Le Saint Sacrifice de la Messe selon les Visions de frère Kostka

L’événement sublime – Le Corps ressuscité glorifié

Frère Kostka : « Le Sauveur, après la mort sur la Croix, n’a plus qu’un corps ressuscité, transfiguré. Il ressemble davantage à un corps de lumière qu’à un corps de chair et de sang. Tout est plus léger, plus transparent. Ce corps de lumière est incompréhensiblement rapide, aussi rapide que la pensée. Il semble n’être plus lié ni au temps ni à l’espace. Rien ne l’entrave ; le Christ transfiguré traverse la matière sans résistance.

Dans cet état de transfiguration, le Ressuscité apparaît tantôt ici, tantôt là. Partout où Il se manifeste, Il agit ; Sa présence devient toujours source de bénédiction. Il passe près des hommes, invisiblement, mais certains ressentent tout de même Sa proximité.

Lors des Messes solennelles, surtout quand la Messe est longue, je vois à plusieurs reprises des scènes de la Résurrection auprès de la Mère de Jésus, de Ses apôtres et de Ses disciples. Les plaies de Jésus me sont toujours visibles, mais elles brillent maintenant, transfigurées, lumineuses et douces.

Immédiatement après la Résurrection, j’ai vu à plusieurs reprises le Ressuscité glorieux apparaître à Sa sainte Mère, et cela avant tout autre être humain. À son apparition, la Bénie entre toutes les femmes voulait se jeter à Ses pieds, mais le Rédempteur triomphant ne le permit pas. Il enlaça avec un amour infini Sa Mère, si profondément unie à Lui dans la vie et dans la mort. Nulle langue humaine ne saurait exprimer l’immense joie qui inonda alors le cœur de Marie, la fortifia et l’arma pour toutes les tâches qu’elle devait encore accomplir jusqu’à son Assomption. Dans son humilité, la Servante du Seigneur n’a pas permis que cette rencontre soit consignée par écrit. »

(Traduit de l’allemand : « Das heilige Messopfer – in Schauungen erlebt »).

Prions

Une dizaine du chapelet (1 Notre Père, 10 Je vous salue Marie, 1 Gloire au Père)

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les anges et tous les saints,

le corps, le sang, l’âme, la divinité, la sainte-face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les anges et de tous les saints,

de toutes les saintes messes et communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts, reposent en paix. Amen.

Le Saint Sacrifice de la Messe selon les Visions de frère Kostka

La Résurrection rendue présente

Dans le déroulement sacramentel, qui suit la Consécration, la Résurrection de notre Seigneur est rendue présente. Le Christ est désormais présent dans les espèces eucharistiques avec son corps glorieux ressuscité ; c’est avec ce corps de résurrection qu’il est aussi reçu par les fidèles dans la communion. Pendant tout le temps qui suit la Consécration jusqu’à la communion, le Christ Vainqueur, portant les plaies lumineuses, est présent sur l’autel.

Il est donc parfaitement cohérent et conforme à la vérité de la foi que Frère Kostka, dans sa vision mystique, voit avec les yeux spirituels le Ressuscité glorieux, et qu’il lui soit donné de partager avec Lui les joies de la Résurrection : « Lorsque le Seigneur passe devant les lieux de sa Passion et se réjouit de ses triomphes, moi aussi, il m’arrive de recevoir aussi quelques gouttes de cette joie victorieuse. » De Pâques à l’Ascension, mais au-delà aussi…

Le déroulement sacramentel après la consécration correspond aux événements historiques qui vont de Pâques à l’Ascension. Mais cela ne s’arrête pas là. En effet, l’œuvre de rédemption de la sainte Messe a une portée bien plus vaste et un impact universel.

Le Christ glorieux veut communiquer la grâce de la Résurrection à tous ses fidèles, membres de son Corps mystique. Ce qu’Il veut opérer aujourd’hui, dans notre temps, c’est le fondement de ce qui sera accompli pour toute l’humanité au jour du Jugement dernier.

Par sa mort rédemptrice, Il restaure la vie de grâce perdue ou corrompue par le poison du péché. Il nourrit l’âme et donne le gage de la béatitude éternelle à quiconque reçoit dignement la chair du Fils de l’homme et boit son sang (cf. Jn 6, 55–59). Dans ce discours de promesse, le Christ insiste quatre fois avec force : « Je le ressusciterai au dernier jour » (cf. Jn 6, 39, 40, 44, 55).

Quelle grandeur insondable et quelle toute-puissance dans le Christ, Lui qui est « la Résurrection et la Vie » (Jn 11, 25) — « le désiré des collines éternelles » (Gn 49, 26) — quand Il reviendra dans sa gloire pour remettre le Royaume à Dieu le Père, après avoir anéanti toute domination, toute autorité et toute puissance, et soumis tous ses ennemis sous ses pieds, lorsque le dernier ennemi, la mort, sera vaincu (cf. 1 Co 15, 24–28) : « Lorsque la mort sera engloutie dans la victoire. »

C’est dans cette dimension universelle que l’on peut le mieux honorer la Résurrection du Christ physique et celle du Christ mystique.

La période liturgique qui s’étend de la consécration jusqu’au dernier Évangile correspond, dans sa dynamique vivante, aux mystères de la Résurrection jusqu’à l’Ascension.

(Traduit de l’allemand : « Das heilige Messopfer – in Schauungen erlebt »).

Prions

Une dizaine du chapelet (1 Notre Père, 10 Je vous salue Marie, 1 Gloire au Père)

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les anges et tous les saints,

le corps, le sang, l’âme, la divinité, la sainte-face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les anges et de tous les saints,

de toutes les saintes messes et communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts, reposent en paix. Amen.

Le Saint Sacrifice de la Messe selon les Visions de frère Kostka

Mémoire de la glorieuse résurrection après la Consécration

Après la consécration, la liturgie remet, dans une prière fervente, les offrandes du sacrifice de l’autel à la divine Majesté.

La première prière du Canon présente à la face de Dieu l’hostie pure, la sainte hostie, l’hostie immaculée, le saint pain de la vie éternelle et le calice du salut éternel.

La deuxième prière demande que ce sacrifice soit agréé, en se référant aux sacrifices agréables de l’Ancien Testament : ceux d’Abel, d’Abraham et de Melchisédech.

La troisième prière est une supplication pour que notre offrande soit accueillie par le service des anges sur l’autel céleste auprès de Dieu.

La quatrième prière est une intercession pour les défunts, afin que tous ceux qui vivent dans le Christ parviennent à la béatitude éternelle.

La cinquième prière du Canon demande d’être admis et accueilli dans la communion des saints.

La conclusion du sacrifice est marquée par l’élévation de la sainte hostie en même temps que le calice, afin qu’à travers le Christ, la glorification de Dieu — le but ultime et suprême de toute action religieuse — soit atteinte.

(Traduit de l’allemand : « Das heilige Messopfer – in Schauungen erlebt »).

Prions

Une dizaine du chapelet (1 Notre Père, 10 Je vous salue Marie, 1 Gloire au Père)

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les anges et tous les saints,

le corps, le sang, l’âme, la divinité, la sainte-face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les anges et de tous les saints,

de toutes les saintes messes et communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts, reposent en paix. Amen.

Le Saint Sacrifice de la Messe selon les Visions de frère Kostka

En conclusion, Frère Kostka déclara :

Frère Kostka : « Ces mystères et d’autres encore, je les vois au moment de la consécration comme devant moi. Beaucoup de choses me sont révélées par le regard spirituel ; ce sont des événements sublimes que je ne parviens pas à exprimer avec des mots. Il me paraît étrange que dernièrement, le meurtrier de Düsseldorf m’ait été montré. Comme le bon larron sur la croix, il fut sauvé à la dernière heure, ayant confessé ses fautes et reçu la sainte communion avant son exécution. Je ne peux repousser ce pauvre misérable, et je prie pour lui. Car pour de tels pécheurs, beaucoup de choses doivent être réparées. » (Parallèle avec sainte Thérèse de Lisieux)

L’Écriture Sainte a transmis à l’Église la mort sacrificielle du Christ, ses circonstances et d’autres détails remarquables. On peut s’y référer :

  • La crucifixion de Jésus et des deux larrons : (Mt 27, 31ss ; Mc 15, 22ss ; Lc 23, 33ss ; Jn 19, 18)
  • L’indignation des pharisiens face à l’inscription de la croix : (Jn 19, 19ss)
  • Le partage des vêtements : (Mt 27, 35ss ; Mc 15, 24 ; Jn 19, 23)
  • Les moqueries : (Mt 27, 39ss ; Mc 15, 29ss)
  • La parole de grâce au bon larron : (Lc 23, 43)
  • Le testament de Jésus : « Voici ton fils – Voici ta mère » (Jn 19, 25)
  • Le cri d’abandon : (Mt 27, 46ss ; Mc 15, 33ss ; Lc 23, 44)
  • L’obscurcissement du soleil : (Lc 23, 45)
  • La soif de Jésus : (Mt 27, 48 ; Mc 15, 36 ; Jn 19, 28)
  • Le cri de victoire de Jésus : (Jn 19, 30 ; Lc 23, 46)
  • La mort de Jésus et ses circonstances : (Mc 15, 37ss ; Lc 23, 46ss)
  • La mise au tombeau : (Mt 27, 57–61 ; Mc 15, 42–47 ; Lc 23, 50–55 ; Jn 19, 38–42).

« Par sa mort, Il (le Christ) a détruit notre mort, et par sa Résurrection, Il nous a redonné la vie. » (Préface de Pâques)

(Traduit de l’allemand : « Das heilige Messopfer – in Schauungen erlebt »).

Prions

Une dizaine du chapelet (1 Notre Père, 10 Je vous salue Marie, 1 Gloire au Père)

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les anges et tous les saints,

le corps, le sang, l’âme, la divinité, la sainte-face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les anges et de tous les saints,

de toutes les saintes messes et communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts, reposent en paix. Amen.

Le Saint Sacrifice de la Messe selon les Visions de frère Kostka

La Mère des douleurs au pied de la Croix

Frère Kostka : « La Mère de Dieu, lorsqu’elle se tenait au pied de la Croix, ne voyait pas seulement les événements extérieurs de la Passion, mais aussi les mystères intérieurs, avec un regard aussi clair et lumineux qu’aucun autre être humain, même hautement favorisé, ne pouvait posséder. Cette illumination intérieure des mystères de la foi maintenait l’âme de la Vierge très pure dans un équilibre tel qu’elle ne fut pas anéantie par une douleur sauvage. Marie était remplie d’un calme et d’une maîtrise admirables, incompréhensibles pour nous, simples mortels.

Même si cette lumière de la foi soutenait l’esprit de Marie sous la Croix, elle ne fut pourtant pas épargnée par la douleur maternelle. Bien au contraire : la grandeur de son amour maternel et de sa dignité de Mère, elle a dû la mériter dans la profondeur même de la souffrance. Sous la Croix, Marie assuma, au moment où le côté du Christ fut transpercé, l’une de ses plus hautes missions. Elle devint la Mère de tous les enfants de Dieu, et de ce fait la Mère de l’Église. À l’instant même où, dans le Cœur de Jésus, le Saint-Esprit forma le Corps mystique par le sang jaillissant, Marie enfanta dans la douleur tous les enfants qui hériteront du Royaume de Dieu. La souffrance de Marie est inséparablement liée à sa maternité. Mais cette souffrance maternelle est transfigurée par le mystère de sa dignité maternelle et de sa fécondité virginale. »

Marie est l’héritière universelle de toutes les grâces.

Les grâces coulent du Cœur de Jésus dans son Cœur Immaculé.

Le Cœur de Jésus a été formé dans son sein, de son sang.

Son Cœur est le trésor, le trône de la grâce, comme le dit l’introït de la Messe du Cœur Immaculé de Marie. C’est là qu’apparaît tout le sens de Fatima.

Marie, la Mère du Souverain Prêtre éternel, se tenait avec saint Jean au plus près de l’autel du sacrifice, de la Croix (Jn 19,25). Dans un amour maternel suprême et un abandon total, elle assistait son divin Fils lors de sa première Messe sanglante sur le Golgotha. Elle n’était pas seulement présente extérieurement, elle offrait un double sacrifice : celui de son divin Fils et, avec Lui, le sien propre.

Ce sacrifice maternel est mieux compris lorsqu’on le compare au sacrifice paternel d’Abraham. Celui-ci, offert dans l’obéissance de la foi, entraîna une bénédiction immense. Dieu lui déclara : « Je te bénirai, je rendrai ton nom célèbre. Tu seras béni. En toi seront bénies toutes les nations de la terre. » (Gn 12,2-3)

Cette bénédiction fut, par le Christ, transmise aussi aux païens (Gal 3,8-9).

Marie, par son sacrifice, a reçu des bénédictions incomparablement plus grandes et les a transmises à tous les peuples. Cette bénédiction est chez elle si puissante et si caractéristique que la bénédiction est devenue son titre d’honneur et son nom propre. Elle s’appelle la « Bénie entre toutes les femmes ». Des millions de chrétiens, avec l’archange Gabriel, proclament chaque jour : « Tu es bénie entre les femmes. » (Lc 1,28)

Après le nom de Jésus, le sien est le plus glorieux sur toute la terre.

Comme elle l’a elle-même prophétisé : « Désormais toutes les générations me diront bienheureuse. » (Lc 1,48)

Le sacrifice d’Abraham, qui lui coûta son propre cœur, fut la source d’une fécondité immense :

« Tu deviendras père d’une multitude de nations. Tu ne t’appelleras plus Abram (père élevé), mais Abraham (père de la multitude). Je te rendrai très fécond. Des peuples naîtront de toi, des rois sortiront de toi. » (Gn 17,5 sqq. ; 22,17)

Marie, au pied de la Croix, a obtenu par son sacrifice, dans l’obéissance de la foi, une nouvelle maternité, unique en son genre. Parmi toutes les femmes, elle seule a une double maternité :  dans l’ordre naturel, elle est la Mère du Fils unique de Dieu par la naissance, – dans l’ordre de la grâce, elle est la Mère des enfants de Dieu dans une universalité sans limite, dans l’espace comme dans le temps.

Cette double maternité mariale est affirmée par l’Esprit-Saint dans deux passages de l’Écriture (Gn 3,15 ; Ap 12,17), et attestée dans les documents sacrés. Dans l’Apocalypse, il est écrit :

« Le dragon s’irrita contre la Femme et alla faire la guerre au reste de sa descendance, ceux qui gardent les commandements de Dieu et qui possèdent le témoignage de Jésus. »

Ces enfants de sa descendance sont tous les enfants de Dieu dans le temps et l’espace. Ainsi, la maternité spirituelle de Marie est, en ampleur, bien plus grande que la paternité d’Abraham.

Frère Kostka a résumé cette vérité de manière brève mais complète : « Sous la Croix, Marie a assumé l’une de ses plus hautes missions, au moment où le côté du Christ fut transpercé. Elle devint la Mère de tous les enfants de Dieu, et donc la Mère de l’Église. »

La grandeur, la majesté et la plénitude de pouvoir de la maternité de Marie, la « Femme de l’Apocalypse », lui ont été données comme un don gratuit de Dieu, mais non sans sa coopération personnelle et sans un sacrifice correspondant. Les douleurs spirituelles de l’enfantement ne lui furent pas épargnées lorsqu’on lui confia, sous la Croix, les enfants de la grande famille de Dieu. Là, avec le Germe mâle promis (Gn 3,15), elle écrasa la tête du serpent, lui arracha la puissance de la mort (He 2,14), tandis que son divin Fils détruisait par Sa mort le tyran des enfers.

(Traduit de l’allemand : « Das heilige Messopfer – in Schauungen erlebt »).

Prions

Une dizaine du chapelet (1 Notre Père, 10 Je vous salue Marie, 1 Gloire au Père)

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les anges et tous les saints,

le corps, le sang, l’âme, la divinité, la sainte-face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les anges et de tous les saints,

de toutes les saintes messes et communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts, reposent en paix. Amen.

Le Saint Sacrifice de la Messe selon les Visions de frère Kostka

Le Saint-Esprit

Le Saint-Esprit a formé l’humanité du Christ par son ombre puissante et Il L’a guidée tout au long de sa vie terrestre. À présent, Il glorifie le Verbe incarné dans le plus suprême amour . Les flammes d’amour du Saint-Esprit étaient les ardeurs divines dans lesquelles le Christ a consenti à se consumer. Lorsque le souverain prêtre éternel s’offrit en hostie immaculée et se consuma comme holocauste, ce ne furent pas des flammes terrestres, mais les ardeurs divines d’amour du Saint-Esprit qui agirent.

Frère Kostka : « Au moment de la consécration, je vois le Saint-Esprit, représenté de manière imagée et dans une jeunesse éternelle, extrêmement actif. Par la mort sacrificielle de Jésus, le Saint-Esprit peut, avec Son feu, faire fondre la croûte glaciale des cœurs, y verser Son amour et l’y enflammer. Le Cœur de Jésus est l’organe à travers lequel le Saint-Esprit agit. Il prend, selon l’Écriture, du trésor de Jésus et transmet l’amour, comme le dit le Christ : « Il prendra de ce qui est à moi et vous l’annoncera. » (Jn 16, 14)

Par cette même puissance de son ombre avec laquelle Il forma le Corps du Christ dans le sein de la Vierge très pure, Il forme dans le côté transpercé du Rédempteur le Corps mystique de l’Église. Au même instant où le Christ meurt, l’Église naît. La vie de Jésus passe dans l’Église. Cette réalité est compréhensible dans la vision spirituelle, mais il est difficile de l’exprimer en mots humains.

À la fête du Sacré-Cœur de Jésus, le monde catholique proclame dans l’hymne : « E corde scissi Ecclesia, Christo jugata nascitur », c’est-à-dire : « De son cœur transpercé est née l’Église et elle a été unie au Christ. » Et à la fête de la dédicace de l’Église, la liturgie entonne l’invitatoire solennel : « Venez, adorons le Christ, l’Époux de l’Église ! » Car, selon saint Jean (Ap 19, 5), elle est l’« Épouse de l’Agneau ».

La naissance de la sainte Église ne doit pas être passée sous silence, mais honorée et religieusement célébrée. C’est un heureux dessein et une providence que le Saint-Esprit veuille, à travers les témoins éclairés de la tradition (les Pères de l’Église) nous révéler précisément à la fête et dans l’octave du Sacré-Cœur ce mystère de la naissance de l’Église, puisque celle-ci a reçu sa vie et son existence du côté de Jésus.

En raison de l’importance de ces témoignages, les textes de trois docteurs de l’Église sont rapportés : Augustin, Jean Chrysostome et Bonaventure :

« La première femme fut formée du côté de l’homme endormi. Elle fut appelée Vie et Mère des vivants. C’est un grand bien avant le malheur de la chute. Le second Adam (le Christ) inclina la tête et s’endormit sur la croix afin que de Lui soit formée son Épouse, sortie de son côté pendant ce sommeil. » (Saint Augustin, Tract. 120 in Joh. 23).

« Je dis que le symbole et le mystère du baptême sont signifiés par l’eau et le sang d’où est née l’Église par la régénération dans le bain d’eau et par le renouveau du Saint-Esprit. Je dis : par le baptême et les mystères sortis du côté du Christ. Ainsi l’Église est née du côté du Christ comme Ève est née du côté d’Adam. C’est pourquoi saint Paul atteste : « Nous sommes chair de sa chair et os de ses os. » (Ep 5,31) Du côté du Christ, Il nous a donné l’eau et le sang d’où est issue l’Église. »  Saint Jean Chrysostome, Hom. ad Neophytos

« Afin que l’Église puisse être formée du côté du Christ, lorsqu’Il s’endormit sur la croix, il fut permis par un ordre divin qu’un soldat transperce de sa lance le saint côté et l’ouvre. Par le sang et l’eau qui en jaillirent, le prix de notre salut fut obtenu ; de cette source mystique du Cœur, les sacrements devaient recevoir leur puissance vivifiante. » Saint Bonaventure, Lib. de ligno vitae, 30

Le récit de Frère Kostka sur l’origine de l’Église concorde, comme le montrent ces comparaisons, avec l’enseignement des Pères de l’Église. Particulièrement éclairante est l’affirmation selon laquelle le Corps mystique de l’Église a été formé par la même puissance de l’ombre du Saint-Esprit que celle qui forma le Corps physique du Christ. Le Corps physique et le Cœur physique de Jésus furent formés par le Saint-Esprit dans le sein de la Vierge très pure, à partir de son propre sang (cf. Litanies du Sacré-Cœur). Le Corps mystique fut pareillement formé par la puissance vivifiante du Saint-Esprit et par le Sang précieux jailli du côté du Christ.

Quand Frère Kostka voit et dit : « Je ne vois pas le saint Sang mort et vidé de son âme, mais vivant. Je le vois rouge, et pourtant lumineux, bouillonnant de saintes flammes d’amour et resplendissant intensément », ces paroles semblent fonder une raison théologique : c’est par l’élément vital divin du Sang que l’Église a été animée. La vie ne peut être transmise que par la vie. Cette loi biologique vaut dans tout l’ordre de l’être. De même que le grain de blé (Jn 12, 24), tombé en terre et mourant, transmet la vie et forme une nouvelle pousse à partir de son protoplasme, ainsi, lorsque le Christ meurt, sa Vie passe dans l’Église et lui donne vie.

(Traduit de l’allemand : « Das heilige Messopfer – in Schauungen erlebt »).

Prions

Une dizaine du chapelet (1 Notre Père, 10 Je vous salue Marie, 1 Gloire au Père)

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les anges et tous les saints,

le corps, le sang, l’âme, la divinité, la sainte-face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les anges et de tous les saints,

de toutes les saintes messes et communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts, reposent en paix. Amen.

Le Saint Sacrifice de la Messe selon les Visions de frère Kostka

Dieu le Père

Frère Kostka : « Le Père éternel se manifeste à mon regard intérieur, au moment de la consécration, sous forme d’image comme le « vénérable Vieillard ». Il étend Ses bras pour embrasser Son Fils avec amour. Il exauce et accomplit cette prière : « Père, entre Tes mains, je remets Mon esprit. »

Avec une émotion infinie, Il regarde Son Fils bien-aimé, Ses Plaies transfigurées et le sacrifice de réconciliation. Il est humainement impossible d’exprimer à quel point le Père éternel est ému et réjoui par le sacrifice de Son Fils. L’œil de Dieu, omniscient, seul, voit combien Son Fils a accompli Sa volonté dans les moindres détails, non dans la contrainte, mais dans l’amour le plus parfait et le plus libre, et Il l’a fait dans l’excès, toujours prêt à souffrir et à endurer encore davantage, si cela avait été possible. C’est comme si le Père céleste, tenant en Ses mains la Croix avec le Corps offert vidé de son sang, disait aux hommes : « Voyez à quel prix vous avez été rachetés ! Voyez combien Mon Fils M’a aimé ! Voyez combien Mon Fils vous aime, puisqu’Il s’est donné à la mort à votre place ! »

À cet instant, les saints anges reçoivent la Croix, et le Christ s’assoit à la droite de la puissance de Dieu, à la droite du Père. Celui-ci remet maintenant au Fils de Dieu, en Son humanité, la Croix mais désormais comme un signe de victoire, comme l’arme triomphale par laquelle la rédemption a été accomplie. Dès lors, toutes les victoires pour le salut ne se remporteront que par la Croix. Aussitôt, la honte attachée à la Croix disparaît.  La Croix devient symbole de la plus haute gloire et distinction. Le salut réside dans la Croix. La Croix est maintenant dressée sur l’autel. Comme symbole et lieu du sacrifice de l’amour divin, la Croix reçoit la première place. Le Christ Lui-même honore la Croix comme l’arme de combat par laquelle Il a vaincu la mort et le diable, car c’est sur le bois de la Croix qu’Il a pris sur Lui le péché et qu’Il l’a expié.  »

(Traduit de l’allemand : « Das heilige Messopfer – in Schauungen erlebt »).

Prions

Une dizaine du chapelet (1 Notre Père, 10 Je vous salue Marie, 1 Gloire au Père)

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les anges et tous les saints,

le corps, le sang, l’âme, la divinité, la sainte-face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les anges et de tous les saints,

de toutes les saintes messes et communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts, reposent en paix. Amen.

Le Saint Sacrifice de la Messe selon les Visions de frère Kostka

La très sainte Trinité pendant la Consécration

Dieu le Fils

Frère Kostka : « Le Cœur transpercé de Jésus illumine toute la création de son éclat surnaturel. Ses saintes Plaies brillent dans une transfiguration et dans des couleurs si merveilleuses que je suis tout à fait incapable de les décrire. Je ne trouve dans l’ordre naturel aucune palette de couleurs comparable à cette lumière. De même, Son très saint Visage resplendit d’un éclat, d’une tendresse et d’une douceur indicibles.

À cet instant, le Sauveur entre dans les cieux et Se présente pour nous devant la Face de Dieu. Le Christ restaure en nous l’image de Dieu et procure à Son Père bien-aimé une joie infinie, un honneur et une gloire immenses. Le Souverain Prêtre éternel est parvenu à la fin de son chemin terrestre. Son sacrifice est achevé, le monde est racheté. Ce sacrifice demeure valable pour l’éternité. Il agit en rétroaction jusqu’au commencement du monde et en anticipation jusqu’à la fin des temps. La sainte Messe est le sacrifice perpétuel, offert en tout lieu et à toute époque.

Dans Son amour suprême et Son esprit de sacrifice, le Christ est infiniment heureux et bienheureux. Il est entré une fois pour toutes dans le Sanctuaire comme Grand Prêtre, victime, Rédempteur, et intercesseur pour les hommes. Ses mérites sont inépuisables et illimités. Son rôle de médiateur durera jusqu’à la fin du monde. »

(Traduit de l’allemand : « Das heilige Messopfer – in Schauungen erlebt »).

Prions

Une dizaine du chapelet (1 Notre Père, 10 Je vous salue Marie, 1 Gloire au Père)

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les anges et tous les saints,

le corps, le sang, l’âme, la divinité, la sainte-face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les anges et de tous les saints,

de toutes les saintes messes et communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts, reposent en paix. Amen.

Le Saint Sacrifice de la Messe selon les Visions de frère Kostka

La Consécration du saint Sang

Frère Kostka : « Le Sauveur prononce, dans et par la bouche du prêtre, les paroles de consécration sur le calice. Par des paroles divines, le vin est transsubstantié en Sang de l’Homme-Dieu.

Contrairement au Corps de Jésus, je ne vois pas Son Sang comme mort ou vidé de vie, mais vivant. Je le vois rouge, mais d’un rouge lumineux, jaillissant dans de puissants flots de saint amour et rayonnant d’une lumière intense. Les ténèbres doivent fuir.

Le Sauveur élève à nouveau Lui-même Son Sang sacré et le présente à Son Père éternel comme expiation et prix du salut. »

« Le Christ est venu comme Grand Prêtre des biens à venir. Il est entré une fois pour toutes dans le sanctuaire, non pas avec le sang de boucs et de veaux, mais avec Son propre Sang, ayant obtenu une rédemption éternelle. Car si le sang de boucs et de taureaux et la cendre de la génisse sanctifient les souillés en les aspergeant, assurant ainsi une pureté extérieure, combien plus le Sang du Christ, qui s’est offert Lui-même sans tache à Dieu par l’Esprit éternel, purifiera-t-il notre conscience des œuvres mortes pour que nous servions le Dieu vivant ! » (He 9, 11-14)

(Traduit de l’allemand : « Das heilige Messopfer – in Schauungen erlebt »).

Prions

Une dizaine du chapelet (1 Notre Père, 10 Je vous salue Marie, 1 Gloire au Père)

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les anges et tous les saints,

le corps, le sang, l’âme, la divinité, la sainte-face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les anges et de tous les saints,

de toutes les saintes messes et communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts, reposent en paix. Amen.

Le Saint Sacrifice de la Messe selon les Visions de frère Kostka

La consécration de la sainte Hostie

Frère Koska : « Le Souverain Prêtre éternel prononce, par la bouche du prêtre, les paroles : “Ceci est mon Corps.” Il s’élève Lui-même, par les mains du célébrant, en direction de Son Père céleste.

Le Corps offert du Christ est sans sang et sans vie. Mais, bien que mort, Il est uni à la divinité. Au moment de la consécration, les saintes Plaies brillent. 

L’offrande du Christ fait partie intégrante de la consécration. Par elle, le ciel et la terre sont réconciliés. Je perçois à cet instant que le Sauveur s’offre à Son Père céleste pour les péchés de toute la journée en cours, et qu’Il désire ardemment pouvoir s’offrir pour le salut du monde. » « Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis. » (Jn 10, 11)

Selon le Concile de Trente, le Christ a institué le sacrifice de la Nouvelle Alliance pour actualiser ce sacrifice sanglant de la Croix, pour en maintenir le souvenir jusqu’à la fin des temps, et pour nous appliquer la force salvifique du pardon des péchés que nous commettons quotidiennement. (Denz. 938)

(Traduit de l’allemand : « Das heilige Messopfer – in Schauungen erlebt »).

Prions

Une dizaine du chapelet (1 Notre Père, 10 Je vous salue Marie, 1 Gloire au Père)

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les anges et tous les saints,

le corps, le sang, l’âme, la divinité, la sainte-face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les anges et de tous les saints,

de toutes les saintes messes et communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts, reposent en paix. Amen.