La prière de l’ange gardien

Contemplons

Notre Dame d’Akita

Méditons

Nous sommes le vendredi 29 juin 1973, fête du Sacré-Cœur de Jésus et des saints Apôtres Pierre et Paul, les colonnes de l’Eglise. Sœur Agnès est à présent complètement sourde ; elle a appris à lire sur les lèvres.

Après le petit déjeuner les sœurs sont sur le point de commencer le chapelet quand, « à cet instant, raconte sœur Agnès, une personne apparait tout près de moi… » Elle précise plus tard que cette personne ressemble à celle qu’elle a vue quatre ans plus tôt, alors qu’elle était dans le coma, à l’hôpital de Myôkô, et qu’elle récitait (en latin qu’elle n’avait jamais appris !) les prières des chrétiens : Pater noster, Ave Maria, Credo etc… (Rappelons-nous, sœur Agnès s’est convertie et a demandé le baptême après sa guérison d’une paralysie grâce à quelques gouttes d’eau de Lourdes, quatre ans auparavant). Cette personne lui avait appris aussi la prière de l’ange de Fatima : « Ô mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer, conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde. »

Sœur Agnès continue donc sa prière silencieuse quand la lumière éblouissante jaillit de nouveau du tabernacle. Une voix récite, à côté d’elle, la prière des Servantes de l’Eucharistie : « Ô Jésus qui êtes réellement présent dans l’Eucharistie, je joins mon cœur à votre Cœur adorable immolé en perpétuel sacrifice sur tous les autels du monde, louant le Père et implorant la venue de votre règne, et je vous fais l’oblation totale de mon corps et de mon âme. Daignez utiliser cette humble offrande comme il vous plaira, pour la gloire de Dieu et le salut des âmes. Sainte Mère du Ciel, ne permettez pas que je sois jamais séparée de votre divin Fils, et gardez-moi toujours comme votre propriété. Amen. »

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (Prière que Notre Dame de Fatima souhaite à la fin de chaque dizaine du chapelet).

O Jésus qui êtes réellement présent dans l’Eucharistie, je joins mon cœur à votre Cœur adorable, immolé en perpétuel sacrifice sur tous les autels du monde, louant le Père et implorant la venue de votre Règne, et je vous fais l’oblation totale de mon corps et de mon âme.

Daignez agréer cette humble offrande comme il vous plaira, pour la gloire de Dieu et le salut des âmes.

Sainte Mère du Ciel, ne permettez pas que je sois séparé de votre divin Fils, et gardez-moi toujours comme votre propriété. Amen. (Prière des Servantes de l’Eucharistie).

Saint Michel, archange, défendez-nous dans le com­bat, soyez notre secours contre la malice et les embuches du démon. Que Dieu lui fasse sentir son empire, nous vous le demandons en suppliant. Et vous, prince de la milice céleste, par la vertu divine, refoulez en enfer, Satan et les autres esprits mauvais qui sont répandus dans le monde pour la perte des âmes. Amen. (Léon XIII)

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen. 

Une lumière éblouissante jaillit du tabernacle

Contemplons

Notre Dame d’Akita

Méditons

Le 12 juin 1973 (nous sommes dans la semaine qui suit la Pentecôte), alors que sœur Agnès s’apprête à ouvrir le tabernacle pour l’adoration, une lumière éblouissante en jaillit qui remplit toute la chapelle. Quand les autres sœurs arrivent, sœur Agnès leur demande si elles ne voient rien de particulier. Elles répondent par la négative. Sœur Agnès ne dit rien de ce qu’elle est en train de vivre. Le lendemain matin le même phénomène se reproduit.

Le jeudi 14 juin (jour dédié au Saint-Sacrement), sœur Agnès voit jaillir du tabernacle la même lumière, mais entourée d’une flamme rouge. Elle est alors bouleversée : serait-elle devenue folle ? Personne, en effet, ne semble s’être aperçu de quoi que ce soit.

Une semaine s’écoule. Le 24 juin 1973, dimanche, solennité de la Fête-Dieu et Nativité de saint Jean-Baptiste, Mgr Itô évêque du lieu et fondateur de l’Institut des Servantes de l’Eucharistie, célèbre la messe. Au cours de son homélie, il dit : « Cette communauté a été consacrée au Saint-Sacrement et doit approfondir tout spécialement la dévotion au Cœur du Christ présent dans l’Eucharistie. » Sœur Agnès se sent de plus en plus brûler d’amour pour le Seigneur.

Le jeudi suivant, 28 juin, veille de la fête du Sacré-Cœur, elle est en adoration silencieuse, à la chapelle, avec ses compagnes. Soudain, « … une lumière éblouissante jaillit du Saint-Sacrement… et quelque chose qui ressemble à de la brume ou de la fumée se met à flotter autour de l’autel en enveloppant le rayon de lumière. Ensuite apparait une multitude d’êtres semblables à des anges. »

L’évêque étant toujours là, Sœur Agnès va se confier à lui. Mgr Itô la rassure mais l’invite à garder le silence sur ces événements et à prier devant le Saint-Sacrement.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (Prière que Notre Dame de Fatima souhaite à la fin de chaque dizaine du chapelet).

O Jésus qui êtes réellement présent dans l’Eucharistie, je joins mon cœur à votre Cœur adorable, immolé en perpétuel sacrifice sur tous les autels du monde, louant le Père et implorant la venue de votre Règne, et je vous fais l’oblation totale de mon corps et de mon âme.

Daignez agréer cette humble offrande comme il vous plaira, pour la gloire de Dieu et le salut des âmes.

Sainte Mère du Ciel, ne permettez pas que je sois séparé de votre divin Fils, et gardez-moi toujours comme votre propriété. Amen. (Prière des Servantes de l’Eucharistie).

Saint Michel, archange, défendez-nous dans le com­bat, soyez notre secours contre la malice et les embuches du démon. Que Dieu lui fasse sentir son empire, nous vous le demandons en suppliant. Et vous, prince de la milice céleste, par la vertu divine, refoulez en enfer, Satan et les autres esprits mauvais qui sont répandus dans le monde pour la perte des âmes. Amen. (Léon XIII)

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen. 

La voyante : sœur Agnès Sasagawa

Contemplons

Sœur Agnès Sasagawa Katsuko

Méditons

Agnès Sasagawa Katsuko est née en 1931 dans une famille traditionnelle japonaise. A 19 ans, elle se retrouva paralysée à cause d’une opération ratée de l’appendicite qui entrainera 20 autres interventions chirurgicales. Au contact d’une infirmière, elle découvre alors le catholicisme et demande à recevoir le baptême.

En 1956, son état s’aggrave et elle tombe dans le coma. Des religieuses envoient alors de l’eau de Lourdes. Lorsqu’on lui en fait avaler quelques gouttes, elle reprend connaissance et sa paralysie disparaît progressivement. Dès lors, elle devient catéchiste dans sa paroisse.

Malgré sa surdité presque complète depuis ses problèmes de santé, elle intègre en 1969 l’institut des Servantes de l’Eucharistie au couvent d’Akita, un institut séculier dans lequel on peut mener une vie consacrée tout en restant présent dans le monde. C’est Mgr Itô lui-même, conseiller d’Agnès, qui a fondé cet institut séculier.

Agnès est chargée d’assurer la garde de l’Eglise de Myôko. Elle enseigne également le catéchisme. Mais le vendredi 16 mars 1973, elle devient soudain totalement sourde. Elle apprend alors à lire sur les lèvres de ses interlocuteurs. Cependant, trop fatiguée et handicapée pour continuer une vie active dans l’Eglise de Myôkô, elle est admise à venir habiter au couvent de Yuzawadaï, dans un lieu retiré et tranquille. Elle y arrive le 12 mai 1973, accueillie par les cinq religieuses de la communauté. C’est là que Notre Dame, dès le mois suivant, délivre son message au monde et que la statue de Notre Dame de tous les peuples verse des larmes à 101 reprises.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (Prière que Notre Dame de Fatima souhaite à la fin de chaque dizaine du chapelet).

O Jésus qui êtes réellement présent dans l’Eucharistie, je joins mon cœur à votre Cœur adorable, immolé en perpétuel sacrifice sur tous les autels du monde, louant le Père et implorant la venue de votre Règne, et je vous fais l’oblation totale de mon corps et de mon âme.

Daignez agréer cette humble offrande comme il vous plaira, pour la gloire de Dieu et le salut des âmes.

Sainte Mère du Ciel, ne permettez pas que je sois séparé de votre divin Fils, et gardez-moi toujours comme votre propriété. Amen. (Prière des Servantes de l’Eucharistie).

Saint Michel, archange, défendez-nous dans le com­bat, soyez notre secours contre la malice et les embuches du démon. Que Dieu lui fasse sentir son empire, nous vous le demandons en suppliant. Et vous, prince de la milice céleste, par la vertu divine, refoulez en enfer, Satan et les autres esprits mauvais qui sont répandus dans le monde pour la perte des âmes. Amen. (Léon XIII)

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen. 

Le contexte des apparitions

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Le Pape Paul VI

Méditons

Au moment des événements surnaturels à Akita, nous sommes au début des années 70, une période de grands bouleversements qui, depuis l’Europe, s’étendent au monde entier. En effet, la génération du baby-boom est parvenue à l’âge adulte, nous sommes au lendemain de mai 1968 et dans la période de l’après concile Vatican II.

Les événements de mai 68 ont bouleversé les valeurs traditionnelles et remis en question les fondements même de la société. Alors que la génération précédente n’était préoccupée que de la reconstruction du pays et de l’élévation du niveau de vie, la génération de mai 68 se soucie de jouir du confort acquis, portée en cela par la croissance économique des « trente glorieuses. » Les mots d’ordres sont désormais « jouir sans entrave », « il est interdit d’interdire. » Ce renouveau culturel, parti de France, a des prolongements dans le monde entier y compris au Japon.

En effet, la 2ème guerre mondiale a laissé de profonds traumatismes dans la société nippone. Le nationalisme exacerbé pendant la guerre et la période qui l’a précédée, a fait commettre des crimes presque aussi horribles que ceux du régime nazi. La guerre s’est d’ailleurs soldée par la destruction de deux villes nippones, Hiroshima (entre 95 000 et 110 000 morts), Nagasaki (60 000 à 80 000 morts) respectivement les 6 et 9 août 1945. Aujourd’hui encore, le pays reste profondément marqué par ces deux catastrophes nucléaires. A l’heure des apparitions, la nouvelle génération bascule dans une culture opposée à celle de ses parents qui plaçait la patrie au-dessus de toutes les valeurs, pour devenir plus individualiste.

Au niveau ecclésial, nous sommes dans l’immédiat après-concile Vatican II, une période de grande confusion où commencent à s’affronter ouvertement les courants progressistes et traditionalistes. En effet, les adeptes d’une certaine idée du Concile, pensent que ce-dernier a apporté une révolution et non un renouveau. On n’hésite donc pas à tourner le dos aux vérités les plus fondamentales de la doctrine catholique. C’est ainsi que se répandent les doutes sur la présence réelle, sur l’existence de l’enfer, d’un jugement à la fin de cette vie terrestre, des anges, sur la nécessité de la pénitence, de la prière, de l’importance du culte marial, de la repentance des péchés, de la confession… Beaucoup pensent que le concile a aboli toute idée de renoncement, de sacrifice pour inviter à jouir de la vie, et plutôt que de prier Dieu, de se consacrer aux plus pauvres. C’est l’époque aussi où beaucoup de prêtres quittent le sacerdoce, que les séminaires se vident, qu’on rejette l’autorité du Pape Paul VI qui se retrouve quasiment seul à lutter contre les hérésies qui se propagent, que la pratique religieuse s’effondre. Ce n’est pas sans raison que le Pape Paul VI dira dans son homélie du 29 juin 1972, fête des Apôtres Pierre et Paul : « Devant la situation de l’Eglise d’aujourd’hui, nous avons le sentiment que par quelque fissure la fumée de Satan est entrée dans le peuple de Dieu… On croyait qu’après le Concile le soleil aurait brillé sur l’histoire de l’Eglise. Mais au lieu de soleil, nous avons eu les nuages, la tempête, les ténèbres, la recherche, l’incertitude. Nous prêchons l’œcuménisme, et nous nous séparons toujours davantage les uns des autres. Nous cherchons à creuser des abîmes au lieu de les colmater. Comment cela a-t-il pu se produire ? Une puissance adverse est intervenue dont le nom est le diable, cet être mystérieux auquel Saint Pierre fait allusion dans sa lettre. Combien de fois, dans l’Evangile, le Christ ne nous parle-t-il pas de cet ennemi des hommes ! Nous croyons à l’action de Satan qui s’exerce aujourd’hui dans le monde précisément pour troubler, pour étouffer les fruits du Concile œcuménique, et pour empêcher l’Eglise de chanter sa joie d’avoir repris pleinement conscience d’elle-même. Et c’est pourquoi nous voudrions, aujourd’hui plus que jamais, être capables d’exercer la fonction, confiée par Dieu à Pierre, de confirmer nos frères dans la foi. Nous voudrions vous communiquer ce charisme de la certitude que le Seigneur donne à celui qui le représente sur cette terre, quelle que soit son indignité… » (Paul VI, Homélie du 29 juin 1972).

C’est dans ce contexte que Marie, la petite servante, la messagère de Dieu, apparait à Akita pour rappeler au monde les vérités fondamentales de la foi et l’inviter à la conversion.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (Prière que Notre Dame de Fatima souhaite à la fin de chaque dizaine du chapelet).

O Jésus qui êtes réellement présent dans l’Eucharistie, je joins mon cœur à votre Cœur adorable, immolé en perpétuel sacrifice sur tous les autels du monde, louant le Père et implorant la venue de votre Règne, et je vous fais l’oblation totale de mon corps et de mon âme.

Daignez agréer cette humble offrande comme il vous plaira, pour la gloire de Dieu et le salut des âmes.

Sainte Mère du Ciel, ne permettez pas que je sois séparé de votre divin Fils, et gardez-moi toujours comme votre propriété. Amen. (Prière des Servantes de l’Eucharistie).

Saint Michel, archange, défendez-nous dans le com­bat, soyez notre secours contre la malice et les embuches du démon. Que Dieu lui fasse sentir son empire, nous vous le demandons en suppliant. Et vous, prince de la milice céleste, par la vertu divine, refoulez en enfer, Satan et les autres esprits mauvais qui sont répandus dans le monde pour la perte des âmes. Amen. (Léon XIII)

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen. 

Le catholicisme au Japon

Contemplons

Crucifiement des 26 martyrs du Japon en 1597

Méditons

Les premières activités missionnaires lancées par les jésuites, dont saint François-Xavier, débutent en 1549. Ils sont rejoints par les ordres mendiants espagnols. Pendant la trentaine d’années qui suit la mort de saint François-Xavier, le christianisme se développe dans la région de Kyushu, doucement mais sans heurts.

En 1587, le shogun Toyotomi Hideyoshi décide l’expulsion du pays des missionnaires car il ressent l’influence des jésuites, mais surtout des franciscains, comme une menace pour son pouvoir personnel. Toutefois, pour des raisons d’ordre économique son décret est peu appliqué.

Par la suite, une violente opposition s’élève. Le 5 février 1597, 26 catholiques sont crucifiés à Nagasaki, et en 1614, le shogun Tokugawa interdit le christianisme : les missionnaires sont expulsés.

En 1624, tous les Espagnols sont expulsés.

En 1637-1638 la rébellion chrétienne de Shimabara est réprimée par le massacre des insurgés et suivie de l’expulsion des Portugais du Japon. Le pays est fermé entre 1641 et 1853 : aucun étranger ne peut entrer ni aucun Japonais en sortir sous peine de mort.

Du milieu du XIXème siècle jusqu’au milieu du XXème, ce sont les missionnaires français des Missions étrangères de Paris qui prennent la relève et fondent plusieurs vicariats apostoliques dont Nagasaki. Le prêtre missionnaire Bernard Petitjean y construit la basilique des Vingt-six Martyrs du Japon en 1864.

Aujourd’hui, les catholiques sont au nombre de 450 000 sur près de 127 millions d’habitants, soit 0,36 % de la population totale, qui est à 71 % bouddhistes et à 15 % shintoïstes. Il existe également une petite minorité protestante.

La communauté catholique ne connaît pas de croissance. En 2017, sur l’ensemble des 16 diocèses du pays, un seul jeune homme est entré au grand séminaire japonais. Si l’ensemble de l’épiscopat est local depuis 1940, le poids du clergé étranger est encore important dans le pays. Sur environ 1 800 prêtres (religieux ou non), 519 sont des missionnaires étrangers.

Le sanctuaire de Notre-Dame d’Akita est devenu un centre important de pèlerinages catholiques, à la suite des événements qui s’y sont produits entre 1973 et 1975.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (Prière que Notre Dame de Fatima souhaite à la fin de chaque dizaine du chapelet).

O Jésus qui êtes réellement présent dans l’Eucharistie, je joins mon cœur à votre Cœur adorable, immolé en perpétuel sacrifice sur tous les autels du monde, louant le Père et implorant la venue de votre Règne, et je vous fais l’oblation totale de mon corps et de mon âme.

Daignez agréer cette humble offrande comme il vous plaira, pour la gloire de Dieu et le salut des âmes.

Sainte Mère du Ciel, ne permettez pas que je sois séparé de votre divin Fils, et gardez-moi toujours comme votre propriété. Amen. (Prière des Servantes de l’Eucharistie).

Saint Michel, archange, défendez-nous dans le com­bat, soyez notre secours contre la malice et les embuches du démon. Que Dieu lui fasse sentir son empire, nous vous le demandons en suppliant. Et vous, prince de la milice céleste, par la vertu divine, refoulez en enfer, Satan et les autres esprits mauvais qui sont répandus dans le monde pour la perte des âmes. Amen. (Léon XIII)

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen. 

Les apparitions d’Akita

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Notre Dame d’Akita, la statue qui a suinté de l’huile

Méditons

Il est de nombreux lieux de pèlerinage dont l’origine remonte à une apparition de la Vierge Marie. Sans qu’elle ne se positionne jamais officiellement sur l’origine de l’apparition, l’Eglise autorise néanmoins le culte catholique et la dévotion mariale sur ces lieux. C’est ainsi que nombre de basiliques ont été construites et continuent d’être aujourd’hui des sanctuaires très fréquentés où Notre Dame déverse ses grâces (la rue du Bac à Paris par exemple).

L’Eglise n’est cependant pas toujours restée silencieuse. Elle a authentifié 16 apparitions mariales dont la plupart sont récentes. Ainsi, peut-on nommer : Guadalupe (Mexique, 1531), Le Laus (France, 1664), Rome (à Alphonse Ratisbonne en 1842), La Salette (France, 1846), Lourdes (France, 1858), Pontmain (France, 1871), Fatima (Portugal, 1917), Knock (Irlande, 1879), Giertzwald (Pologne, 1877), Betania (Venezuela, 1976-1988), Champion (Wisconsin, Etats-Unis, 1859), Beauraing (Belgique, 1932), Banneux (Belgique, 1933), Amsterdam (Pays-Bas, 1945), Akita (Japon, 1973-1981) et enfin Kibeho (Rwanda, 1981).

Notre-Dame d’Akita est le vocable sous lequel est invoquée Marie, la Mère de Dieu, qui a délivré trois messages à une religieuse japonaise, sœur Agnès Sasagawa Katsuko les 6 juillet, 3 août et 13 octobre 1973 à Akita au Japon. A la suite de ces messages, une statue la représentant comme Notre Dame de tous les peuples, fut l’objet de 101 lacrymations inexpliquées entre le 4 janvier 1975 et le 15 septembre 1981.

Les apparitions d’Akita ont été reconnues comme authentiques et dignes de foi par l’évêque de Niigata, Monseigneur Itô à Pâques 1984 et approuvées par le cardinal Joseph Ratzinger, alors préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi en juin 1988.

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1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (Prière que Notre Dame de Fatima souhaite à la fin de chaque dizaine du chapelet).

O Jésus qui êtes réellement présent dans l’Eucharistie, je joins mon cœur à votre Cœur adorable, immolé en perpétuel sacrifice sur tous les autels du monde, louant le Père et implorant la venue de votre Règne, et je vous fais l’oblation totale de mon corps et de mon âme.

Daignez agréer cette humble offrande comme il vous plaira, pour la gloire de Dieu et le salut des âmes.

Sainte Mère du Ciel, ne permettez pas que je sois séparé de votre divin Fils, et gardez-moi toujours comme votre propriété. Amen. (Prière des Servantes de l’Eucharistie).

Saint Michel, archange, défendez-nous dans le com­bat, soyez notre secours contre la malice et les embuches du démon. Que Dieu lui fasse sentir son empire, nous vous le demandons en suppliant. Et vous, prince de la milice céleste, par la vertu divine, refoulez en enfer, Satan et les autres esprits mauvais qui sont répandus dans le monde pour la perte des âmes. Amen. (Léon XIII)

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen. 

Lanciano

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Le reliquaire contenant les saintes espèces du miracle eucharistique de Lanciano

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Le plus connu des miracles Eucharistique est, sans doute, celui de Lanciano, petite ville, en Italie, à quelques kilomètres de la mer Adriatique. Ce miracle eût lieu au début du 8ème siècle.

Voici donc ce remarquable récit : « Un moine basilien, sage sur les choses du monde mais moins sur les choses de la foi, passait par un moment difficile dans sa perception de la réelle présence de Notre-Seigneur Jésus-Christ dans l’Eucharistie. Il priait constamment pour le soulagement de ses doutes ; celui-ci effectivement doutait et se trouvait consumé d’effroi de perdre un jour sa vocation. Son martyre était très pénible et il souffrait quotidiennement de la routine de son sacerdoce. La grâce Divine ne l’abandonna pas car Dieu le Père, dans sa miséricorde infinie, le sortit des ténèbres avec la même grâce accordée à l’apôtre saint Thomas.

Finalement un matin, pendant la célébration de la messe, sujet à une grande attaque de doutes, il commença la consécration devant les habitants d’un village voisin. Soudainement après la consécration du pain et du vin, ce qu’il vit sur l’autel le fit trembler des mains. Il resta interdit, le dos tourné aux fidèles, pendant un moment qui sembla aux paroissiens une éternité, puis, doucement il se tourna vers eux et leur dit : « O témoins heureux à qui le Dieu béni, pour contredire mon incrédulité, a voulu se révéler Lui-même dans ce béni sacrement et se rendre visible à nos yeux. Venez voir notre Dieu si près de nous. Voici la chair et le sang de Jésus-Christ, notre bien-aimé. »

En effet, l’hostie s’était transformée en chair et le vin en sang ! Les fidèles, ayant témoigné du miracle, commencèrent à pleurer, en demandant pardon et miséricorde. Certains se frappèrent la poitrine, en confessant leurs péchés et en se déclarant indignes de témoigner de ce miracle, d’autres encore s’agenouillèrent en respect et en remerciement pour le cadeau que Dieu leur avait offert. Ce jour même, la rumeur du miracle parcourut tout le village comme un feu embrase une forêt et, tout aussi vite, les villages voisins jusqu’au Saint-Siège même. »

Certes, le miracle de Lanciano était adressé au bon moine italien, au peuple du petit village et aux hommes de ce temps, mais aussi aux hommes de toutes les nations du monde et de toutes générations à venir, car ce qui est le plus remarquable, est la continuité même de ce miracle, un miracle qui demeura visible pour tous pendant une période de plus de 1300 ans, sans, toutefois, le moindre usage d’un quelconque produit de conservation ou substance chimique permettant à la chair et au sang de rester frais ; car la sainte Hostie, transformée en chair et le vin transformé en sang, sont demeurés, pendant plus de treize siècles, parfaitement intacts !

En 1970, 1971 et plus tard en 1981, une investigation scientifique fut encouragée par l’Eglise. L’illustre professeur et docteur Odoardo Linoli, professeur d’anatomie, d’histologie pathologique, de chimie et de microscopie clinique et médecin en chef de l’ensemble des hôpitaux d’Arezzo, commença une longue série d’analyses et de tests afin de déterminer l’exacte nature dudit miracle. Il fut assisté par le docteur Ruggero Bertelli, professeur émérite du département d’anatomie de l’université de Sienne. Les investigations furent toutes menées avec des procédures de haute gamme technologique dont les observations furent largement confirmées par une série de photographies prises au microscope. Les analyses, une fois terminées, permirent les conclusions suivantes :

– Le sang du miracle eucharistique est du vrai sang et la chair, de la vraie chair ;

– La chair est constituée de tissus du muscle cardiaque (la manière dont cette tranche de chair a été obtenue par dissection dans le myocarde suppose une habileté exceptionnelle de la part du « praticien ») ;

– Le type sanguin est le même dans la chair et dans les globules de sang, AB+ (Type sanguin identique à celui trouvé par le professeur Baima Bollone sur le Saint Suaire de Turin. Plusieurs minéraux ont été trouvés dans le sang : chlorites, phosphores, magnésium, potassium, sodium et calcium. Il fut trouvé des protéines dans les mêmes proportions normales qui sont trouvées dans les séro-protéiques de sang courant) ;

– Le diagramme de ce sang correspond à celui d’un sang humain qui aurait été prélevé sur un corps humain dans la même journée (le sang est réel ; il est composé de cinq caillots inégaux, mais chacun d’eux pèse exactement le poids des cinq caillots pris ensembles, soit 15,85 grammes) ;

– Aucune trace de matières ou d’agents de conservations ne fut détecté dans la chair ou le sang (la préservation de la chair et du sang, qui furent exposés dans leur état naturel pendant treize siècles et exposés à l’action d’agents atmosphériques et biologiques, constitue un extraordinaire phénomène, scientifiquement inexplicable ; les résultats d’analyse constituent une violation absolue des lois de la physique).

Le témoignage scientifique confirme ce que nous croyons par la foi et ce que l’Église catholique nous enseigne depuis 2000 ans, faisant ainsi écho aux paroles de Jésus-Christ : « En vérité je vous le dit, celui qui mange ma chair et boit mon sang, possède la vie éternelle et moi, je le ressusciterai au dernier jour. Celui qui mange ce pain vivra éternellement » (Jean 6, 53-59).

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (Prière que Notre Dame de Fatima souhaite à la fin de chaque dizaine du chapelet).

O Jésus qui êtes réellement présent dans l’Eucharistie, je joins mon cœur à votre Cœur adorable, immolé en perpétuel sacrifice sur tous les autels du monde, louant le Père et implorant la venue de votre Règne, et je vous fais l’oblation totale de mon corps et de mon âme.

Daignez agréer cette humble offrande comme il vous plaira, pour la gloire de Dieu et le salut des âmes.

Sainte Mère du Ciel, ne permettez pas que je sois séparé de votre divin Fils, et gardez-moi toujours comme votre propriété. Amen. (Prière des Servantes de l’Eucharistie).

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen. 

Le miracle eucharistique de Buenos Aires

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En 1996, lorsque le pape François était évêque auxiliaire du Cardinal Quarracino à Buenos Aires, un miracle eucharistique notoire eut lieu. C’est le pape actuel qui demanda lui-même à ce qu’il soit photographié et qui examina ce fait. Les résultats sont stupéfiants.

Le 18 août 1996, à 19h, le père Alejandro Pezet célébrait la messe dans l’église qui se trouve dans le centre commercial de la ville. Alors qu’il finissait de donner la Sainte Communion, une femme vint lui dire qu’elle avait trouvé une hostie dont on s’était débarrassé au fond de l’église. En allant à l’endroit indiqué, le P. Alejandro vit l’hostie souillée. Comme il ne pouvait pas la consommer, il la plaça dans un petit récipient d’eau qu’il rangea dans le tabernacle de la chapelle du Saint Sacrement.

Le lundi 26 août, ouvrant le tabernacle, il vit à sa grande stupéfaction que l’Hostie était devenue une substance sanglante. Il en informa Mgr Jorge Bergoglio qui donna des instructions afin que l’Hostie soit photographiée de façon professionnelle. Les photos, prises le 6 septembre, montrent clairement que l’Hostie, qui était devenue un fragment de chair sanglante, avait beaucoup grossi en taille. Pendant plusieurs années l’Hostie demeura dans le tabernacle, toute l’affaire étant gardée secrète. Comme l’Hostie ne souffrait d’aucune décomposition visible, Mgr Bergoglio décida de la faire analyser scientifiquement.

Le 5 octobre 1999, en la présence des représentants de Mgr Bergoglio devenu archevêque, le Dr Castanon préleva un échantillon du fragment sanglant et l’envoya à New York pour analyse. Comme il ne voulait pas influencer les résultats de l’examen, il décida de cacher à l’équipe de scientifiques l’origine de l’échantillon. L’un de ces scientifiques était le réputé cardiologue et pathologiste médico-légal, le Dr Frederic Zugiba. Il détermina que la substance analysée était de la véritable chair et du vrai sang contenant de l’ADN humain. Il déclara que : « la matière analysée est un fragment du muscle du cœur qui se trouve dans la paroi du ventricule gauche, près des valves. Ce muscle est responsable de la contraction du cœur. On doit se rappeler que le ventricule gauche du cœur agit comme une pompe qui envoie le sang à travers tout le corps. Le muscle cardiaque est dans un état d’inflammation et contient un nombre important de globules blancs. Ceci indique que le cœur était vivant au moment où l’échantillon a été prélevé. J’affirme que le cœur était vivant étant donné que les globules blancs meurent en dehors d’un organisme vivant. Ils ont besoin d’un organisme vivant pour les maintenir. Donc, leur présence indique que le cœur était vivant quand l’échantillon a été prélevé. Par ailleurs, ces globules blancs avaient pénétré les tissus, ce qui indique d’autant plus que le cœur avait été soumis à un stress intense, comme si son propriétaire avait été battu sévèrement au niveau de la poitrine. »

Deux Australiens, le journaliste Mike Willesee et le juriste Ron Tesoriero, furent les témoins de ces tests. Connaissant l’origine de l’échantillon, ils étaient sidérés par la déclaration du Dr Zugiba. Mike Willesee demanda au scientifique combien de temps les globules blancs auraient pu rester vivants s’ils provenaient de tissus humains conservés dans de l’eau. Le Dr Zugiba lui répondit qu’ils auraient cessé d’exister au bout de quelques minutes. Le journaliste révéla alors au docteur que la substance d’où provenait l’échantillon avait d’abord été conservée dans de l’eau ordinaire pendant un mois et qu’ensuite, pendant trois ans, elle avait été conservée dans un récipient d’eau déminéralisée, et c’est seulement après ce temps qu’un échantillon avait été prélevé pour analyse. Le Dr Zugiba était très embarrassé pour prendre ce fait en considération. Il déclara qu’il n’y avait aucun moyen d’expliquer ce fait scientifiquement. Aussi le Dr Zugiba demanda-t-il : « Vous devez m’expliquer une chose : si cet échantillon provient d’une personne morte, alors comment se peut-il que pendant que je l’examinais, les cellules de l’échantillon étaient en mouvement et pulsaient ? Si ce cœur provient de quelqu’un qui est mort en 1996, comment peut-il être toujours en vie ? »

Alors seulement Mike Willesee révéla au Dr Zugiba que l’échantillon analysé provenait d’une Hostie consacrée (du pain blanc sans levain) qui s’était mystérieusement transformée en de la chair humaine sanglante. Ahuri par cette information, le Dr Zugiba répondit : « Comment et pourquoi une Hostie consacrée peut changer son caractère et devenir de la chair et du sang humains vivants, cela restera un inexplicable mystère pour la science – un mystère totalement au-delà de sa compétence. »

Ensuite le Dr Ricardo Castanon Gomez prit des dispositions pour que les rapports du laboratoire établis à la suite du miracle de Buenos Aires soient comparés à ceux élaborés après la miracle de Lanciano, encore une fois sans révéler l’origine des échantillons de test. Les experts qui procédèrent à cette comparaison conclurent que les deux rapports des laboratoires avaient analysé des échantillons de tests provenant de la même personne. Ils signalèrent encore que les deux échantillons révélaient un sang de type « AB » positif. Ce sang porte les caractéristiques d’un homme qui est né et qui a vécu au Moyen Orient.

Seule la foi dans l’extraordinaire action de Dieu donne la réponse raisonnable ! Dieu veut que nous soyons conscients qu’Il est vraiment présent dans le mystère de l’Eucharistie. Le miracle eucharistique de Buenos Aires est un signe extraordinaire attesté par la science. A travers lui Jésus désire réveiller en nous une foi vivante en Sa Présence Réelle dans l’Eucharistie, réelle et non pas symbolique. C’est seulement avec les yeux de la foi et non pas avec nos yeux humains, que nous Le voyons sous l’apparence du pain et du vin consacrés. Dans l’Eucharistie Jésus nous voit et nous aime et désire nous sauver.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (Prière que Notre Dame de Fatima souhaite à la fin de chaque dizaine du chapelet).

O Jésus qui êtes réellement présent dans l’Eucharistie, je joins mon cœur à votre Cœur adorable, immolé en perpétuel sacrifice sur tous les autels du monde, louant le Père et implorant la venue de votre Règne, et je vous fais l’oblation totale de mon corps et de mon âme.

Daignez agréer cette humble offrande comme il vous plaira, pour la gloire de Dieu et le salut des âmes.

Sainte Mère du Ciel, ne permettez pas que je sois séparé de votre divin Fils, et gardez-moi toujours comme votre propriété. Amen. (Prière des Servantes de l’Eucharistie).

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

Les miracles eucharistiques

Contemplons

Miracle eucharistique de Bolsena (Orvieto) en 1263 (marbre qui a conservé la marque laissée par le Précieux Sang miraculeux).

Méditons

Ces miracles consistent en différentes choses, principalement :

  • Lévitation de l’hostie (Faverney, 1608, pendant plusieurs heures ; Lourdes, 1999) ;
  • L’apparition d’une image sur l’hostie : visage du Christ… (Douai, 1254 ; Chirattakonam en Inde, 2001) ;
  • L’hostie se change en chair ou bien saigne abondamment (Lanciano vers 750 ; Trani dans les Pouilles, en Italie, vers l’an 1000 ; Bolsena en Italie en 1263 ; O Cebreiro en Espagne en 1300 ; Cascia en Italie en 1330 ; Betania en 1991 ; Buenos Aires en 1996).

Là où les analyses de sang ont été faites, elles confirment qu’il s’agit toujours de sang du groupe AB (c’est aussi le groupe sanguin que l’on retrouve sur le Suaire de Turin !). Ce fait mérite d’être noté, car c’est un argument en faveur de l’authenticité : ces reliques sont dûment répertoriées depuis des siècles, bien avant qu’on ait connu ou même pu imaginer les analyses de groupes sanguins. Les analyses ont été faites en ordre dispersé, sans que les scientifiques de ces divers pays ne se soient concertés !

Le miracle eucharistique de Lanciano est extraordinaire. C’est le plus ancien, il remonte au VIIIème siècle et a vu les espèces sacrées se transformer en chair et en sang. Un miracle face auquel la science moderne également s’est inclinée. L’analyse de l’hostie transformée en chair a révélé qu’il s’agit de tissu du myocarde. Le miracle de Sienne est également impressionnant. Les hosties consacrées faites d’une farine de froment ordinaire, volées et puis retrouvées en août de l’année 1730, ne se sont pas détériorées avec le temps. Seules celles qui étaient consacrées sont restées intactes, alors que celles qui ne l’étaient pas se sont abîmées avec le temps. La science moderne a cherché de toutes les manières à expliquer ce phénomène, mais elle a dû admettre qu’il s’agissait d’un miracle. Pour nous croyants, il s’agit d’une présence réelle permanente, dont témoignent ces hosties conservées intactes depuis trois cents ans.

Les miracles eucharistiques obligent à réfléchir avec sérieux sur la présence réelle de Jésus dans l’Eucharistie. Le pain consacré est vraiment le Corps de Jésus ! Le vin consacré est vraiment le Sang du Seigneur !

Que Marie, Notre-Dame de l’Eucharistie, avive et soutienne en nous la foi en la présence réelle et aimante de Jésus dans l’Eucharistie.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (Prière que Notre Dame de Fatima souhaite à la fin de chaque dizaine du chapelet).

O Jésus qui êtes réellement présent dans l’Eucharistie, je joins mon cœur à votre Cœur adorable, immolé en perpétuel sacrifice sur tous les autels du monde, louant le Père et implorant la venue de votre Règne, et je vous fais l’oblation totale de mon corps et de mon âme.

Daignez agréer cette humble offrande comme il vous plaira, pour la gloire de Dieu et le salut des âmes.

Sainte Mère du Ciel, ne permettez pas que je sois séparé de votre divin Fils, et gardez-moi toujours comme votre propriété. Amen. (Prière des Servantes de l’Eucharistie).

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen. 

Le Couronnement de Marie

Contemplons

Méditons

Le Roi des rois couronne sa Mère Immaculée. La Mère du Sauveur participe au triomphe de son Fils, vrai Homme et vrai Dieu. La voilà, avec Lui, Reine des reines, dans une gloire sans fin.

C’est Elle qui nous a donné Jésus. C’est elle qui Lui a donné son corps et son sang, que nous recevons dans la communion. L’Eglise, dans sa liturgie eucharistique, ne cesse de louer le Sauveur né de la Vierge Marie : « Salut, vrai corps, né de la Vierge Marie » (Ave verum), « Chante, ô ma langue, le mystère du glorieux corps et du sang précieux que répandit pour le rachat du monde le Roi des nations, fruit de nobles entrailles… Il nous a été donné, Il nous est né de la Vierge sans souillure » (Pange lingua). Le bienheureux pape Pie XI l’a rappelé par les mots : « Le Corps du Christ qui nous sert de nourriture est ce même corps que la Vierge a mis au monde. »

C’est donc par la communion que nous atteignons l’union la plus intime avec notre Reine, notre Mère, puisque le Sang du Sauveur, qui est aussi le sien, vient purifier et fortifier nos âmes. Pour sa plus grande joie et la plus grande gloire de Dieu, nous pouvons donc lui répéter sans cesse : « Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. » 

Marie, Notre Dame de l’Eucharistie, apprenez-nous à nous nourrir du pain du ciel que vous avez donné au monde, afin de participer un jour avec vous au « festin des noces de l’Agneau » (Apocalypse 19, 9).

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (Prière que Notre Dame de Fatima souhaite à la fin de chaque dizaine du chapelet).

O Jésus qui êtes réellement présent dans l’Eucharistie, je joins mon cœur à votre Cœur adorable, immolé en perpétuel sacrifice sur tous les autels du monde, louant le Père et implorant la venue de votre Règne, et je vous fais l’oblation totale de mon corps et de mon âme.

Daignez agréer cette humble offrande comme il vous plaira, pour la gloire de Dieu et le salut des âmes.

Sainte Mère du Ciel, ne permettez pas que je sois séparé de votre divin Fils, et gardez-moi toujours comme votre propriété. Amen. (Prière des Servantes de l’Eucharistie).

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.