4ème Mystère Lumineux : La Transfiguration

Méditons

Devant Jésus transfiguré sur le Mont Thabor, Pierre propose de construire trois tentes, une pour Jésus, une pour Moïse, une pour Elie. Mais il n’est pas dans les projets de Jésus, de demeurer sur le Thabor. Au contraire, il invite les apôtres à redescendre de la montagne et à venir avec lui à Jérusalem où il veut vivre sa Passion. C’est pour cela qu’il est venu en ce monde : pour rendre toute gloire à Dieu et sauver l’humanité par son sacrifice sur la Croix.

Comme les apôtres à la Transfiguration de Jésus, les petits voyants voudraient ne plus décrocher leurs regards de la Belle Dame. « Quand on a vu la sainte Vierge, on voudrait mourir pour pouvoir la revoir, tant elle est belle » disait Bernadette Soubirous, la voyante de Lourdes. Telles sont aussi les pensées des petits voyants et même de ceux qui ne voient pas mais qui sont pris dans un tourbillon de joie. Comme pour les apôtres, cette grâce insigne de voir la Sainte Vierge, n’est pas appelée à perdurer, mais elle doit être un tournant dans leur existence et avoir des prolongements concrets dans leur vie future. Eugene Barbedette deviendra prêtre, Joseph Barbedette oblat de Marie Immaculée, Jeanne-Marie Lebosse entrera chez les religieuses de la Sainte Famille de Bordeaux, Françoise Richer deviendra institutrice dans plusieurs petites écoles de campagne.

Par Marie, Mère de l’espérance, Notre-Dame de Pontmain, demandons la grâce de transfigurer notre quotidien en accomplissant notre devoir d’état pour la gloire de Dieu et le salut du monde.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…).

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les Anges et tous les Saints,

le Corps, le Sang, l’Âme, la Divinité, la Sainte Face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les Anges et de tous les Saints,

de toutes les saintes Messes et Communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les Plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

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3ème Mystère Lumineux : L’Annonce du Royaume de Dieu

Méditons

Pendant trois années, Jésus a parcouru le pays pour annoncer la bonne nouvelle du salut. Partout où il passait, il semait grâces, bénédictions, guérisons. « Si tu savais le don de Dieu et qui est celui qui te parle » (Jean 4, 10) avait-il dit à la Samaritaine. Oui, si nous savions toute l’étendue du don de Dieu, nous ne pécherions plus jamais. Si nous savions toute l’étendue de l’amour de Jésus…

Marie, qui a vécu dans l’intimité immédiate de Jésus, qui est entrée le plus profondément dans le secret de Dieu, qui, aujourd’hui, dans la gloire, le contemple face à face, connait plus que personne toute l’ampleur du don de Dieu. Aussi est-elle sensible à tout ce qui touche à lui. Ainsi, lorsque les assistants se mettent bavarder en sa présence, elle s’attriste et ne retrouve le sourire que quand l’abbé Guérin invite à la prière, que sœur Marie-Edouard lance le chapelet, que tout le monde s’unit dans la prière. Pensons-y quand nous parlons sans nécessité en présence de Dieu dans son sanctuaire.

Par Marie, Mère de l’espérance, Notre-Dame de Pontmain, demandons la grâce du respect de Dieu, qui témoigne de l’amour que nous lui portons.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…).

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les Anges et tous les Saints,

le Corps, le Sang, l’Âme, la Divinité, la Sainte Face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les Anges et de tous les Saints,

de toutes les saintes Messes et Communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les Plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

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2ème Mystère Lumineux : Les Noces de Cana

Méditons

Marie attentive au bien-être de tous, se rend compte que le vin commence à manquer et que les réjouissances risquent de tourner court. Elle murmure à Jésus : « Ils n’ont plus de vin » (Jean 2, 3). Et, Jésus, à la prière de sa mère, devance l’heure de sa révélation au monde, et accomplit son premier miracle, celui dont il est dit qu’il amena ses disciples à croire en lui.

La foi est une fête, quelles que soient les circonstances. Et c’est joyeusement que Marie nous invite à croire en Jésus. Même si le pays est en guerre, même si l’inquiétude avait, jusqu’à ce soir, gagné tous les cœurs, réuni autour de Marie, tout le monde est joyeux. Pendant l’apparition, règne une véritable ambiance de fête. Les enfants décrivent Marie sourire et même les accompagner par le mouvement de ses doigts et de ses mains. Tout en nous laissant saisir par le sourire surnaturel de Marie, rappelons-nous les paroles du cardinal Pie :  « Supprimez Marie et la religion deviendra triste et sombre comme une famille sans mère, comme une année sans mois de mai. »

Par Marie, Mère de l’espérance, Notre-Dame de Pontmain, demandons la grâce de demeurer dans une sainte joie quelles que soient les circonstances.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…).

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les Anges et tous les Saints,

le Corps, le Sang, l’Âme, la Divinité, la Sainte Face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les Anges et de tous les Saints,

de toutes les saintes Messes et Communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les Plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

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1er Mystère Lumineux : Le Baptême de Jésus

Méditons

En se faisant baptiser, Jésus nous rejoint dans notre condition de pécheur, pour nous en tirer et nous élever à la dignité suprême et inouïe d’enfant de Dieu. Jésus se fait notre frère pour que nous devenions les enfants du Père. Pourrons-nous jamais saisir, ne serait-ce que de manière approchante, toute l’étendue du don de Dieu dans le baptême !?

Quand l’abbé Guérin rejoint le groupe qui s’est formé autour des voyants, une petite croix rouge apparait sur la robe de Marie à l’emplacement du cœur. Le Cœur Immaculé de Marie est pétri d’amour pour Jésus. Par cette petite croix, Marie nous invite à l’imiter et à faire de nos vies une offrande d’amour à Jésus qui est mort par amour pour nous.  Toute notre vie doit annoncer Jésus-Christ, Messie crucifié, qui s’est livré pour qu’en lui nous ayons la vie éternelle.

Par Marie, Mère de l’espérance, Notre-Dame de Pontmain, demandons la grâce de la fidélité aux promesses du baptême.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…).

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les Anges et tous les Saints,

le Corps, le Sang, l’Âme, la Divinité, la Sainte Face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les Anges et de tous les Saints,

de toutes les saintes Messes et Communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les Plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

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5ème Mystère Joyeux : Le Recouvrement de Jésus au Temple

Méditons

« Mon enfant, pourquoi nous as-tu fait cela ? Vois comme ton père et moi, nous avons souffert en te cherchant ! » (Luc 2, 48). Marie a souffert d’être séparée de Jésus. Son chagrin est si grand que, pour la seule et unique fois, elle sort de sa réserve et en fait doucement le reproche à Jésus. Par la suite, elle ne le fera plus jamais, pas même le Vendredi-saint. Marie a expérimenté par elle-même qu’il n’est de plus grande souffrance que de vivre séparée de Jésus.

A Pontmain, Marie fait écrire dans le Ciel « Mais priez mes enfants. Dieu vous exaucera sous peu. Mon fils se laisse toucher. » Elle nous invite à ne pas chercher des solutions à nos problèmes, quels qu’ils soient, en-dehors de Jésus. Si elle commence son message par la conjonction « mais », c’est parce qu’elle nous voit faire le contraire. « Si le Seigneur ne bâtit la maison, les bâtisseurs travaillent en vain ; si le Seigneur ne garde la ville, c’est en vain que veillent les gardes », nous dit le psaume 126. Et il poursuit : « En vain tu devances le jour, tu retardes le moment de ton repos, tu manges un pain de douleur : Dieu comble son bien-aimé quand il dort » (Ps 126, 1-2). Oui, la paix est une grâce de la charité infinie de Jésus. Nos efforts pour la construire resteront vains, s’ils ne sont pas soutenus par la prière, notamment du chapelet auquel cette grâce est liée.

Par Marie, Mère de l’espérance, Notre-Dame de Pontmain, demandons la grâce de fixer en Jésus la fin ultime de toutes nos actions.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…).

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les Anges et tous les Saints,

le Corps, le Sang, l’Âme, la Divinité, la Sainte Face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les Anges et de tous les Saints,

de toutes les saintes Messes et Communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les Plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

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4ème Mystère Joyeux : La Présentation de Jésus au Temple

Méditons

« Il y avait à Jérusalem un homme appelé Siméon. C’était un homme juste et religieux, qui attendait la consolation d’Israël, et l’Esprit-Saint était sur lui » (Luc 2, 25). Dieu a écouté chacune des prières de Siméon et, le jour de la présentation de Jésus au temple, les a exaucées au-delà de toute ses espérances car il lui est donné de reconnaitre en l’enfant de Marie le Sauveur promis.

En ce soir du 17 janvier 1871, Dieu exauce aussi les prières des habitants de Pontmain, qui cultivent une tendre dévotion pour la Reine des cieux et persévèrent dans la prière quotidienne du chapelet sous l’impulsion de leur curé, l’abbé Guérin. Pour les offices paroissiaux, ce saint prêtre tient à allumer 4 cierges sur l’autel de la sainte Vierge. Lors de l’apparition, Marie montre à quel point ce geste lui est agréable, en faisant allumer dans le ciel, de part et d’autre de sa personne, quatre bougies. Les habitants diront plus tard que, si la sainte Vierge a choisi Pontmain pour apparaitre, c’est en raison de la dévotion de leur curé.

Par Marie, Mère de l’espérance, Notre-Dame de Pontmain, demandons la grâce de la persévérance dans la prière notamment du chapelet.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…).

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les Anges et tous les Saints,

le Corps, le Sang, l’Âme, la Divinité, la Sainte Face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les Anges et de tous les Saints,

de toutes les saintes Messes et Communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les Plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

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3ème Mystère Joyeux : La Nativité de Jésus

Méditons

Jésus est né par une froide nuit d’hiver, à l’écart de la ville, dépourvu de tout, même du nécessaire. Cette nuit-là l’ange du Seigneur dit aux bergers qui veillent en gardant leurs troupeaux : « Ne craignez pas, car voici que je vous annonce une bonne nouvelle, qui sera une grande joie pour tout le peuple : aujourd’hui, dans la ville de David, vous est né un Sauveur qui est le Christ, le Seigneur » (Luc 2, 11-12).

Marie apparait à Pontmain dans des circonstances identiques. Nous sommes au cœur de l’hiver, la nuit est tombée. Pontmain est un village pauvre, d’une centaine de familles, réparties en 17 hameaux, qui n’est paroisse que depuis l’arrivée de l’abbé Guérin. Le message que Marie vient délivrer, ressemble trait pour trait à celui de l’ange aux bergers : Jésus est le prince de la paix et, en cette nuit, il vient apporter la joie, en venant au secours de son peuple en souffrance.

Par Marie, Mère de l’espérance, Notre-Dame de Pontmain, demandons la grâce de la paix du cœur.

Prions

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O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les Anges et tous les Saints,

le Corps, le Sang, l’Âme, la Divinité, la Sainte Face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les Anges et de tous les Saints,

de toutes les saintes Messes et Communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les Plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

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2ème Mystère Joyeux : La Visitation

Méditons

Dès que Marie la salue, Elisabeth est traversée d’une onde de joie : « comment m’est-il donné que vienne jusqu’à moi la Mère de mon Seigneur ? » (Luc 1, 43). Oui, qui est-elle pour que Dieu la comble ainsi ? Et, qui sommes-nous pour que Dieu nous dépêche sa Mère à Pontmain, pour nous donner le moyen de nous tirer du désastre dans lequel nous nous sommes nous-mêmes embourbés ? Car l’apparition de la Belle Dame, comme la décrivent les petits voyants, est une grâce insigne de la miséricorde infinie du Sauveur qui, par Marie, vient à notre secours. En effet, cette apparition, qui survient au pire moment de la guerre franco-prussienne, est une « Visitation » au cours de laquelle Jésus comble de grâce et de paix, ceux qui l’accueillent en la personne de sa Mère.

Par Marie, Mère de l’espérance, Notre-Dame de Pontmain, demandons la grâce de nous ouvrir au message toujours actuel de Marie.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…).

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les Anges et tous les Saints,

le Corps, le Sang, l’Âme, la Divinité, la Sainte Face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les Anges et de tous les Saints,

de toutes les saintes Messes et Communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les Plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

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1er Mystère Joyeux : L’Annonciation

Méditons

En songe, l’ange du Seigneur dit au fiancé de Marie : « Joseph, fils de David, ne crains pas de prendre chez toi Marie, ton épouse, puisque l’enfant qui est engendré en elle vient de l’Esprit-Saint ; elle enfantera un fils, et tu lui donneras le nom de Jésus – ce qui veut dire : Le-Seigneur-sauve – car c’est lui qui sauvera son peuple de ses péchés » (Mathieu 1, 20-21).

En apparaissant dans le ciel de Pontmain au soir du 17 janvier 1871, alors que la France est aux abois, que les troupes prussiennes assiègent Paris, qu’elles ont avancé jusqu’aux portes de Laval, à 52 kms de Pontmain, alors que les familles sont sans nouvelles de leurs fils au front, Marie vient rappeler que Jésus est le seul Sauveur et qu’il est tout proche de son peuple. Il s’est fait homme pour notre salut et ne demande qu’à nous accorder la paix, si nous la lui demandons avec foi et confiance dans la prière.

Par Marie, Mère de l’espérance, Notre-Dame de Pontmain, demandons la grâce de ne chercher le salut que là où il se trouve, en Jésus-Christ, Dieu fait homme.

Prions

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O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les Anges et tous les Saints,

le Corps, le Sang, l’Âme, la Divinité, la Sainte Face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les Anges et de tous les Saints,

de toutes les saintes Messes et Communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les Plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

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Récit de l’Apparition du 17 janvier 1871

Méditons

Il y a beaucoup de neige à Pontmain, un village de Mayenne d’une centaine de familles, en ce 17 janvier 1871 et il fait un froid glacial. Vers midi et demi, la terre a tremblé, ce qui a fortement impressionné les habitants. Nous sommes en pleine guerre franco-prussienne. Depuis le 23 septembre dernier, 38 jeunes de la paroisse sont partis à la guerre. On est sans nouvelles de leur part. Les habitants vivent dans l’angoisse et la peur. Et puis il y a cette épidémie de typhoïde et de variole, qui commence à reprendre.

Malgré tout, on prie avec ferveur. Dans chaque famille, on dit chaque jour le chapelet depuis l’arrivée du curé, l’abbé Michel Guérin, le 24 novembre 1836.

En ce soir, du 17 janvier 1871, deux enfants, Eugène et Joseph Barbedette, aident leur père, dans la grange, à piler les ajoncs pour la nourriture de la jument. La nuit est tombée. Il est environ 17 h 30. Jeannette Détais, une vieille femme, vient donner quelques nouvelles qu’elle a pu glaner un peu plus loin, près des fuyards de l’armée de la Loire en déroute. Eugène profite de l’arrêt du travail pour sortir à la porte voir le temps. Et voilà que tout à coup, en plein ciel, au-dessus de la maison d’en face, il voit une Belle Dame qui tend les bras comme dans un geste d’accueil et qui lui sourit. Elle est vêtue d’une robe bleue semée d’étoiles d’or (comme la voûte de l’église peinte ainsi en 1860). Sur la tête, elle a un voile noir surmonté d’une couronne d’or avec un liseré rouge au milieu. Aux pieds, elle porte des chaussons bleus avec une boucle d’or. Elle est au milieu d’un triangle formé de trois grosses étoiles. L’enfant sourit à la Belle Dame. Ce sourire sera le seul dialogue car, de toute l’apparition, la Belle Dame ne dira pas un seul mot.

Le jeune frère, Joseph, venu à la porte, voit lui aussi la Belle Dame tandis que les grandes personnes ne voient rien hormis les trois étoiles.

Victoire, leur mère, ne voit rien non plus, bien qu’elle soit retournée à la maison chercher ses lunettes. Elle se rend à l’école demander à sœur Vitaline de venir devant la grange. Ne voyant que les étoiles, la sœur retourne à l’école et en revient avec une autre sœur, Marie-Edouard, et trois petites pensionnaires. A leur arrivée, les deux plus jeunes, Françoise Richer et Jeanne-Marie Lebossé s’écrient : « Oh ! La belle Dame ! Qu’elle est belle ! » et la décrivent à leur tour. Sœur Marie-Edouard s’en va prévenir le curé tandis que sœur Vitaline commence à prier avec les gens qui accourent de plus en plus nombreux.

« Monsieur le curé, dit sœur Marie-Edouard depuis la porte du presbytère, venez vite chez les Barbedette, il y a un prodige : les enfants voient la Sainte Vierge ! » Et le curé, saisi par la surprise, répond : « Un prodige ! La Sainte Vierge ! La Sainte Vierge ! Mais, ma sœur, vous me faites peur ! » La vieille servante, Jeannette Pottier, intervient : « Faut aller voir, Monsieur le curé ! » et elle allume la lanterne pour sortir dans la nuit.

Lorsqu’il arrive au milieu de ses paroissiens, les enfants, que l’on avait séparés pour éviter qu’ils puissent communiquer entre eux, s’écrient : « Voilà quelque chose qui se fait ! » et ils décrivent un grand ovale bleu qui est venu entourer la Belle Dame. A l’intérieur, quatre bobèches sont fixées portant quatre bougies éteintes. Ces bougies rappellent celles que l’abbé Guérin allume sur l’autel de la Sainte Vierge depuis le 8 décembre 1854 à tous les offices de la paroisse. En même temps apparaît une petite croix rouge sur la robe, à l’endroit du cœur.

Et puis voilà que l’attention se relâche. On commence à parler, à discuter et la Belle Dame devient triste : « V’là qu’elle tombe en humilité » dit Eugène. « Prions » ajoute le curé. Sœur Marie-Edouard commence le chapelet. Aussitôt, la Dame sourit à nouveau. Tout au long du chapelet, au rythme des Ave Maria, la Belle Dame grandit lentement. L’ovale grandit dans les mêmes proportions et les étoiles se multiplient sur sa robe et autour d’elle.

« C’est comme une fourmilière, ça se tape sur sa robe, disent les enfants. Oh ! Qu’elle est belle ! » Après le chapelet, on chante le Magnificat. Au début du chant, les enfants s’écrient : « voilà encore quelque chose qui se fait ». Une grande banderole vient se dérouler entre le bas de l’ovale et le toit de la maison. Des lettres commencent alors à s’écrire, en majuscule, couleur d’or. « C’est un M » – « Un A » – « un I » – « un S ». Le mot MAIS qui va rester tout seul jusqu’au moment où arrive Joseph Babin, un charretier, qui revient d’Ernée, à 20 km de là, et qui lance à la foule : « Vous pouvez bien prier, les Prussiens sont à Laval. » Le mot PRIEZ vient s’écrire alors après MAIS. Le message continue de s’écrire lettres après lettres. A la fin des litanies que l’on chante après le Magnificat, les enfants peuvent lire une première ligne se terminant par un gros point :

MAIS PRIEZ MES ENFANTS, DIEU VOUS EXAUCERA EN PEU DE TEMPS•

Au début de l’Inviolata qui va suivre, des lettres commencent une seconde ligne : MON. Au moment où l’on chante « O Mater alma Christi carissima », le mot FILS vient s’écrire à la suite. « MON FILS » lisent les enfants. Alors c’est un cri de joie général : « C’est Elle ! C’est bien Elle ! C’est la Sainte Vierge ! » Jusque-là, on pensait que ce pouvait être Elle. Mais maintenant, on en est sûr. C’est bien écrit : MON FILS. Pendant que l’on termine l’Inviolata et que l’on chante le Salve Regina, le message continue et se termine

MON FILS SE LAISSE TOUCHER

Il n’y a pas de point final mais cette deuxième ligne est soulignée par un gros trait d’or comme les lettres.

« Chantons notre cantique à Marie » dit alors l’abbé Guérin et les paroles s’élèvent joyeuses vers le ciel, alors que, dimanche dernier, on l’avait chanté la gorge serrée : « Mère de l’Espérance dont le nom est si doux Protégez notre France. Priez, priez pour nous. »

Au début, la Vierge lève les mains à hauteur de ses épaules et agite les doigts au rythme du cantique. Puis un rouleau « couleur du temps » passe et efface la banderole et le message.

Suit un autre cantique « Mon doux Jésus » avec le refrain « Parce Domine, parce populo tuo. » Les enfants, joyeux jusque-là, deviennent subitement tout tristes. C’est que la Vierge, elle aussi, est devenue toute triste. Elle ne pleure pas mais un frémissement au coin des lèvres marque l’intensité de sa douleur. « Jamais on n’a vu une pareille tristesse sur un visage humain » disent les enfants.

C’est alors qu’une croix d’un rouge vif apparaît devant la Vierge. Sur la croix, Jésus, d’un rouge plus foncé. Au sommet de la croix, sur une traverse blanche, est écrit : JESUS CHRIST. La Vierge prend la croix à deux mains et la présente aux enfants pendant qu’une petite étoile vient allumer les quatre bougies de l’ovale avant d’aller se placer au-dessus de la tête de la Vierge. La foule prie en silence et beaucoup pleurent.

Puis sœur Marie-Edouard chante l’Ave Maris Stella. Le crucifix rouge disparait et la Vierge reprend l’attitude du début. Le sourire « un sourire plus grave » revient sur ses lèvres et une petite croix blanche apparaît sur chacune de ses épaules. Il est 20 h 30.

« Mes chers amis, l’abbé Guérin, nous allons faire tous ensemble la prière du soir. » Tout le monde se met à genoux, là où il est, qui dans la neige, qui dans la grange pour ceux qui ont voulu s’abriter du froid glacial. Jeannette Pottier, la vieille servante, commence la prière : « Mettons-nous en présence de Dieu et adorons-le. » Au moment de l’examen de conscience, les enfants signalent la présence d’un voile blanc qui vient d’apparaître aux pieds de la Vierge et qui monte lentement en la cachant à leurs yeux. Le voile arrive à hauteur de la couronne, s’arrête un instant et, brusquement, tout disparaît : le voile, la couronne, l’ovale, les bougies et les trois étoiles.

« Voyez-vous encore ? » demande l’abbé Guérin. « Non, M. le curé, tout a disparu, c’est tout fini ! » Il est près de 21 h. Chacun rentre chez soi, le cœur en paix. Toute crainte, toute peur s’en est allée.

Pendant ce temps les Prussiens avancent sur Laval, ils voient une grande Dame au milieu de leur route qui leur fait signe de partir, et ils sentent une force qui les empêche d’avancer, alors ils rebroussent chemin. Sans aucun soldat en face d’eux, par la prière, ils sont repartis. Alors, voyant cela, les habitants demandent, après ce signe, que tous les soldats du village reviennent sains et saufs de la guerre. C’est ce qui se produit.

Le 2 février 1872, après l’enquête et le procès canonique, Mgr Wicart, évêque de Laval publie un mandement dans lequel il déclare : « Nous jugeons que l’Immaculée Vierge Marie, Mère de Dieu, a véritablement apparu le 17 janvier 1871 à Eugène Barbedette, Joseph Barbedette, Françoise Richer et Jeanne-Marie Lebossé dans le hameau de Pontmain. »

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…).

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les Anges et tous les Saints,

le Corps, le Sang, l’Âme, la Divinité, la Sainte Face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les Anges et de tous les Saints,

de toutes les saintes Messes et Communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les Plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

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