la Divinité, la Sainte Face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les Anges et de tous les Saints,

de toutes les saintes Messes et Communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les Plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Eglise catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

https://www.youtube.com/channel/UC0Va9VhE_C2EMUaWwJtv8Og?view_as=subscriber

Jeunes témoins de la foi : bienheureux Zéphyrin Namuncurá

Naissance / Mort : 26 août 1886 – 11 mai 1905

Age : 19 ans

Fête : 11 mai

Patronage : les étudiants en théologie

Vie : Zéphirin Namuncurà naquit à Chimpay, sur les bords du Rio Negro de Neuquén (Cordillère centrale argentine). Son père Manuel, dernier grand cacique des tribus indiennes araucanes, avait dû se rendre aux troupes de la république argentine, trois ans auparavant.

Après onze ans de vie au grand air de la campagne, le garçon fut conduit à Buenos Aires : son père voulait faire de lui le défenseur de sa race. Mais Zéphirin, entré au collège salésien, s’ouvrit à d’autres horizons : il trouvait que c’était mieux de devenir le premier prêtre araucan pour évangéliser ses frères.

Il choisit Dominique Savio comme modèle et, pendant cinq ans, à force d’efforts incroyables pour s’insérer dans une culture entièrement nouvelle, il devint lui-même un autre Dominique Savio. Son engagement était exemplaire : dans la piété, la charité, les devoirs quotidiens, l’exercice de l’ascèse. Ce garçon, qui au début trouvait difficile de « se mettre en rang » ou « d’obéir à la cloche », devint peu à peu un vrai modèle. Des témoins ont dit de lui : « Il était un modèle d’équilibre, il était l’arbitre des récréations : sa parole était écoutée par ses compagnons en bagarre. » « Il m’impressionnait par la lenteur avec laquelle il faisait son signe de croix, comme s’il en méditait chacun des mots. Il allait même jusqu’à corriger ses compagnons, en leur montrant comment le faire lentement et avec dévotion. Les rôles semblaient inversés : l’indien convertissait les blancs. »

En 1903, Mgr Cagliero le fait venir dans le groupe des aspirants à Viedma, chef-lieu du vicariat, pour commencer l’étude du latin. L`année suivante, il l’emmène en Italie pour lui permettre de suivre plus sérieusement ses études, dans un climat plus adapté à sa santé. Il entre au collège salésien de Villa Saura à Frascati. Il étudie avec tant de courage qu`il arrive deuxième de la classe.

Mais un mal diagnostiqué trop tard (sans doute parce qu’il ne se plaignait jamais) le minait : la tuberculose. Le 28 mars 1905, on le transporte à l’hôpital Fatebenefratelli à Rome. Il y meurt dans la sérénité le 11 mai. Depuis 1924, ses restes reposent dans sa patrie, à Fortin Mercedes, où des foules de pèlerins viennent le prier.

Il est béatifié le 11 novembre 2007.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…).

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Eternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les Anges et tous les Saints,

le Corps, le Sang, l’Âme, la Divinité, la Sainte Face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les Anges et de tous les Saints,

de toutes les saintes Messes et Communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les Plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Eglise catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

https://www.youtube.com/channel/UC0Va9VhE_C2EMUaWwJtv8Og?view_as=subscriber

Jeunes témoins de la foi : bienheureuse Sandra Sabattini

Naissance / Mort : 19 août 1961 – 2 mai 1984

Age : 23 ans

Fête : 2 mai

Patronage : les marginaux et les handicapés

Vie : Sandra Sabattini grandit dans une famille modeste et pratiquante. Pendant son enfance, la famille s’installe chez un oncle prêtre, don Giuseppe Bonini à Misano Adriatico. Dès son plus jeune âge, Sandra fait preuve d’une vie spirituelle précoce, qu’elle livre dans son journal.

À douze ans, elle rencontre don Oreste Benzi, le fondateur de la Communauté Jean XXIII. Elle participe dès lors à des camps organisés pour les jeunes et approfondit son engagement religieux.

En 1980, après de brillantes études, elle s’inscrit à la faculté de médecine de Bologne. Elle espère devenir médecin missionnaire en Afrique. En parallèle, elle devient un exemple pour ses compagnes de la Communauté Jean XXIII, dans sa pratique religieuse comme dans son engagement auprès des autres, notamment les handicapés. Elle organise des événements, des levées de fonds pour des œuvres leur étant consacrés, et leur donne beaucoup de temps. Le principal objectif de Sandra Sabattini : devenir sainte.

Elle rencontre au sein de la communauté un jeune homme, Guido, qui partage ses idéaux. Ils se fiancent rapidement. Le 29 avril 1984, Sandra est renversée par une voiture. Après trois jours de coma, elle meurt le 2 mai.

Elle est béatifiée le 24 octobre 2021 par le pape François.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…).

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Eternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les Anges et tous les Saints,

le Corps, le Sang, l’Âme, la Divinité, la Sainte Face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les Anges et de tous les Saints,

de toutes les saintes Messes et Communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les Plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Eglise catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

https://www.youtube.com/channel/UC0Va9VhE_C2EMUaWwJtv8Og?view_as=subscriber