Le Saint Sacrifice de la Messe selon les Visions de frère Kostka

Entretien entre Jésus et Pilate

Frère Kostka : « La révolte du peuple, qui insistait avec obstination sur la condamnation à mort de Jésus, affecta profondément les nerfs du gouverneur romain. Une peur panique s’empara du juge lorsque les chefs des juifs affirmèrent que l’accusé devait mourir, car Il s’était fait Fils de Dieu, un crime qui, selon leur loi, devait être puni de mort.

Pilate entra avec Jésus dans le prétoire pour un entretien en privé. Il ressentait un malaise profond face à cet homme silencieux et si innocent. Le calme souverain, la renommée passée et la popularité de Jésus, la rage actuelle du peuple et ses exigences faisaient comprendre à Pilate qu’il avait devant lui une personnalité exceptionnelle.

L’accusation selon laquelle Jésus s’était fait Dieu et était craint comme tel, pesait sur son âme comme un cauchemar. Il était plus qu’intrigué. Il voulait savoir d’où venait cet homme mystérieux : « D’où es-tu ? »

Jésus, le Grand Silencieux, resta très réservé envers son juge, ce qui irrita Pilate. Il voulut alors lui rappeler son pouvoir : « Tu ne me parles pas ? Ne sais-tu pas que j’ai le pouvoir de te relâcher ou de te crucifier ? » Jésus répondit avec un calme et une supériorité qui valaient plus que mille paroles : « Tu n’aurais aucun pouvoir sur moi s’il ne t’avait été donné d’en haut. C’est pourquoi celui qui m’a livré à toi porte une plus grande faute. »

Jésus fait sentir à ce magistrat romain sa faute et parle à sa conscience. La douleur causée par la flagellation et le couronnement d’épines était comme un glaive qui s’enfonçait dans le cœur du juge responsable. Pilate fut de nouveau ébranlé et poussé à vouloir la libération de Jésus. Mais les Juifs crièrent : « Si tu le relâches, tu n’es pas ami de César. Quiconque se fait roi s’oppose à César !  »

(Traduit de l’allemand : « Das heilige Messopfer – in Schauungen erlebt »).

Prions

Une dizaine du chapelet (1 Notre Père, 10 Je vous salue Marie, 1 Gloire au Père)

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les anges et tous les saints,

le corps, le sang, l’âme, la divinité, la sainte-face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les anges et de tous les saints,

de toutes les saintes messes et communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts, reposent en paix. Amen.

Le Saint Sacrifice de la Messe selon les Visions de frère Kostka

L’image de l’Ecce homo et chaque âme en particulier

Frère Kostka : « L’image de l’Ecce Homo est l’expression fidèle de l’image de Dieu défigurée par le péché. Lors de la création, Dieu fit l’homme à Son image et à Sa ressemblance. Mais l’homme s’est séparé de son Créateur et a défiguré l’image de Dieu par le péché et le crime. Le Christ est venu pour renouveler cette image et la remodeler selon sa beauté originelle. Cela se réalise par Sa Croix et Sa Passion, par le don des mérites du Rédempteur.

Depuis ce premier Vendredi Saint, l’image de l’Ecce Homo se dresse sur tous les chemins de pèlerinage de la vie, regardant chaque homme comme une image bouleversante de la miséricorde divine. Elle oblige chaque être humain à prendre position et à faire un choix.

Dans le miroir de l’Ecce Homo, chaque pécheur, chaque tiède peut voir et reconnaître l’image spirituelle de son propre intérieur. Si quelqu’un se laisse toucher par la vue de cette image, s’il se recueille avec componction et revient à Dieu, confiant dans les mérites du Rédempteur, alors le Christ, dans une miséricorde infinie, enlève les déformations de son âme. Oui, Il renouvelle le visage selon la beauté première des enfants de Dieu. Mais si l’homme pécheur, comme les Juifs ce Vendredi Saint, repousse la grâce, s’il est scandalisé par la Croix et par l’image de l’Ecce Homo, alors cette rencontre devient pour lui condamnation et perdition.

La figure de l’Ecce Homo se dresse aussi devant ceux qui aspirent à la perfection. À ceux-là, le Christ veut offrir non pas simplement une image signée comme le feraient les rois et les empereurs, mais Il veut imprimer dans leur âme Son image d’Ecce Homo. Il veut les former à cette image par la pénitence, la mortification et le renoncement, afin qu’ils L’aident à sauver les âmes immortelles. Heureuse l’âme qui trouve le courage de souffrir, qui s’approche du Sauveur dans une compassion active, et qui, comme Véronique, reçoit dans son âme l’image de l’Ecce Homo. C’est une grâce très grande. J’ai souvent supplié ardemment pour obtenir cette faveur. À chaque station, je prie avec ferveur : « Ô Marie, imprime profondément dans mon âme les plaies que Ton Fils a souffertes pour moi ! » Dieu a exaucé ma prière. Désormais, je peux contempler et ressentir les souffrances du Christ, oui, même porter en partie l’opprobre qui s’est abattu sur Lui. Dans une vision spirituelle, je comprends comment l’âme ressent les douleurs et la fièvre des plaies du Christ, et comment elle reçoit en elle le Sang du Seigneur.

Je ne sais pas si je m’exprime correctement. Mais cette participation à la souffrance et cette réception du sang me semblent être une sorte de communion. Chaque goutte devient alors protection et bouclier, réconforte et vivifie l’âme souffrante dans sa soif du salut des âmes. »

(Traduit de l’allemand : « Das heilige Messopfer – in Schauungen erlebt »).

Prions

Une dizaine du chapelet (1 Notre Père, 10 Je vous salue Marie, 1 Gloire au Père)

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les anges et tous les saints,

le corps, le sang, l’âme, la divinité, la sainte-face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les anges et de tous les saints,

de toutes les saintes messes et communions passées, présentes, futures,

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et dans les plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts, reposent en paix. Amen.

Le Saint Sacrifice de la Messe selon les Visions de frère Kostka

« Ecce homo »

Frère Kostka : « Pilate était sur une terrasse. Il se leva  et dit au peuple, après avoir ordonné silence par des trompettes : « Voici l’homme, afin que vous sachiez que je ne trouve aucune faute en Lui. » Jésus fut montré du haut de la terrasse, devant tout le peuple. Il était ligoté, portait la couronne d’épines, le sceptre de roseau et le manteau pourpre ; il était défiguré et saignait.

Lorsque Pilate, pointant Jésus de la main droite, cria : « Ecce homo »« Voici l’homme », un silence tomba, et beaucoup furent profondément bouleversés. L’intention du préfet romain, en montrant cet homme si maltraité, était d’éveiller la compassion, d’influencer le Sanhédrin et le peuple juif afin de libérer le Seigneur. Mais il n’atteignit pas son objectif. Lorsque les grands prêtres et leurs partisans virent le visage souffrant du Christ, une vague immense de dégoût et de haine déferla sur eux. Au lieu d’éprouver de la compassion, leur cœur s’embrasa de haine, et une grande peur les envahit que Pilate veuille libérer l’accusé, car ils comprirent bien les intentions du juge romain.

D’une voix tremblante de rage, ils crièrent : « Crucifie-Le ! Crucifie-Le ! » Un tumulte s’éleva parmi les hommes du peuple qui se joignirent à cette demande. Ces cris durèrent quelques minutes.

Pilate avait sûrement espéré pouvoir libérer Jésus de ses ennemis. Mais il fut soudainement déçu. Il se remit à douter, ce qui allait lui être fatal. Mais il ne voulait toujours pas prononcer la sentence de mort. Tout en lui résistait. Très contrarié, intérieurement agité, il se déroba à la responsabilité devant tout le peuple en disant : « Prenez-Le vous-mêmes et crucifiez-Le. Je ne trouve aucune faute en Lui. » Les responsables juifs justifièrent alors leur demande de crucifier Jésus en disant : « Nous avons une loi, et selon cette loi, Il doit mourir, car Il s’est fait Fils de Dieu. »

C’est horrible de voir, avec les yeux de l’âme, la dureté de cœur. Dans cet état d’âme, tout se retourne en son contraire. L’amour se transforme en haine, la bénédiction offerte en malédiction, la grâce de Dieu devient malheur. Tout cela se passe ainsi, comme l’Écriture le dit : «  Il est destiné à la chute et à la résurrection de beaucoup en Israël et comme un signe de contradiction. » (Luc 2, 34). Par nécessité intérieure, le Verbe incarné devient soit un chemin de salut, soit de damnation, selon l’état de l’âme. Les deux aspects sont inclus dans le mystère de l’Incarnation, selon la miséricorde et la justice de Dieu. »

(Traduit de l’allemand : « Das heilige Messopfer – in Schauungen erlebt »).

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O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les anges et tous les saints,

le corps, le sang, l’âme, la divinité, la sainte-face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les anges et de tous les saints,

de toutes les saintes messes et communions passées, présentes, futures,

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et dans les plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

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Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts, reposent en paix. Amen.

Le Saint Sacrifice de la Messe selon les Visions de frère Kostka

La condamnation à mort – La participation de la Sainte Trinité et des Anges

Frère Kostka : « Au début de la préface, je vois en même temps, avec le Sauveur souffrant, les mouvements spirituels de la Sainte Trinité et du monde des anges (l’expression mouvements spirituels vient entièrement du frère Kostka). Ce sont des mystères en lien avec la Messe, des mystères que l’intelligence humaine ne peut imaginer, et que la langue humaine ne saurait exprimer.

L’humanité souffrante de notre Seigneur se trouve dans la lumière éclatante de la Sainte Trinité. Il se rend entièrement disponible à Elle. La Divinité participe activement à la rédemption. Dieu utilise le Verbe incarné pour accomplir Ses plans de salut. La Sainte Trinité dirige tout. Elle agit aussi pour empêcher la mort prématurée du Christ.

Dans cette lumière, le Sauveur voit l’impact et l’éclat de Sa souffrance jusqu’à la fin des temps et au-delà. Actuellement, dans Son esprit, se présente la justification des hommes tombés, la guérison de toutes les blessures de l’âme, la conversion de nombreux hommes du monde à Dieu, la conversion de nations entières, l’honneur rendu au Père céleste par le sacrifice perpétuel de la Nouvelle Alliance. Dans cette vision lumineuse, l’Agneau sans tache a un courage et une détermination dans Ses souffrances qui ne peuvent être décrits. Ce n’est pas une résignation lourde, mais un acte sacrificiel sublime, prêt à tout accepter, jusqu’à un excès de souffrances, même au-delà de ce qui serait possible. L’intention pure et droite de Jésus est uniquement dirigée vers Dieu et vers le salut des âmes immortelles.

La Mère de Dieu voyait alors aussi, sans interruption, son Fils dans ce cercle de lumière, et elle savait l’action et la participation de toute la très sainte Trinité. Elle a reconnu, plus profondément que quiconque, l’offrande d’amour de son Fils, et, de son côté, elle s’est unie, dans le plus haut amour et dans la plus totale offrande d’elle-même, au sacrifice de son Fils.

Mais ce ne sont là que d’infimes fragments des mystèresSi l’on voulait et si l’on pouvait exprimer tout ce qui se passe pendant la Préface et la louange d’action de grâces, un seul livre ne suffirait pas à contenir ces événements. »

(Traduit de l’allemand : « Das heilige Messopfer – in Schauungen erlebt »).

Prions

Une dizaine du chapelet (1 Notre Père, 10 Je vous salue Marie, 1 Gloire au Père)

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les anges et tous les saints,

le corps, le sang, l’âme, la divinité, la sainte-face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les anges et de tous les saints,

de toutes les saintes messes et communions passées, présentes, futures,

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et dans les plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

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Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts, reposent en paix. Amen.

Le Saint Sacrifice de la Messe selon les Visions de frère Kostka

Préface et Sanctus

La liturgie de l’ancien Missel romain comporte quinze préfaces, selon trois modes de chant
– une préface pour la fête de Noël, pour l’Épiphanie, pour le temps du Carême, pour la fête de Pâques, pour l’Ascension du Christ, pour la fête de la Pentecôte, pour la fête de la Très Sainte Trinité ;
– une préface en l’honneur du très saint Cœur de Jésus, du Christ-Roi, de la Sainte Croix, en l’honneur de la Mère de Dieu, de saint Joseph, des Apôtres ;
– la préface du jour et celle des défunts.

La préface est, par sa forme et par son contenu, un chant sublime de gratitude, un hommage dans un élan de jubilation, une adoration solennelle en mémoire de toutes les grandes œuvres de la Rédemption.

Elle élève l’âme vers le ciel : SURSUM CORDA – Élevez vos cœurs !

Elle veut louer Dieu en union avec les chœurs des anges. 

Ceci s’entend clairement, avec toute sa force expressive, dans le chant solennel du célébrant pendant la grand-messe.

Pendant la préface, le frère Kostka voit et vit la condamnation de Jésus à la mort sur la croix.

« Toutes les scènes bouleversantes du jugement défilent devant les yeux de son esprit, mais aussi l’abandon aimant du Sauveur, sa pleine disponibilité à accepter la mort pour le salut des hommes. »

Il est manifeste que le frère favorisé de Dieu n’a pu décrire avec une telle clarté, vivacité et profondeur à la fois les événements de la Passion et la disposition intérieure de Jésus, que parce qu’il en fut témoin par la contemplation, comme témoin oculaire et auriculaire.

Le cri de jubilation de la préface se trouve, pour nous les hommes, dans un contraste fort et contradictoire avec la condamnation de l’Homme-DieuMais la manière dont le frère Kostka parvient, dans son explication, à mettre en harmonie ces extrêmes opposés, la façon dont il réussit à exprimer, dans un langage fluide, l’accord presque merveilleux entre la liturgie de la messe et la Passion du Christ, est presque incompréhensibleEt pourtant, c’est aussi un sceau d’authenticité qu’il appose à son explication.

(Traduit de l’allemand : « Das heilige Messopfer – in Schauungen erlebt »).

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Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les anges et tous les saints,

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Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts, reposent en paix. Amen.

Le Saint Sacrifice de la Messe selon les Visions de frère Kostka

Le Sauveur souffrant

« Il est extrêmement émouvant de voir avec quel calme, quelle patience et quelle soumission le Maître supporte le mépris. Certes, Il gémit parfois, lorsque l’intensité de la douleur des coups est portée à l’insupportable. Les bourreaux L’auraient sûrement tué, si la Divinité n’avait pas fixé de limites et soutenu le corps martyrisé. Aucun autre homme n’aurait pu supporter cette douleur terrible, cette perte de sang, cette torture. Même une fraction minime de ces tourments aurait suffi à tuer un homme normalement fort. La bouche de Jésus est légèrement ouverte. Il semble qu’Il soit sur le point de mourir. Le sang a défiguré Son visage, si bien qu’Il n’a plus aucune beauté.

Bien que le temps soit court, je vois ces états de souffrance à chaque Messe. En priant le chapelet douloureux, je perçois plus profondément et avec plus de détails les maltraitances.

Je ressens intensément que le Saint Sacrifice de la Messe est le renouvellement du sacrifice de la Croix, se réalisant dans toute sa vérité et sa réalité. Je sens dans la foi que ces souffrances de la flagellation et de la couronne d’épines font partie intégrante de l’accomplissement intérieur du Saint Sacrifice de la Messe. »

Anticipant la honte et la douleur infinies, le Christ prophétise : « Les grands prêtres condamneront le Fils de l’homme à la mort. » (Mt 20, 18).

Celui qui est condamné à Golgotha est le Juge du monde. Il reviendra un jour, sur les nuées du ciel, avec grande puissance et gloire, pour « juger les vivants et les morts » (1 Pierre 4, 5). Alors, toutes les nations de la terre pleureront sur Lui (Mt 24, 30). 

(Traduit de l’allemand : « Das heilige Messopfer – in Schauungen erlebt »).

Prions

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O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les anges et tous les saints,

le corps, le sang, l’âme, la divinité, la sainte-face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les anges et de tous les saints,

de toutes les saintes messes et communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts, reposent en paix. Amen.

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Le Couronnement d’épines

Frère Kostka : « Après la flagellation, notre Seigneur n’eut aucun repos jusqu’au couronnement d’épines, environ une heure plus tard. Il fut continuellement raillé, insulté, moqué. Toutes sortes de cruautés Lui furent infligées. Le cercle des moqueurs s’agrandit, incluant les soldats romains du gouverneur. Un grand nombre était rassemblé pour maintenir l’ordre parmi la foule. Les soldats conduisirent Jésus à l’intérieur du prétoire, et bientôt toute la cohorte se rassembla autour de Lui (Mc 15, 16). La cruauté venait des serviteurs juifs. Ils tressèrent une couronne d’épines, habilement faite. Elle était haute et ressemblait à un chapeau. Ils la posèrent sur la tête du Seigneur.

Ils voulaient infliger au roi des Juifs (« Roi des rois et Seigneur des seigneurs » (1 Tim 6, 15)) la plus grande humiliation. Le terme « roi des Juifs » avait été répété lors des audiences matinales par les Juifs et Pilate. Dans leur méchanceté inventive, ils voulaient imiter les attributs royaux et faire goûter au Seigneur, par le mépris, la honte de cette prétendue royauté.

D’abord, ils déchirèrent ses vêtements qui ne couvraient que partiellement son corps (Mt 27, 28). Puis ils lui mirent un manteau pourpre : en réalité un vieux manteau de soldat. Le Seigneur fut placé sur une colonne tronquée, censée être son trône.

Quatre ou cinq hommes sautèrent autour de Lui et, sous des rires moqueurs, posèrent la couronne d’épines sur sa tête. Ils lui mirent un roseau dans la main droite, symbolisant les signes du pouvoir royal : trône, sceptre et couronne.

Sous des rires et railleries, ils commencèrent la cérémonie de l’hommage. Ils s’agenouillaient devant Lui, mais seulement pour se moquer. Ils criaient : « Salut, roi des Juifs ! » C’était comme s’ils avaient injecté tout le poison et la méchanceté dans ces paroles pour blesser le Seigneur, le faire souffrir et le ridiculiser. Ce qu’ils ne pouvaient faire seuls, les rires et les cris de la foule le réalisèrent.

De plus, ils enfoncèrent les épines profondément dans la tête en frappant la couronne avec le roseau. Ils le giflaient et le regardaient avec les pires grimaces. Ils crachaient au visage de l’innocent Fils de Dieu et même dans sa bouche. »

(Traduit de l’allemand : « Das heilige Messopfer – in Schauungen erlebt »).

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O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les anges et tous les saints,

le corps, le sang, l’âme, la divinité, la sainte-face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les anges et de tous les saints,

de toutes les saintes messes et communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts, reposent en paix. Amen.

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Flagellation du visage

Frère Kostka : « Le Seigneur m’est apparu avec tout son visage horriblement meurtri et déformé par les coups. J’entendis une fois ces mots : « Mes souffrances corporelles et spirituelles sont immenses. Plusieurs de mes fidèles ont aussi enduré de grandes souffrances corporelles. Mais ces souffrances spirituelles que j’ai subies, seul le Fils de l’homme pouvait les supporter. »

Sans la divinité, l’Agneau innocent n’aurait pu supporter ces tourments. Le Christ se serait effondré, comme tant d’autres à la flagellation, et aurait rapidement succombé. Malgré l’aide divine, l’Agneau rédempteur était souvent à bout de forces, soutenu uniquement par la divinité.

Le Sauveur voulut réparer intérieurement chaque péché, spécialement ceux liés à l’impureté. Ici, justice et miséricorde de Dieu se rencontrent.

Pendant ce temps, Marie, Mère de Jésus, qui n’était pas proche de la colonne, se consumait en une vision spirituelle pleine de compassion. Son cœur maternel suppliait mais elle faiblit.

La miséricorde divine ordonna alors la fin de la flagellation et soutint la sainte Humanité de Jésus. Aussitôt, un homme inconnu, envoyé par la providence, sortit de la foule et donna au Seigneur un linge, que le Sauveur accepta avec gratitude pour s’en couvrir.

Malgré la brièveté, je dois voir tous ces événements pendant la Messe et, par compassion, les offrir en réparation, autant que ma faiblesse humaine le permet. »

(Traduit de l’allemand : « Das heilige Messopfer – in Schauungen erlebt »).

Prions

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O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les anges et tous les saints,

le corps, le sang, l’âme, la divinité, la sainte-face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les anges et de tous les saints,

de toutes les saintes messes et communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts, reposent en paix. Amen.

Le Saint Sacrifice de la Messe selon les Visions de frère Kostka

La Flagellation

Frère Kostka : « Le gouverneur romain commis un grand crime en livrant le Seigneur à la torture. Convaincu de l’innocence de Jésus, qu’il proclamait publiquement, il n’aurait pas dû, contre sa conscience, lui faire subir un châtiment aussi cruel. Mais la peur des hommes et la lâcheté sont souvent la cause de crimes. »

Les outils de la flagellation

« La colonne spécialement préparée pour la flagellation est placée en évidence, non pas à l’écart ou cachée. Celui qui le veut a la possibilité de voir ce traitement cruel. Nombreux furent les témoins de la flagellation et les méchants se réjouissaient de la souffrance du Christ.

Pour flageller Jésus ont été utilisés des lanières munies de crochets pointus qui déchirent la peau et pénètrent profondément dans la chair. Un autre instrument avait des baguettes en faisceau avec des pointes, faites d’un matériau au son métallique difficile à décrire.

La douleur physique et spirituelle de Jésus est immense et indescriptible. Elle commence dès la mise à nu, car il est exposé aux regards insolents des hommes mauvais. La justice divine exige réparation pour la honte, la luxure, le manque d’honneur, bref, tous les péchés commis par des vêtements immoraux et provocants, et le Sauveur devait accomplir cette réparation. La honte piquait l’âme de Jésus comme des coups, la blessant profondément.

Après la mise à nu, le Christ est d’abord attaché, face à la colonne. Ses bras sont liés à l’anneau supérieur, les pieds à l’anneau inférieur, comme muselés. Le corps est tenu droit. Même s’il tressaille, il ne peut tomber. La flagellation commence aux chevilles et remonte graduellement, sans couvrir les blessures, pour que chaque endroit soit atteint et blessé, conformément à la prophétie : « Il n’y a pas une seule partie saine en Lui, du talon jusqu’à la tête » (Is 1, 6).

Après la flagellation du dos, le Sauveur est détaché pour qu’on puisse torturer l’avant. Les pieds sont à nouveau liés et muselés à l’anneau inférieur, les mains attachées à un anneau plus haut mais derrière la colonne. La torture recommence aux pieds et monte avec une cruauté inhumaine jusqu’à la poitrine et au cou, laissant aucune partie intacte.

Les bourreaux se relaient par deux. Quand deux sont fatigués, d’autres prennent leur place. L’instrument en faisceau sert à flageller les pieds et le bas-ventre. La flagellation de la poitrine et du dos est effectuée avec la lanière à crochets. La torture dure longtemps, plus d’une demi-heure.

Les pharisiens présents, voire les démons eux-mêmes, encouragent sans cesse les bourreaux, comme pris de folie, et ils déchaînent leur cruauté sur le corps innocent. Il est presque impossible de supporter cette méchanceté. L’enfer ignorait alors que le souffrant était le Fils de Dieu. »

(Traduit de l’allemand : « Das heilige Messopfer – in Schauungen erlebt »).

Prions

Une dizaine du chapelet (1 Notre Père, 10 Je vous salue Marie, 1 Gloire au Père)

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les anges et tous les saints,

le corps, le sang, l’âme, la divinité, la sainte-face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les anges et de tous les saints,

de toutes les saintes messes et communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts, reposent en paix. Amen.

Le Saint Sacrifice de la Messe selon les Visions de frère Kostka

Les déroulement de La Messe et de la Passion de Jésus

Dans une vision mystique, le frère Kostka voit le renouvellement de la flagellation et du couronnement d’épines du Seigneur. Cette vision est une compassion active et une participation intérieure qui provoque un profond impact dans son âme : « Si je ne voyais que l’humanité souffrante sans la divinité qui y participe, je ne pourrais supporter ce spectacle dans la durée… Cette vision susciterait une tristesse presque mortelle chez tout voyant. Qui pourrait, en vivant cette expérience, rester joyeux même une heure par jour ? »

Par cette vision, frère Kostka s’est décidé à suivre la voie de la croix jusqu’à la limite du possible. Chaque jour, il acceptait la flagellation sur son corps jusqu’à ses 60 ans. À cela s’ajoutaient d’autres pénitences sévères telles que le jeûne et la prière nocturne devant le Saint-Sacrement, même dans le froid hivernal. Il acceptait la pénitence « dans la pure intention de réconcilier Dieu et d’aider à la conversion des pécheurs. » Par une illumination intérieure, il comprit combien la souffrance, par la pénitence et le renoncement, contribue efficacement à la conversion des pécheurs.

« Quand je regarde le passé, je frissonne devant cette rigueur pénitentielle. Mais je me réjouis bien plus de ne pas m’être ménagé… Le réconfort en est maintenant indescriptiblement doux, d’avoir contribué par des intentions élevées et pures à la glorification de Dieu et à la conversion des pécheurs. »

(Traduit de l’allemand : « Das heilige Messopfer – in Schauungen erlebt »).

Prions

Une dizaine du chapelet (1 Notre Père, 10 Je vous salue Marie, 1 Gloire au Père)

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les anges et tous les saints,

le corps, le sang, l’âme, la divinité, la sainte-face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les anges et de tous les saints,

de toutes les saintes messes et communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts, reposent en paix. Amen.