La Résurrection

Contemplons

Mosaïque d’Aletti : Jésus apparait aux Apôtres au Cénacle

Méditons

Contemplons Jésus sortant triomphant du tombeau… Notre vie doit être une perpétuelle résurrection.

Qui nous redonnera la vie de la grâce si nous l’avons perdue sinon le prêtre par l’absolution ?

Qui nous aidera à chercher d’un cœur sincère la volonté de Dieu et à nous y conformer sinon le prêtre par ses conseils ?

Qui nous évitera les illusions sinon le prêtre prudent et instruit ?

Qui nous donnera le pain de vie sinon le prêtre qui seul peut consacrer ?

Qui nous entraînera dans une vie de plus en plus fervente sinon les prêtres saints ?

Par Marie, la Reine du clergé, Notre Dame du sacerdoce, demandons les saints prêtres dont le monde a tant besoin.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer, conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Vierge Marie, Mère du Christ-prêtre, Mère des prêtres du monde entier, vous aimez tout particulièrement les prêtres parce qu’ils sont les images vivantes de votre Fils unique. Vous avez aidé Jésus par toute votre vie terrestre et vous l’aidez encore dans le Ciel. Nous vous en supplions, priez pour les prêtres.

« Priez le Père des Cieux pour qu’il envoie des ouvriers à sa moisson. » Priez pour que nous ayons toujours des prêtres qui nous donnent les Sacrements, nous expliquent l’Evangile du Christ et nous enseignent à devenir de vrais enfants de Dieu.

Vierge Marie, demandez vous-même à Dieu le Père les prêtres dont nous avons tant besoin. Et puisque votre Cœur a tout pouvoir sur lui, obtenez-nous, ô Marie, des prêtres qui soient des saints. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen. 

Le pape Benoit XVI

Contemplons

Méditons

Benoît XVI ne manquait pas d’intervenir régulièrement sur le thème de la vocation au sacerdoce et à la vie religieuse, ce qui témoigne de l’extrême importance qu’il attache à ce sujet. Lors de la 48ème journée mondiale de prière pour les vocations, le Pape rappelait aux évêques qu’il était important de favoriser le plus possible les vocations sacerdotales et religieuses et spécialement les vocations missionnaires.

Lors de l’ordination de 14 nouveaux prêtres, le dimanche 20 juin 2010, Benoît XVI considérait « la vocation comme un mystère, un événement de grâce qui se réalise dans les cœurs, une action toute spéciale de Dieu, située dans l’invisible et dans les profondeurs de l’être, là où la liberté de l’homme décide son destin. » Pour lui, le prêtre appelé (et on pourrait dire la même chose de toute personne consacrée) est quelqu’un qui est saisi par Dieu. Seulement celui qui est saisi par Lui, peut l’apporter aux autres, peut être envoyé. Cette saisie de la part de Dieu ne peut être fondée à son tour que sur le courage de dire « oui » à une autre volonté, celle de Dieu.

Pour Benoit XVI, chaque fidèle, doit accomplir consciencieusement son engagement pour la promotion des vocations, encourager, soutenir ceux qui montrent des signes clairs de l’appel à la vie sacerdotale et à la consécration religieuse. En même temps, il est important d’être conscient que le Seigneur ne manque pas d’appeler, à tous les âges de la vie, à prendre part à sa mission !

Dans une lettre sans précédent aux séminaristes, Benoit XVI rapportait un événement de sa vie : « En décembre 1944, lorsque je fus appelé au service militaire, le commandant de la compagnie demanda à chacun de nous quelle profession il envisageait pour son avenir. Je répondis que je voulais devenir prêtre catholique. Le sous-lieutenant me répondit : « Alors vous devrez chercher quelque chose d’autre. Dans la nouvelle Allemagne, il n’y a plus besoin de prêtres. » Mais, Benoit XVI ajoute sa propre conviction de l’époque : « Je savais que cette ‘nouvelle Allemagne’ était déjà sur le déclin et qu’après les énormes dévastations apportées par cette folie dans le pays, il y aurait plus que jamais besoin de prêtres. En effet, les hommes auront toujours besoin de Dieu, même à l’époque de la domination technique du monde et de la mondialisation. » Notre société et nos familles se renouvelleront par la force et l’amour qui viennent d’en haut, dans la mesure où la présence de Dieu sera désirée, c’est-à-dire, dans la mesure où sera ressenti le besoin de se sacrifier, de prier et de s’engager pour que de nombreux jeunes suivent la vocation et deviennent transparents de Dieu.

Le rôle de la famille est un autre aspect important de l’enseignement du Pape Benoit XVI à propos des vocations. Le 25 avril 2010, dimanche des vocations, dans son allocution avant le Regina Caeli, le Pape invitait les parents à « prier afin que le cœur de leurs enfants s’ouvre à l’écoute du Bon Pasteur et que tout germe de vocation, si petit soit-il, devienne un arbre robuste, chargé de fruits pour le bien de l’Église et de l’humanité tout entière. »

Les parents sont donc appelés à désirer, au plus profond de leur cœur, de voir fleurir des vocations dans leur foyer. Dieu veut se servir de ce saint désir. Il en a besoin, pourvu qu’il prenne la forme et le chemin de la prière désintéressée, et, évidemment, d’un témoignage de cohérence chrétienne. Ainsi, le Seigneur se fera d’autant plus écouter dans le cœur de l’enfant !

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer, conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Vierge Marie, Mère du Christ-prêtre, Mère des prêtres du monde entier, vous aimez tout particulièrement les prêtres parce qu’ils sont les images vivantes de votre Fils unique. Vous avez aidé Jésus par toute votre vie terrestre et vous l’aidez encore dans le Ciel. Nous vous en supplions, priez pour les prêtres.

« Priez le Père des Cieux pour qu’il envoie des ouvriers à sa moisson. » Priez pour que nous ayons toujours des prêtres qui nous donnent les Sacrements, nous expliquent l’Evangile du Christ et nous enseignent à devenir de vrais enfants de Dieu.

Vierge Marie, demandez vous-même à Dieu le Père les prêtres dont nous avons tant besoin. Et puisque votre Cœur a tout pouvoir sur lui, obtenez-nous, ô Marie, des prêtres qui soient des saints. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

Saint Jean-Paul II

Contemplons

Méditons

« L’histoire de ma vocation sacerdotale ? C’est Dieu surtout qui la connaît. » Ainsi débute « Ma Vocation, don et mystère. » Une vocation, souligne Jean-Paul II, c’est d’abord le mystère de l’appel, du choix de Dieu ; puis la prise de conscience en une succession d’étapes. Le pape évoque chacune jusqu’à la décision d’entrer au séminaire. À 9 ans, Karol Wojtyla perd sa mère. Après la disparition de son frère aîné, il reste seul avec son père. Cet homme profondément religieux mène une vie austère. Devenu veuf, sa vie est marquée par une prière constante. La nuit, il se réveille pour prier. Avec son fils, il parle sans difficulté du sacerdoce. Son exemple constitue pour son fils « une sorte de séminaire domestique. »

Les années de lycée sont marquées par le don d’un père spirituel, le père K. Figlewicz et également par la passion pour le théâtre et la littérature polonaise. Aux yeux de beaucoup, Karol Wojtyla est appelé à être prêtre. De son côté, l’appel n’est pas mûr. Il se sent appelé à une vocation d’homme de théâtre. En mai 1938, il entre à Cracovie à l’université Jagellon pour des études de philologie. L’étude de la grammaire et de l’évolution historique du polonais l’ouvre au mystère de la parole. Elle le dispose à accueillir davantage la Parole faite chair, Jésus-Christ !

Le 1er septembre 1939, la guerre éclate. Elle le conduit à interrompre des études universitaires et à commencer un travail dans une carrière de pierres pour échapper à la déportation. Là naît une proximité avec les ouvriers qui travaillent durement. L’un d’eux prononce cette parole gardée en mémoire : « Karol, tu devrais te faire prêtre. »

Au cours de cette période, le pape lit et écrit. En 1941, son père meurt ; il se retrouve seul. Les amitiés deviennent un vrai soutien. Elles sont nombreuses en cette période difficile. À la paroisse de Debniki, il rencontre J. Tyranowski, dans le cadre du « Rosaire vivant. » Ce dernier l’initie à saint Jean de la Croix et à sainte Thérèse d’Avila. Le couvent des Carmes déchaux devient également un lieu familier !

L’appel à être prêtre grandit au contact de nombreux prêtres : « Dans le cadre du grand mal de la guerre, toute ma vie personnelle allait dans la direction du bien qu’est la vocation ». À l’automne 1942, en pleine guerre, Karol Wojtyla prend la décision d’entrer au séminaire clandestin de Cracovie !

 « Si je porte plus loin mon regard, je me rends compte que, à travers beaucoup d’autres milieux et d’autres personnes, se sont exercées sur moi des influences positives par lesquelles Dieu m’a fait entendre sa voix : ma famille, les ouvriers de l’usine Solvay, les Salésiens de la paroisse de Debniki, les pères carmes, le père Kazimierz Figlewicz, Marie, le saint frère Albert, le sacrifice des prêtres polonais, la bonté vécue au milieu des rigueurs de la guerre. »

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer, conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Vierge Marie, Mère du Christ-prêtre, Mère des prêtres du monde entier, vous aimez tout particulièrement les prêtres parce qu’ils sont les images vivantes de votre Fils unique. Vous avez aidé Jésus par toute votre vie terrestre et vous l’aidez encore dans le Ciel. Nous vous en supplions, priez pour les prêtres.

« Priez le Père des Cieux pour qu’il envoie des ouvriers à sa moisson. » Priez pour que nous ayons toujours des prêtres qui nous donnent les Sacrements, nous expliquent l’Evangile du Christ et nous enseignent à devenir de vrais enfants de Dieu.

Vierge Marie, demandez vous-même à Dieu le Père les prêtres dont nous avons tant besoin. Et puisque votre Cœur a tout pouvoir sur lui, obtenez-nous, ô Marie, des prêtres qui soient des saints. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen. 

Le Crucifiement

Contemplons

Mosaïque d’Aletti : Marie reçoit son Fils mort dans ses bras

Méditons

Jésus mourant confie sa Mère au disciple bien-aimé.

Demandons des prêtres animés d’une grande piété mariale. Leur ministère sera béni car Marie est médiatrice de toute grâce.

Le prêtre, représentant de Dieu, continuateur de l’œuvre du Christ, ne doit-il pas, plus que tout autre, aimer, vénérer, prier la Mère du Sauveur ?

Par Marie, la Reine du clergé, Notre Dame du sacerdoce, demandons des prêtres animés d’une profonde piété mariale.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer, conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Vierge Marie, Mère du Christ-prêtre, Mère des prêtres du monde entier, vous aimez tout particulièrement les prêtres parce qu’ils sont les images vivantes de votre Fils unique. Vous avez aidé Jésus par toute votre vie terrestre et vous l’aidez encore dans le Ciel. Nous vous en supplions, priez pour les prêtres.

« Priez le Père des Cieux pour qu’il envoie des ouvriers à sa moisson. » Priez pour que nous ayons toujours des prêtres qui nous donnent les Sacrements, nous expliquent l’Evangile du Christ et nous enseignent à devenir de vrais enfants de Dieu.

Vierge Marie, demandez vous-même à Dieu le Père les prêtres dont nous avons tant besoin. Et puisque votre Cœur a tout pouvoir sur lui, obtenez-nous, ô Marie, des prêtres qui soient des saints. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

Le portement de Croix

Contemplons

Mosaïque d’Aletti : Véronique avec le suaire portant l’empreinte de la sainte Face

Méditons

Au prix de quelles souffrances, Jésus monte-t-il au Calvaire, portant sa croix… Il défaille à plusieurs reprises… Il est frappé par les bourreaux, hué par la foule, raillé par les Pharisiens…

II avait dit pour tous, mais spécialement pour ses prêtres : « Qui veut être mon disciple, qu’il prenne sa croix et me suive » (Mathieu 16, 24).

« Le sacerdoce est l’immolation de l’homme ajoutée à celle de Dieu et nul n’y est appelé s’il ne sent dans son cœur le prix et la beauté des âmes » (Lacordaire).

Marie était sur le chemin du Calvaire… Imitons-la. Aidons nos prêtres de notre mieux et prions pour eux.

Par Marie, la Reine du clergé, Notre Dame du sacerdoce, demandons pour nos prêtres, la patience et la persévérance. Demandons pour nous-mêmes, l’intelligence du cœur qui nous fera comprendre comment aider et soutenir efficacement nos prêtres.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer, conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Vierge Marie, Mère du Christ-prêtre, Mère des prêtres du monde entier, vous aimez tout particulièrement les prêtres parce qu’ils sont les images vivantes de votre Fils unique. Vous avez aidé Jésus par toute votre vie terrestre et vous l’aidez encore dans le Ciel. Nous vous en supplions, priez pour les prêtres.

« Priez le Père des Cieux pour qu’il envoie des ouvriers à sa moisson. » Priez pour que nous ayons toujours des prêtres qui nous donnent les Sacrements, nous expliquent l’Evangile du Christ et nous enseignent à devenir de vrais enfants de Dieu.

Vierge Marie, demandez vous-même à Dieu le Père les prêtres dont nous avons tant besoin. Et puisque votre Cœur a tout pouvoir sur lui, obtenez-nous, ô Marie, des prêtres qui soient des saints. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

Le Couronnement d’épines

Contemplons

Mosaïque d’Aletti : le couronnement d’épines

Méditons

Par cet affreux couronnement d’épines, par toutes les humiliations qui l’ont accompagné, le Sauveur expie, combien dure­ment, nos péchés d’orgueil.

Jésus avait dit : « Apprenez de moi que je suis doux et humble de Cœur » (Mathieu 11, 29). Comme le Sauveur, comme Marie, l’humble servante du Seigneur, comme Joseph, l’humble gardien de son Dieu, le prêtre doit être humble et ne pas craindre les humiliations, car si sa dignité est grande, combien plus grande encore est sa responsabilité, combien plus terrible est le compte à rendre des âmes qui lui sont confiées.

Par Marie, la Reine du clergé, Notre Dame du sacerdoce, demandons des prêtres humbles, parfaits imitateurs du Sauveur.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer, conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Vierge Marie, Mère du Christ-prêtre, Mère des prêtres du monde entier, vous aimez tout particulièrement les prêtres parce qu’ils sont les images vivantes de votre Fils unique. Vous avez aidé Jésus par toute votre vie terrestre et vous l’aidez encore dans le Ciel. Nous vous en supplions, priez pour les prêtres.

« Priez le Père des Cieux pour qu’il envoie des ouvriers à sa moisson. » Priez pour que nous ayons toujours des prêtres qui nous donnent les Sacrements, nous expliquent l’Evangile du Christ et nous enseignent à devenir de vrais enfants de Dieu.

Vierge Marie, demandez vous-même à Dieu le Père les prêtres dont nous avons tant besoin. Et puisque votre Cœur a tout pouvoir sur lui, obtenez-nous, ô Marie, des prêtres qui soient des saints. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen. 

La Flagellation

Contemplons

Mosaïque d’Aletti : Pilate libère Barabbas et livre Jésus à la flagellation

Méditons

Jésus a accepté et subi l’atroce supplice de la flagellation pour l’expiation de toutes nos sensualités. Jean-Baptiste l’avait désigné par ces mots : « Voici celui qui prend sur Lui les péchés du monde » (Jean 1, 29).

Le saint Curé d’Ars, une nuit, se croyant seul dans son église, priait ainsi à haute voix pour ses paroissiens : « Seigneur, faites-moi souffrir tout ce que vous voudrez, mais sauvez-les tous. »

Par Marie, la Reine du clergé, Notre Dame du sacerdoce, demandons des prêtres préoccupés du salut des âmes qui leur sont confiées.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer, conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Vierge Marie, Mère du Christ-prêtre, Mère des prêtres du monde entier, vous aimez tout particulièrement les prêtres parce qu’ils sont les images vivantes de votre Fils unique. Vous avez aidé Jésus par toute votre vie terrestre et vous l’aidez encore dans le Ciel. Nous vous en supplions, priez pour les prêtres.

« Priez le Père des Cieux pour qu’il envoie des ouvriers à sa moisson. » Priez pour que nous ayons toujours des prêtres qui nous donnent les Sacrements, nous expliquent l’Evangile du Christ et nous enseignent à devenir de vrais enfants de Dieu.

Vierge Marie, demandez vous-même à Dieu le Père les prêtres dont nous avons tant besoin. Et puisque votre Cœur a tout pouvoir sur lui, obtenez-nous, ô Marie, des prêtres qui soient des saints. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen. 

L’Agonie au Gethsémani

Contemplons

Mosaïque d’Aletti : l’agonie de Jésus au jardin des oliviers

Méditons

Jésus prend sur lui la honte et la confusion de tous les péchés du monde. Toute l’étendue de son angoisse et de sa tristesse est perceptible dans les mots : « Mon âme est triste à en mourir » (Marc 14, 34).

Il est seul. Pierre, Jacques et Jean se sont endormis. Judas le trahit. Il entre en agonie et une sueur de sang tombe jusqu’à terre.

Pensons à l’agonie de nos prêtres si peu écoutés, si délaissés, jugés si impitoyablement, si critiqués… Pensons à tous les prêtres persécutés de par le monde pour ce qu’ils représentent…

Par Marie, la Reine du clergé, Notre Dame du sacerdoce, demandons des prêtres qui, comme Jésus, diront, du fond du cœur : « Père, que ta volonté soit faite et non la mienne. »

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer, conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Vierge Marie, Mère du Christ-prêtre, Mère des prêtres du monde entier, vous aimez tout particulièrement les prêtres parce qu’ils sont les images vivantes de votre Fils unique. Vous avez aidé Jésus par toute votre vie terrestre et vous l’aidez encore dans le Ciel. Nous vous en supplions, priez pour les prêtres.

« Priez le Père des Cieux pour qu’il envoie des ouvriers à sa moisson. » Priez pour que nous ayons toujours des prêtres qui nous donnent les Sacrements, nous expliquent l’Evangile du Christ et nous enseignent à devenir de vrais enfants de Dieu.

Vierge Marie, demandez vous-même à Dieu le Père les prêtres dont nous avons tant besoin. Et puisque votre Cœur a tout pouvoir sur lui, obtenez-nous, ô Marie, des prêtres qui soient des saints. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

Saint Padre Pio

Contemplons

Méditons

«Jésus, mon souffle et ma vie, aujourd’hui, en tremblant, je t’élève dans un mystère d’amour ; qu’avec toi, je sois pour le monde Voie, Vérité, Vie et pour toi que je sois prêtre saint, victime parfaite » (Prière que Padre Pio a fait imprimer sur le verso de son image d’ordination, le 10 août 1910).

Cette prière exprime les aspirations du nouveau prêtre. Elle annonce ce que sera sa vie : un sacrifice à la louange de gloire de Dieu. Chez Padre Pio, le sacerdoce ministériel ne peut se concevoir sans cette dimension oblative, qui unit le prêtre au sacrifice du Christ. Une parole du concile Vatican II s’applique, a posteriori, tout à fait à lui : « Ministres de la liturgie, surtout dans le sacrifice de la messe, les prêtres y représentent de manière spéciale le Christ en personne, qui s’est offert comme victime pour sanctifier les hommes » (Presbyterorum ordinis). Pendant plus d’un demi-siècle, Padre Pio représentera, au sens propre le plus fort, « le Christ qui s’est offert comme victime. » La grâce de la stigmatisation visible, de portée charismatique chez lui, soulignera en permanence cette identification entre l’unique Grand Prêtre Éternel et son prêtre !

D’emblée, à cause de sa santé fragile, son confesseur lui dit lors de sa première messe : « Tu n’as pas beaucoup de santé, tu ne peux pas être un prédicateur. Je te souhaite donc d’être un grand confesseur. » Paroles prophétiques ! La vie sacerdotale de Padre Pio s’est épanouie entre l’autel et le confessionnal, toute donnée à la célébration de l’Eucharistie et au ministère des âmes !

Dès 1913, il écrit : « Le Seigneur m’a fait voir comme dans un miroir que ma vie entière ne sera rien d’autre qu’un martyre. Jésus lui-même veut mes souffrances, il en a besoin pour les âmes. » La grâce de la stigmatisation, signe pour l’Eglise et le monde dans la personne de Padre Pio, est le sceau de cette configuration mystique à Jésus Prêtre et Victime. Si anachronique que puisse paraître aujourd’hui cette dimension du prêtre, elle n’en est pas moins fondamentale et le concile Vatican II s’est plu à le rappeler. A une époque de remise en cause de certaines formes du sacerdoce, Padre Pio est apparu comme la figure par excellence du prêtre « total », en qui justement étaient soulignées les priorités du ministère : la célébration de l’Eucharistie pour rassembler le peuple de Dieu dans la communion ecclésiale, et le soin des âmes. Tout son ministère a été ordonné à l’eucharistie, « source et sommet de toute la vie chrétienne. » Par la confession, il ramenait les âmes à l’Eucharistie, à la vraie vie ; par la direction spirituelle et l’apostolat de la correspondance, il stimulait les âmes à s’abandonner sans réserve à l’amour divin. Son leitmotiv était l’amour de Dieu et du prochain. Il s’y donna sans réserve, passant parfois 19 heures au confessionnal et guidant les âmes avec la sûreté d’un Don Bosco, dont il se rapproche par ses charismes de discernement. Et sa messe, sommet de sa journée, rassemblait le peuple de Dieu dans la célébration du Dieu de Miséricorde qui a donné son Fils pour la rédemption des hommes. Il fut un prêtre selon le Cœur de Dieu, brûlant de zèle pour la gloire de Dieu et le salut des âmes.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer, conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Vierge Marie, Mère du Christ-prêtre, Mère des prêtres du monde entier, vous aimez tout particulièrement les prêtres parce qu’ils sont les images vivantes de votre Fils unique. Vous avez aidé Jésus par toute votre vie terrestre et vous l’aidez encore dans le Ciel. Nous vous en supplions, priez pour les prêtres.

« Priez le Père des Cieux pour qu’il envoie des ouvriers à sa moisson. » Priez pour que nous ayons toujours des prêtres qui nous donnent les Sacrements, nous expliquent l’Evangile du Christ et nous enseignent à devenir de vrais enfants de Dieu.

Vierge Marie, demandez vous-même à Dieu le Père les prêtres dont nous avons tant besoin. Et puisque votre Cœur a tout pouvoir sur lui, obtenez-nous, ô Marie, des prêtres qui soient des saints. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen. 

 

Saint Pierre-Julien Eymard

Contemplons

Saint Pierre-Julien Eymard

Méditons

Saint Pierre Julien Eymard naquit à La Mure (Isère), le 4 février 1811 et y mourut le 1er août 1868. Il était le fils du boutiquier du village. Quant à sa maman, c’était une femme très pieuse, qui ne passait guère de jour sans aller prier devant le Tabernacle. Chaque fois que, selon la coutume du lieu et du temps, la cloche appelait au « salut des agonisants, » elle partait pour l’église recommander l’âme qui allait paraître devant Dieu. Un soir, qu’elle entendit cet appel, elle saisit le petit Julien et elle l’emporta dans son tablier. Elle entra juste au moment où le prêtre prenait l’ostensoir pour bénir les assistants, elle éleva son enfant à bout de bras vers l’Hostie, qui enveloppa dans une même bénédiction, la mère et son petit. Qui sait si, en récompense de ce geste d’adoration eucharistique, la mère ne contribua pas à mériter la vocation de son enfant ?

Saint Pierre-Julien Eymard fut d’abord prêtre séculier (1834-1839), puis membre de la Société de Marie (1839-1856). Il quitta les maristes à la suite d’une apparition de la Vierge qui, disait-il, le chargeait de fonder un institut voué à l’adoration perpétuelle des saintes Espèces et à la propagation de la dévotion eucharistique. Ce fut l’Institut du Saint Sacrement qu’il dirigea jusqu’à sa mort. Cet ardent apôtre de l’Eucharistie dont on disait qu’il était « un ostensoir vivant de Jésus-Hostie, » connut l’extase lorsqu’il était en adoration devant le Saint-Sacrement exposé. Il restait « droit comme un cierge » et devenait « immobile comme une statue de bronze » et cela, pendant de longs moments. De même, il célébrait sa messe avec un recueillement intense, rappelant celui du curé d’Ars. Le père Tesnière a dit de lui : « il me paraissait si réellement uni à Dieu, plongé en Dieu, possédé par Dieu, qu’il me faisait l’effet d’être comme un rayonnement, une émanation de Dieu présent en lui, le conduisant et agissant par lui. » Il eut aussi le don des miracles, bénissant l’huile de la lampe du Saint-Sacrement et obtenant par elle de nombreuses guérisons. Saint Pierre-Julien Eymard eut comme amis, entre autres, Monsieur Dupont, « le saint homme de Tours » et saint Michel Garicoïts, fondateur de la Communauté du Sacré-Coeur de Bétharram !

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer, conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Vierge Marie, Mère du Christ-prêtre, Mère des prêtres du monde entier, vous aimez tout particulièrement les prêtres parce qu’ils sont les images vivantes de votre Fils unique. Vous avez aidé Jésus par toute votre vie terrestre et vous l’aidez encore dans le Ciel. Nous vous en supplions, priez pour les prêtres.

« Priez le Père des Cieux pour qu’il envoie des ouvriers à sa moisson. » Priez pour que nous ayons toujours des prêtres qui nous donnent les Sacrements, nous expliquent l’Evangile du Christ et nous enseignent à devenir de vrais enfants de Dieu.

Vierge Marie, demandez vous-même à Dieu le Père les prêtres dont nous avons tant besoin. Et puisque votre Cœur a tout pouvoir sur lui, obtenez-nous, ô Marie, des prêtres qui soient des saints. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.