2ème mystère lumineux : les noces de Cana

Contemplons

Les noces de Cana, anonyme, XVIIème siècle

Méditons

Le rosaire nous introduit dans un mystère de joie, celui des noces de Cana où Jésus, à la demande de Marie, accomplit son premier miracle. Au fur et à mesure de la contemplation de ce mystère, nous découvrons l’importance de la prière de Marie, son rôle d’intercession et sa toute-puissance sur le Cœur de Dieu !

« Il n’y a plus de vin » ! Ce manque pourrait ternir la fête, voire l’abréger. Marie s’en rend compte et réalise qu’humainement, il n’y a pas de solution. C’est l’heure de Dieu « pour qui rien n’est impossible ». Aussi s’avance-t-elle en toute confiance (probablement aussi en toute discrétion) vers Jésus pour le prier d’intervenir. En humble servante, elle ne succombe pas à la tentation de lui intimer une façon d’agir et de lui expliquer comment elle voudrait qu’il règle la situation. S’appuyant simplement sur l’amour de Jésus pour elle, Marie s’en remet en toute confiance à sa volonté. Elle ne sera pas déçue !

Dans la contemplation de ce mystère, Marie nous donne à comprendre que nos prières, trop directives, doivent évoluer, au fur et à mesure de nos chapelets, vers une attitude d’abandon filial à la volonté de Divine, conscients que Dieu, le meilleur des Pères, « sait ce dont nous avons besoin » et que son plan est toujours meilleur que le nôtre !

Le rosaire nous aide à comprendre que la prière de Marie est parfaite, qu’elle est toute-puissante car, pour l’exaucer, Jésus devance l’heure de sa manifestation. Par ailleurs, il la comble au-delà de toute espérance : les mariés disposent à présent de près de 600 litres d’excellent vin ; même si l’Evangile ne dit pas combien il y a d’invités, nous pouvons penser qu’il y en a très largement plus qu’il n’en faut !

Ce miracle, le premier de Jésus, a amené les disciples à croire en Lui. Voilà, en résumé, tout le dessein de Marie : nous aider à progresser dans la foi qui est le seul vrai miracle. Pour que nous y parvenions, elle nous redit sans cesse : « faites tout ce qu’il vous dira ». Pour que nous soyons exaucés, comme s’il s’agissait d’Elle, elle redit sans cesse à Jésus : « ils n’ont plus de vin » !

Marie, Notre Dame du rosaire, donnez-nous la confiance en Jésus qui nous aime !

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés ; préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (prière demandée par Notre Dame de Fatima le 13 juillet 1917 à la fin de chaque dizaine du chapelet)

Petite consécration à Notre Dame du rosaire :

Très sainte Vierge Marie, notre Mère et notre Reine, Notre Dame du très saint rosaire, je me consacre à votre Cœur Douloureux et Immaculé voulant me souvenir sans cesse que je vous appartiens et que vous pouvez disposer de moi pour le règne du Sacré-Cœur de Jésus. Aidez-moi à offrir aujourd’hui les sacrifices nécessaires à l’accomplissement chrétien de tous mes devoirs, à aimer et à réciter mon chapelet en m’unissant aux mystères de la vie de Jésus et de la vôtre. Amen.

Prière de Léon XIII a saint Joseph pour le mois du rosaire :

Nous recourons à vous dans notre tribulation, bienheureux Joseph, et, après avoir imploré le secours de votre très sainte épouse, nous sollicitons aussi avec confiance votre patronage.

Au nom de l’affection qui vous a uni à la Vierge immaculée, Mère de Dieu, par l’amour paternel dont vous avez entouré l’Enfant Jésus, nous vous supplions de regarder avec bonté l’héritage que Jésus-Christ a acquis au prix de son Sang et de nous assister de votre puissance et de votre secours dans tous nos besoins.

O très vigilant gardien de la sainte Famille, protégez la race élue de Jésus-Christ. O Père très aimant, éloignez de nous toute souillure d’erreur et de corruption. O notre très vaillant protecteur, assistez-nous du haut du ciel dans le combat que nous livrons à la puissance des ténèbres. Et, de même que vous avez arraché autrefois l’Enfant Jésus au péril de la mort, défendez aujourd’hui la sainte Eglise de Dieu des embûches de l’ennemi et de toute adversité.

Couvrez-nous tous de votre perpétuelle protection, afin que, soutenus par la puissance de votre exemple et de votre secours, nous puissions vivre saintement, pieusement mourir et obtenir la béatitude éternelle du Ciel. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

1er mystère lumineux : le Baptême de Jésus dans le Jourdain

Contemplons

Le baptême du Christ, les très riches heures du Duc de Berry

Méditons

A chaque fois que nous méditons ce mystère, le rosaire nous fait contempler le baptême de Jésus. Plus encore, il nous fait revivre notre baptême à la lumière de celui de Jésus !

Le moment est solennel puisque le Père, Lui-même, intervient en disant : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé, celui qu’il m’a plu de choisir ». Le rosaire nous rappelle que cette parole de Dieu s’applique à chaque baptisé (y compris à vous !). En effet, par la grâce de ce sacrement, nous sommes devenus fils et filles du Père, participants à la vie même de Dieu. Ce mystère est si grand qu’il en devient redoutable : nous, pauvres créatures d’argile sommes enfants de Dieu !

A mesure que nous progressons dans la méditation de ce mystère, Marie nous aide à réaliser que cette adoption n’est pas une simple idée (ou un symbole) mais une réalité concrète qui doit embrasser toute notre vie. Si Dieu, par pure grâce, a fait de nous ses enfants le jour de notre baptême, nous devons lui rendre une part de cet amour en nous comportant comme de bons fils, de bonnes filles qui « écoutent la parole de Dieu et la mettent en pratique » !

En disant « sainte Marie, Mère de Dieu », nous nous rappelons que Marie est notre Mère parce que Dieu est notre Père ; en ajoutant « priez pour nous pauvres pêcheurs », nous lui demandons son aide pour vivre en dignes fils et filles de Dieu, fidèles aux promesses de leur baptême !

Marie, Notre Dame du très saint rosaire, donnez-nous d’aimer Dieu notre Père de tout notre cœur, de toute notre âme !

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés ; préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (prière demandée par Notre Dame de Fatima le 13 juillet 1917 à la fin de chaque dizaine du chapelet)

Petite consécration à Notre Dame du rosaire :

Très sainte Vierge Marie, notre Mère et notre Reine, Notre Dame du très saint rosaire, je me consacre à votre Cœur Douloureux et Immaculé voulant me souvenir sans cesse que je vous appartiens et que vous pouvez disposer de moi pour le règne du Sacré-Cœur de Jésus. Aidez-moi à offrir aujourd’hui les sacrifices nécessaires à l’accomplissement chrétien de tous mes devoirs, à aimer et à réciter mon chapelet en m’unissant aux mystères de la vie de Jésus et de la vôtre. Amen.

Prière de Léon XIII a saint Joseph pour le mois du rosaire :

Nous recourons à vous dans notre tribulation, bienheureux Joseph, et, après avoir imploré le secours de votre très sainte épouse, nous sollicitons aussi avec confiance votre patronage.

Au nom de l’affection qui vous a uni à la Vierge immaculée, Mère de Dieu, par l’amour paternel dont vous avez entouré l’Enfant Jésus, nous vous supplions de regarder avec bonté l’héritage que Jésus-Christ a acquis au prix de son Sang et de nous assister de votre puissance et de votre secours dans tous nos besoins.

O très vigilant gardien de la sainte Famille, protégez la race élue de Jésus-Christ. O Père très aimant, éloignez de nous toute souillure d’erreur et de corruption. O notre très vaillant protecteur, assistez-nous du haut du ciel dans le combat que nous livrons à la puissance des ténèbres. Et, de même que vous avez arraché autrefois l’Enfant Jésus au péril de la mort, défendez aujourd’hui la sainte Eglise de Dieu des embûches de l’ennemi et de toute adversité.

Couvrez-nous tous de votre perpétuelle protection, afin que, soutenus par la puissance de votre exemple et de votre secours, nous puissions vivre saintement, pieusement mourir et obtenir la béatitude éternelle du Ciel. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

Le rosaire : une prière aussi simple que puissante

Contemplons

Notre Dame du très saint rosaire de Vicenza

Méditons

Dans sa structure le rosaire se révèle une prière d’une simplicité extrême puisque composée des prières de base de la vie chrétienne : le « Notre Père », le « Je vous salue, Marie », le « Gloire au Père » et le « Je crois en Dieu ». Ces prières qui constituent le fondement de la vie chrétienne, sont connues et accessibles à toute personne quelle que soit sa condition, son niveau intellectuel, son niveau de formation, son avancée en sainteté. Cela ressemble bien à une Mère que de proposer à l’ensemble de ses enfants une forme de prière qui les unit tout en étant à la portée de chacun d’entre eux jusqu’aux plus faibles. Dans sa structure le rosaire est une prière d’une telle simplicité qu’elle est un véritable défi pour les plus orgueilleux qui n’y trouvent aucune occasion de briller. Elle est une occasion d’humilité pour les plus savants qui, le priant, se rangent fraternellement au niveau des plus ignorants !

Au fur et à mesure de sa pratique, cette prière se révèle pourtant très complète. Pendant que les doigts égrènent le chapelet, la bouche récite les Ave, l’esprit contemple la vie de Jésus et de Marie, le cœur confie à Dieu les grandes intentions de l’Eglise. Comme l’écrit Léon XIII, qu’on a surnommé « le pape du rosaire », il ne suffit pas de déclamer des Ave, même bien dits, pour bien réciter le rosaire ; il faut aussi contempler et intérioriser les mystères qui sont attachés à chaque dizaine. La bonne méditation des mystères doit même l’emporter sur la parfaite exactitude des prières vocales !

Enfin, Marie étant la Mère de l’Eglise, la prière du rosaire doit toujours nous trouver dans des dispositions « ecclésiales ». Nous devons préférer prier le chapelet en commun (à l’église ou en famille) en confiant à Dieu non seulement nos propres préoccupations mais aussi les intentions de toute l’Eglise. Autrement dit, pour bien dire son chapelet, chacun doit prier en union avec l’Eglise toute entière, au nom de tous et pour tous. Rappelons-nous Marie au cénacle à la veille de la Pentecôte où « d’un seul cœur, elle prie avec les apôtres » !

Demandons à Notre Dame du très saint rosaire, au cours de ce mois d’octobre, une sincère conversion du cœur et un véritable esprit ecclésial !

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés ; préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (prière demandée par Notre Dame de Fatima le 13 juillet 1917 à la fin de chaque dizaine du chapelet)

Petite consécration à Notre Dame du rosaire :

Très sainte Vierge Marie, notre Mère et notre Reine, Notre Dame du très saint rosaire, je me consacre à votre Cœur Douloureux et Immaculé voulant me souvenir sans cesse que je vous appartiens et que vous pouvez disposer de moi pour le règne du Sacré-Cœur de Jésus. Aidez-moi à offrir aujourd’hui les sacrifices nécessaires à l’accomplissement chrétien de tous mes devoirs, à aimer et à réciter mon chapelet en m’unissant aux mystères de la vie de Jésus et de la vôtre. Amen.

Prière de Léon XIII a saint Joseph pour le mois du rosaire :

Nous recourons à vous dans notre tribulation, bienheureux Joseph, et, après avoir imploré le secours de votre très sainte épouse, nous sollicitons aussi avec confiance votre patronage.

Au nom de l’affection qui vous a uni à la Vierge immaculée, Mère de Dieu, par l’amour paternel dont vous avez entouré l’Enfant Jésus, nous vous supplions de regarder avec bonté l’héritage que Jésus-Christ a acquis au prix de son Sang et de nous assister de votre puissance et de votre secours dans tous nos besoins.

O très vigilant gardien de la sainte Famille, protégez la race élue de Jésus-Christ. O Père très aimant, éloignez de nous toute souillure d’erreur et de corruption. O notre très vaillant protecteur, assistez-nous du haut du ciel dans le combat que nous livrons à la puissance des ténèbres. Et, de même que vous avez arraché autrefois l’Enfant Jésus au péril de la mort, défendez aujourd’hui la sainte Eglise de Dieu des embûches de l’ennemi et de toute adversité.

Couvrez-nous tous de votre perpétuelle protection, afin que, soutenus par la puissance de votre exemple et de votre secours, nous puissions vivre saintement, pieusement mourir et obtenir la béatitude éternelle du Ciel. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

Fête de Notre Dame du très saint rosaire

Contemplons

Le pape saint Pie V à la fenêtre de son bureau ; en vision, il voit la victoire des forces de la sainte Ligue lors de la bataille de Lépante. C’était le soir du 7 octobre 1571 ; la nouvelle de la victoire n’est parvenue à Rome que le 26 octobre suivant !

Méditons

La fête de ce jour commémore un événement historique à savoir la victoire des forces de la sainte Ligue sur l’envahisseur turc lors de la bataille de Lépante (en Grèce) le dimanche 7 octobre 1571 !

Dressons le décor : l’Empire ottoman n’a cessé de s’étendre au cours du XVIème siècle. Son expansion est telle qu’il menace l’Europe et donc toute la chrétienté. En 1529, les forces ottomanes, sous la conduite de Soliman le Magnifique, assiègent Vienne, capitale de l’Autriche : si Vienne tombe, c’est l’Europe toute entière qui sera envahie. Les Viennois, dans la terreur, s’en remettent à Notre Dame, invoquent son aide et sa protection : de justesse Vienne est sauvée (pour cette fois) !

Moins de cinquante ans plus tard, Notre Dame allait à nouveau sauver la chrétienté. En effet, en 1571, les Turcs occupent presque tout le bassin méditerranéen, l’Afrique du nord, le Moyen Orient et la péninsule balkanique. Face à la menace turque, l’Europe est désunie et le pape saint Pie V ne parvient qu’après beaucoup d’efforts à former la sainte Ligue (l’Espagne, Venise et Malte) et à constituer une flotte. Afin d’implorer l’assistance de Dieu et l’intercession de Marie, il ordonne un jubilé solennel, un jeûne et la prière publique du rosaire. La bataille décisive a lieu le dimanche 7 octobre 1571, dans le golfe de Lépante, à la sortie du détroit de Corinthe. La flotte chrétienne, pourtant nettement inférieure en nombre, remporte une victoire complète !

Le soir de la bataille, le pape saint Pie V à Rome, va brusquement de son bureau à la fenêtre. Aux personnes qui l’entourent, il donne l’impression d’assister à un spectacle. Après un petit moment, il dit à son entourage : « Allons rendre grâce à Dieu : notre armée est victorieuse ». C’était le 7 octobre un peu avant 5 heures du soir. La nouvelle de la victoire ne devait parvenir à Rome que 19 jours plus tard, le 26 octobre, confirmant ainsi la révélation faite au pape !

En action de grâce, saint Pie V ajoute aux Litanies de Lorette, l’invocation : « Secours des chrétiens » et institue la fête de Notre Dame des Victoires ; Grégoire XIII la changera en fête du rosaire qui doit se célébrer le premier dimanche d’octobre dans toutes les églises. Cette bataille fut une victoire autant militaire que spirituelle puisqu’elle a marqué l’essor de la dévotion du rosaire !

Si, aujourd’hui, chez nous, nous vivons dans une paix relative et n’avons pas besoin de recourir aux armes (Deo gratias !), nous n’en sommes pas moins envahis par des forces anti-chrétiennes. Persévérons dans la prière du rosaire afin que Marie, secours des chrétiens, inaugure dans les cœurs l’avènement du Christ-Roi, seul capable de donner au monde la véritable paix !

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés ; préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (prière demandée par Notre Dame de Fatima le 13 juillet 1917 à la fin de chaque dizaine du chapelet)

Petite consécration à Notre Dame du rosaire :

Très sainte Vierge Marie, notre Mère et notre Reine, Notre Dame du très saint rosaire, je me consacre à votre Cœur Douloureux et Immaculé voulant me souvenir sans cesse que je vous appartiens et que vous pouvez disposer de moi pour le règne du Sacré-Cœur de Jésus. Aidez-moi à offrir aujourd’hui les sacrifices nécessaires à l’accomplissement chrétien de tous mes devoirs, à aimer et à réciter mon chapelet en m’unissant aux mystères de la vie de Jésus et de la vôtre. Amen.

Prière de Léon XIII a saint Joseph pour le mois du rosaire :

Nous recourons à vous dans notre tribulation, bienheureux Joseph, et, après avoir imploré le secours de votre très sainte épouse, nous sollicitons aussi avec confiance votre patronage.

Au nom de l’affection qui vous a uni à la Vierge immaculée, Mère de Dieu, par l’amour paternel dont vous avez entouré l’Enfant Jésus, nous vous supplions de regarder avec bonté l’héritage que Jésus-Christ a acquis au prix de son Sang et de nous assister de votre puissance et de votre secours dans tous nos besoins.

O très vigilant gardien de la sainte Famille, protégez la race élue de Jésus-Christ. O Père très aimant, éloignez de nous toute souillure d’erreur et de corruption. O notre très vaillant protecteur, assistez-nous du haut du ciel dans le combat que nous livrons à la puissance des ténèbres. Et, de même que vous avez arraché autrefois l’Enfant Jésus au péril de la mort, défendez aujourd’hui la sainte Eglise de Dieu des embûches de l’ennemi et de toute adversité.

Couvrez-nous tous de votre perpétuelle protection, afin que, soutenus par la puissance de votre exemple et de votre secours, nous puissions vivre saintement, pieusement mourir et obtenir la béatitude éternelle du Ciel. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

5ème mystère joyeux : le Recouvrement de Jésus au Temple

Contemplons

Jésus parmi les docteurs de la Loi, église saint Thomas, Leipzig

Méditons

Dans ce cinquième mystère joyeux, Marie nous prend par la main pour chercher et trouver Jésus. Elle nous partage les sentiments qui furent les siens pendant ces trois jours qui durent lui paraître interminables. Par la méditation de ce mystère, elle nous donne peu à peu de comprendre qu’il n’y a pas de plus grand malheur que de perdre Jésus !

Marie nous donne aussi de partager, tant sa joie de Mère lorsqu’elle retrouve son enfant sain et sauf  que celle, encore plus profonde, d’avoir retrouvé Jésus, Dieu fait homme. Dans l’hymne « Jesu dulcis memoria », l’’Eglise nous fait chanter à la troisième strophe : «O Jésus, espoir des pénitents, que vous êtes accueillant aux mendiants ! Que vous êtes bon à qui vous cherche ! Mais que dire de ceux qui vous trouvent ?»

Le rosaire veut nous faire goûter cette joie sublime de trouver et de posséder Jésus. Pour cela, il nous fait répéter : «priez pour nous, pauvres pécheurs», afin qu’avec l’aide de la Mère trois fois admirable, malgré nos misères, malgré nos péchés, nous entrions progressivement dans l’intimité divine !

Marie, Notre Dame du très saint rosaire, aidez-nous à chercher Dieu ; et surtout, aidez-nous à Le trouver toujours !

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés ; préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (prière demandée par Notre Dame de Fatima le 13 juillet 1917 à la fin de chaque dizaine du chapelet)

Petite consécration à Notre Dame du rosaire :

Très sainte Vierge Marie, notre Mère et notre Reine, Notre Dame du très saint rosaire, je me consacre à votre Cœur Douloureux et Immaculé voulant me souvenir sans cesse que je vous appartiens et que vous pouvez disposer de moi pour le règne du Sacré-Cœur de Jésus. Aidez-moi à offrir aujourd’hui les sacrifices nécessaires à l’accomplissement chrétien de tous mes devoirs, à aimer et à réciter mon chapelet en m’unissant aux mystères de la vie de Jésus et de la vôtre. Amen.

Prière de Léon XIII a saint Joseph pour le mois du rosaire :

Nous recourons à vous dans notre tribulation, bienheureux Joseph, et, après avoir imploré le secours de votre très sainte épouse, nous sollicitons aussi avec confiance votre patronage.

Au nom de l’affection qui vous a uni à la Vierge immaculée, Mère de Dieu, par l’amour paternel dont vous avez entouré l’Enfant Jésus, nous vous supplions de regarder avec bonté l’héritage que Jésus-Christ a acquis au prix de son Sang et de nous assister de votre puissance et de votre secours dans tous nos besoins.

O très vigilant gardien de la sainte Famille, protégez la race élue de Jésus-Christ. O Père très aimant, éloignez de nous toute souillure d’erreur et de corruption. O notre très vaillant protecteur, assistez-nous du haut du ciel dans le combat que nous livrons à la puissance des ténèbres. Et, de même que vous avez arraché autrefois l’Enfant Jésus au péril de la mort, défendez aujourd’hui la sainte Eglise de Dieu des embûches de l’ennemi et de toute adversité.

Couvrez-nous tous de votre perpétuelle protection, afin que, soutenus par la puissance de votre exemple et de votre secours, nous puissions vivre saintement, pieusement mourir et obtenir la béatitude éternelle du Ciel. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

4ème mystère joyeux : la Présentation de Jésus au Temple, la Purification de Marie

Contemplons

La Présentation au Temple, église saint Wolfgang, Autriche

Méditons

Le moment est solennel : Jésus est porté au Temple de Jérusalem, le seul élevé au vrai Dieu dans l’antiquité païenne. C’est le premier offertoire : Marie, la Vierge immaculée, offre à l’Eternel son Fils « pour la gloire de Dieu et le salut du monde ». Et, pour que l’oblation soit parfaite, elle s’offre avec son Fils à la manière dont le prêtre, à l’offertoire de la Messe, rajoute une goutte d’eau dans le calice déjà rempli de vin !

Par la méditation de ce quatrième mystère joyeux, Marie, Notre Dame du très saint rosaire, nous éduque par l’imitation de son lumineux exemple, tant à l’humilité qu’à l’obéissance (l’un ne va pas sans l’autre). Elle, la Mère de Dieu, la Toute-pure, se met au rang de toutes les femmes pour subir les rites de la purification ! Quelle humilité ! Elle accomplit les termes de la Loi et consacre Jésus, Dieu fait homme, son premier-né. Jésus est Dieu et n’a donc pas besoin d’être consacré au Très-haut. Cependant, Marie ne cherche pas à s’en dispenser ; elle n’a pas la moindre hésitation. Quel esprit d’obéissance !

Par la contemplation de ce mystère, Marie nous convie à offrir Jésus avec elle, dans les sentiments qui furent les siens, à nous unir au vieillard Siméon, à la prophétesse Anne qui, éclairés du Saint-Esprit, ont entrevu la grandeur de ce mystère. Elle nous entraine à l’obéissance aux commandements de Dieu et à ceux de l’Eglise !

Le rosaire nous fait humblement demander l’aide de Marie pour que, nous aussi, pauvres pécheurs que nous sommes, puissions être « goutte d’eau versée dans le Calice » pour la gloire de Dieu et le salut du monde.

Marie, Notre Dame du très saint rosaire, obtenez-nous l’humilité qui nous rendra obéissants !

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés ; préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (prière demandée par Notre Dame de Fatima le 13 juillet 1917 à la fin de chaque dizaine du chapelet)

Petite consécration à Notre Dame du rosaire :

Très sainte Vierge Marie, notre Mère et notre Reine, Notre Dame du très saint rosaire, je me consacre à votre Cœur Douloureux et Immaculé voulant me souvenir sans cesse que je vous appartiens et que vous pouvez disposer de moi pour le règne du Sacré-Cœur de Jésus. Aidez-moi à offrir aujourd’hui les sacrifices nécessaires à l’accomplissement chrétien de tous mes devoirs, à aimer et à réciter mon chapelet en m’unissant aux mystères de la vie de Jésus et de la vôtre. Amen.

Prière de Léon XIII a saint Joseph pour le mois du rosaire :

Nous recourons à vous dans notre tribulation, bienheureux Joseph, et, après avoir imploré le secours de votre très sainte épouse, nous sollicitons aussi avec confiance votre patronage.

Au nom de l’affection qui vous a uni à la Vierge immaculée, Mère de Dieu, par l’amour paternel dont vous avez entouré l’Enfant Jésus, nous vous supplions de regarder avec bonté l’héritage que Jésus-Christ a acquis au prix de son Sang et de nous assister de votre puissance et de votre secours dans tous nos besoins.

O très vigilant gardien de la sainte Famille, protégez la race élue de Jésus-Christ. O Père très aimant, éloignez de nous toute souillure d’erreur et de corruption. O notre très vaillant protecteur, assistez-nous du haut du ciel dans le combat que nous livrons à la puissance des ténèbres. Et, de même que vous avez arraché autrefois l’Enfant Jésus au péril de la mort, défendez aujourd’hui la sainte Eglise de Dieu des embûches de l’ennemi et de toute adversité.

Couvrez-nous tous de votre perpétuelle protection, afin que, soutenus par la puissance de votre exemple et de votre secours, nous puissions vivre saintement, pieusement mourir et obtenir la béatitude éternelle du Ciel. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

3ème mystère joyeux : la Nativité

Contemplons

Fra Angelico, Madone de l’humilité

Méditons

Par le rosaire, nous revivons cette merveilleuse nuit de Noël qui a vu naitre le Sauveur ; nous imaginons l’extrême pauvreté du refuge, les efforts de Joseph pour ménager un peu de confort à Marie ; nous écoutons l’ange convoquer les bergers à la crèche pour adorer le Verbe fait chair et assistons, ravis, au concert des phalanges célestes ; nous ressentons le froid et voyons se lever l’étoile qui conduit les mages ! Encore un peu et on se croirait au cinéma !

Dans ce troisième mystère, Marie nous invite à nous joindre à elle, à Joseph, aux mages, aux bergers, pour adorer joyeusement Jésus, nouveau-né. Elle est la seule à comprendre véritablement le mystère de l’Incarnation. Aussi, son aide nous est indispensable pour saisir (un peu !) l’amour infini de Jésus qui se fait homme pour l’amour de nous !

Redisons-lui, conscients de notre indigence : «sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous, pauvres pécheurs». Elle écoutera notre prière. Plus encore, elle unira sa prière à la nôtre et couvrira nos voix éraillées par le péché de sa voix immaculée pour dire : « Gloire au Père, au Fils et au Saint-Esprit » !

Marie, Notre Dame du très saint rosaire, aidez-nous, à célébrer dignement la naissance de votre Fils, notre Sauveur, Dieu parmi nous !

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés ; préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (prière demandée par Notre Dame de Fatima le 13 juillet 1917 à la fin de chaque dizaine du chapelet)

Petite consécration à Notre Dame du rosaire :

Très sainte Vierge Marie, notre Mère et notre Reine, Notre Dame du très saint rosaire, je me consacre à votre Cœur Douloureux et Immaculé voulant me souvenir sans cesse que je vous appartiens et que vous pouvez disposer de moi pour le règne du Sacré-Cœur de Jésus. Aidez-moi à offrir aujourd’hui les sacrifices nécessaires à l’accomplissement chrétien de tous mes devoirs, à aimer et à réciter mon chapelet en m’unissant aux mystères de la vie de Jésus et de la vôtre. Amen.

Prière de Léon XIII a saint Joseph pour le mois du rosaire :

Nous recourons à vous dans notre tribulation, bienheureux Joseph, et, après avoir imploré le secours de votre très sainte épouse, nous sollicitons aussi avec confiance votre patronage.

Au nom de l’affection qui vous a uni à la Vierge immaculée, Mère de Dieu, par l’amour paternel dont vous avez entouré l’Enfant Jésus, nous vous supplions de regarder avec bonté l’héritage que Jésus-Christ a acquis au prix de son Sang et de nous assister de votre puissance et de votre secours dans tous nos besoins.

O très vigilant gardien de la sainte Famille, protégez la race élue de Jésus-Christ. O Père très aimant, éloignez de nous toute souillure d’erreur et de corruption. O notre très vaillant protecteur, assistez-nous du haut du ciel dans le combat que nous livrons à la puissance des ténèbres. Et, de même que vous avez arraché autrefois l’Enfant Jésus au péril de la mort, défendez aujourd’hui la sainte Eglise de Dieu des embûches de l’ennemi et de toute adversité.

Couvrez-nous tous de votre perpétuelle protection, afin que, soutenus par la puissance de votre exemple et de votre secours, nous puissions vivre saintement, pieusement mourir et obtenir la béatitude éternelle du Ciel. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

2ème mystère joyeux : la Visitation

Contemplons

La Visitation, cathédrale de Salzbourg. Jean-Baptiste, dans le sein d’Elisabeth, reconnait Jésus dans le sein de Marie et se prosterne devant lui.

Méditons

Contemplons Marie : elle part en grande hâte vers la maison d’Elisabeth. Encore dans la joie de l’Annonciation et pétrie de charité pour sa vieille cousine enceinte du précurseur (saint Jean-Baptiste), elle traverse les montagnes. Elle ne craint ni les obstacles, ni les dangers : l’ange lui a bien dit il y a peu : « rien n’est impossible à Dieu » !

Ce second mystère joyeux nous donne d’accompagner Marie dans ce voyage périlleux, à nous unir à son séjour de trois mois chez Elisabeth, à participer à la joie de cette rencontre et plus tard à celle de la naissance de Jean-Baptiste !

Au comble de la joie, Marie entonne son Magnificat : elle sait qu’elle doit tout à Jésus, son Fils, «son Sauveur». Les merveilles que le Tout-Puissant fait pour elle sont déjà des fruits de la Passion de Jésus. Dans ce mystère, elle nous entraine à magnifier le Seigneur avec elle pour Lui rendre grâce de toutes les merveilles qu’il fait aussi dans nos vies !

Soucieuse de tous ses enfants, Marie souhaite aussi visiter nos âmes pour nous combler de grâces divines comme elle l’a fait pour Elisabeth et Jean-Baptiste. Mais, elle est respectueuse de notre liberté. Elle ne s’impose en aucun cas. A l’exemple d’Elisabeth, elle souhaite que nous l’invitions dans nos vies, que nous désirions sa venue, que nous l’accueillions dans la joie !

Que nos sécheresses et nos distractions n’entament donc pas notre assiduité à la prière du rosaire. C’est par notre fidélité malgré nos sécheresses, malgré nos distractions que se prouve notre attachement à Marie et à Jésus présent en elle !

Marie, Notre Dame du très saint rosaire, aidez-nous à entrer dans les dispositions du cœur qui vous permettent de nous combler de vos grâces !

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés ; préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (prière demandée par Notre Dame de Fatima le 13 juillet 1917 à la fin de chaque dizaine du chapelet)

Petite consécration à Notre Dame du rosaire :

Très sainte Vierge Marie, notre Mère et notre Reine, Notre Dame du très saint rosaire, je me consacre à votre Cœur Douloureux et Immaculé voulant me souvenir sans cesse que je vous appartiens et que vous pouvez disposer de moi pour le règne du Sacré-Cœur de Jésus. Aidez-moi à offrir aujourd’hui les sacrifices nécessaires à l’accomplissement chrétien de tous mes devoirs, à aimer et à réciter mon chapelet en m’unissant aux mystères de la vie de Jésus et de la vôtre. Amen.

Prière de Léon XIII a saint Joseph pour le mois du rosaire :

Nous recourons à vous dans notre tribulation, bienheureux Joseph, et, après avoir imploré le secours de votre très sainte épouse, nous sollicitons aussi avec confiance votre patronage.

Au nom de l’affection qui vous a uni à la Vierge immaculée, Mère de Dieu, par l’amour paternel dont vous avez entouré l’Enfant Jésus, nous vous supplions de regarder avec bonté l’héritage que Jésus-Christ a acquis au prix de son Sang et de nous assister de votre puissance et de votre secours dans tous nos besoins.

O très vigilant gardien de la sainte Famille, protégez la race élue de Jésus-Christ. O Père très aimant, éloignez de nous toute souillure d’erreur et de corruption. O notre très vaillant protecteur, assistez-nous du haut du ciel dans le combat que nous livrons à la puissance des ténèbres. Et, de même que vous avez arraché autrefois l’Enfant Jésus au péril de la mort, défendez aujourd’hui la sainte Eglise de Dieu des embûches de l’ennemi et de toute adversité.

Couvrez-nous tous de votre perpétuelle protection, afin que, soutenus par la puissance de votre exemple et de votre secours, nous puissions vivre saintement, pieusement mourir et obtenir la béatitude éternelle du Ciel. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

1er mystère joyeux : l’Annonciation

Contemplons

Roger van der Weyden, Annonciation

Méditons

Voici arrivée l’heure tant attendue où Dieu va venir parmi les hommes. L’archange est envoyé du Ciel à Marie, la Vierge choisie pour Le donner au monde !

Chaque fois que nous méditons ce premier mystère joyeux, le rosaire nous fait assister à l’entretien de l’archange Gabriel et de Marie. II nous fait participer à l’émerveillement de l’ange : « Je vous salue, comblée-de-grâce, le Seigneur est avec Vous… » et nous fait saluer Marie avec les mots dont il s’est servi dans sa mission d’ambassadeur de Dieu !

Le rosaire nous fait aussi partager la joie de Marie, choisie entre toutes les femmes ; il nous fait revivre avec elle ces instants inoublia­bles. Il nous donne d’être présents au moment où elle donne son « Oui » et où s’accomplit le prodige d’amour qu’est l’Incarnation !

Le rosaire nous fait demander l’assistance de Marie pour que nous comprenions mieux l’amour infini de Dieu qui va jusqu’à se faire l’un d’entre nous et pour que, nous aussi, nous sachions dire un « oui » sincère et généreux à tout ce que Dieu nous demandera !

Marie, Notre Dame du très saint rosaire, aidez-nous à célébrer dignement, avec vous, l’instant où Dieu s’est fait homme pour notre salut !

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés ; préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (prière demandée par Notre Dame de Fatima le 13 juillet 1917 à la fin de chaque dizaine du chapelet)

Petite consécration à Notre Dame du rosaire :

Très sainte Vierge Marie, notre Mère et notre Reine, Notre Dame du très saint rosaire, je me consacre à votre Cœur Douloureux et Immaculé voulant me souvenir sans cesse que je vous appartiens et que vous pouvez disposer de moi pour le règne du Sacré-Cœur de Jésus. Aidez-moi à offrir aujourd’hui les sacrifices nécessaires à l’accomplissement chrétien de tous mes devoirs, à aimer et à réciter mon chapelet en m’unissant aux mystères de la vie de Jésus et de la vôtre. Amen.

Prière de Léon XIII a saint Joseph pour le mois du rosaire :

Nous recourons à vous dans notre tribulation, bienheureux Joseph, et, après avoir imploré le secours de votre très sainte épouse, nous sollicitons aussi avec confiance votre patronage.

Au nom de l’affection qui vous a uni à la Vierge immaculée, Mère de Dieu, par l’amour paternel dont vous avez entouré l’Enfant Jésus, nous vous supplions de regarder avec bonté l’héritage que Jésus-Christ a acquis au prix de son Sang et de nous assister de votre puissance et de votre secours dans tous nos besoins.

O très vigilant gardien de la sainte Famille, protégez la race élue de Jésus-Christ. O Père très aimant, éloignez de nous toute souillure d’erreur et de corruption. O notre très vaillant protecteur, assistez-nous du haut du ciel dans le combat que nous livrons à la puissance des ténèbres. Et, de même que vous avez arraché autrefois l’Enfant Jésus au péril de la mort, défendez aujourd’hui la sainte Eglise de Dieu des embûches de l’ennemi et de toute adversité.

Couvrez-nous tous de votre perpétuelle protection, afin que, soutenus par la puissance de votre exemple et de votre secours, nous puissions vivre saintement, pieusement mourir et obtenir la béatitude éternelle du Ciel. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

Le mois du rosaire

Contemplons

La Vierge Marie remet le rosaire à saint Dominique en lui demandant de le propager pour la gloire de Dieu et le salut du monde. Sous la Mère de Dieu, un petit chien portant une torche embrasée dans sa gueule. Ce chien  vient d’un rêve que la mère de saint Dominique fit alors qu’elle était enceinte de lui. Dans ce rêve elle enfantait d’un chien portant une torche qui embrasait le monde entier. Saint Dominique reprit donc cet emblème en disant qu’il serait ce chien qui embrasera le monde de la vérité.

Méditons

C’est Léon XIII, qu’on a surnommé le pape du rosaire, qui a fait ajouter aux litanies de Lorette le vocable « Reine du très saint rosaire priez pour nous » ; c’est lui aussi qui a dédié le mois d’octobre à la prière du rosaire. Il témoignait ainsi de l’importance de la prière du rosaire dans la vie de l’Eglise et de la vie chrétienne en général. Aussi interrogeons-nous, pendant ce mois d’octobre, sur l’intérêt de cette prière que beaucoup jugent démodée (car mal comprise) !

Marie est notre Mère depuis le Vendredi-saint, jour où Jésus mourant nous a confié à elle. En saint Jean, nous avons accepté et accueilli la maternité de Marie afin qu’elle fasse de nous de dignes disciples de Jésus. Comme notre Mère, Marie connait bien la faiblesse de notre nature ; elle sait comme nous pouvons être inconstants et négligents pour tout ce qui concerne notre salut, préoccupés que nous sommes par les choses de la terre !

Aussi, par le rosaire, elle nous fait revivre, chaque jour, les grandes étapes de notre rédemption. Elle nous invite à les contempler avec ses yeux et son Cœur de Mère ; plus encore, elle nous invite à nous mettre à son école car elle a vécu tous les événements de la vie de Jésus avec la plénitude de ses dons !

Dieu, pour qui le temps n’existe pas, reçoit miséricordieusement notre prière et notre contemplation comme si réellement nous avions été présents dans le temps où les mystères se sont accomplis. Marie, Notre Dame du rosaire, la première, nous en a donné l’exemple car elle «se souvenait de toutes ces choses et les repassait dans son Cœur» (Luc 2, 19) !

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés ; préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (prière demandée par Notre Dame de Fatima le 13 juillet 1917 à la fin de chaque dizaine du chapelet)

Petite consécration à Notre Dame du rosaire :

Très sainte Vierge Marie, notre Mère et notre Reine, Notre Dame du très saint rosaire, je me consacre à votre Cœur Douloureux et Immaculé voulant me souvenir sans cesse que je vous appartiens et que vous pouvez disposer de moi pour le règne du Sacré-Cœur de Jésus. Aidez-moi à offrir aujourd’hui les sacrifices nécessaires à l’accomplissement chrétien de tous mes devoirs, à aimer et à réciter mon chapelet en m’unissant aux mystères de la vie de Jésus et de la vôtre. Amen.

Prière de Léon XIII a saint Joseph pour le mois du rosaire :

Nous recourons à vous dans notre tribulation, bienheureux Joseph, et, après avoir imploré le secours de votre très sainte épouse, nous sollicitons aussi avec confiance votre patronage.

Au nom de l’affection qui vous a uni à la Vierge immaculée, Mère de Dieu, par l’amour paternel dont vous avez entouré l’Enfant Jésus, nous vous supplions de regarder avec bonté l’héritage que Jésus-Christ a acquis au prix de son Sang et de nous assister de votre puissance et de votre secours dans tous nos besoins.

O très vigilant gardien de la sainte Famille, protégez la race élue de Jésus-Christ. O Père très aimant, éloignez de nous toute souillure d’erreur et de corruption. O notre très vaillant protecteur, assistez-nous du haut du ciel dans le combat que nous livrons à la puissance des ténèbres. Et, de même que vous avez arraché autrefois l’Enfant Jésus au péril de la mort, défendez aujourd’hui la sainte Eglise de Dieu des embûches de l’ennemi et de toute adversité.

Couvrez-nous tous de votre perpétuelle protection, afin que, soutenus par la puissance de votre exemple et de votre secours, nous puissions vivre saintement, pieusement mourir et obtenir la béatitude éternelle du Ciel. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.