Le catholicisme au Japon

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Crucifiement des 26 martyrs du Japon en 1597

Méditons

Les premières activités missionnaires lancées par les jésuites, dont saint François-Xavier, débutent en 1549. Ils sont rejoints par les ordres mendiants espagnols. Pendant la trentaine d’années qui suit la mort de saint François-Xavier, le christianisme se développe dans la région de Kyushu, doucement mais sans heurts.

En 1587, le shogun Toyotomi Hideyoshi décide l’expulsion du pays des missionnaires car il ressent l’influence des jésuites, mais surtout des franciscains, comme une menace pour son pouvoir personnel. Toutefois, pour des raisons d’ordre économique son décret est peu appliqué.

Par la suite, une violente opposition s’élève. Le 5 février 1597, 26 catholiques sont crucifiés à Nagasaki, et en 1614, le shogun Tokugawa interdit le christianisme : les missionnaires sont expulsés.

En 1624, tous les Espagnols sont expulsés.

En 1637-1638 la rébellion chrétienne de Shimabara est réprimée par le massacre des insurgés et suivie de l’expulsion des Portugais du Japon. Le pays est fermé entre 1641 et 1853 : aucun étranger ne peut entrer ni aucun Japonais en sortir sous peine de mort.

Du milieu du XIXème siècle jusqu’au milieu du XXème, ce sont les missionnaires français des Missions étrangères de Paris qui prennent la relève et fondent plusieurs vicariats apostoliques dont Nagasaki. Le prêtre missionnaire Bernard Petitjean y construit la basilique des Vingt-six Martyrs du Japon en 1864.

Aujourd’hui, les catholiques sont au nombre de 450 000 sur près de 127 millions d’habitants, soit 0,36 % de la population totale, qui est à 71 % bouddhistes et à 15 % shintoïstes. Il existe également une petite minorité protestante.

La communauté catholique ne connaît pas de croissance. En 2017, sur l’ensemble des 16 diocèses du pays, un seul jeune homme est entré au grand séminaire japonais. Si l’ensemble de l’épiscopat est local depuis 1940, le poids du clergé étranger est encore important dans le pays. Sur environ 1 800 prêtres (religieux ou non), 519 sont des missionnaires étrangers.

Le sanctuaire de Notre-Dame d’Akita est devenu un centre important de pèlerinages catholiques, à la suite des événements qui s’y sont produits entre 1973 et 1975.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (Prière que Notre Dame de Fatima souhaite à la fin de chaque dizaine du chapelet).

O Jésus qui êtes réellement présent dans l’Eucharistie, je joins mon cœur à votre Cœur adorable, immolé en perpétuel sacrifice sur tous les autels du monde, louant le Père et implorant la venue de votre Règne, et je vous fais l’oblation totale de mon corps et de mon âme.

Daignez agréer cette humble offrande comme il vous plaira, pour la gloire de Dieu et le salut des âmes.

Sainte Mère du Ciel, ne permettez pas que je sois séparé de votre divin Fils, et gardez-moi toujours comme votre propriété. Amen. (Prière des Servantes de l’Eucharistie).

Saint Michel, archange, défendez-nous dans le com­bat, soyez notre secours contre la malice et les embuches du démon. Que Dieu lui fasse sentir son empire, nous vous le demandons en suppliant. Et vous, prince de la milice céleste, par la vertu divine, refoulez en enfer, Satan et les autres esprits mauvais qui sont répandus dans le monde pour la perte des âmes. Amen. (Léon XIII)

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen. 

Les apparitions d’Akita

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Notre Dame d’Akita, la statue qui a suinté de l’huile

Méditons

Il est de nombreux lieux de pèlerinage dont l’origine remonte à une apparition de la Vierge Marie. Sans qu’elle ne se positionne jamais officiellement sur l’origine de l’apparition, l’Eglise autorise néanmoins le culte catholique et la dévotion mariale sur ces lieux. C’est ainsi que nombre de basiliques ont été construites et continuent d’être aujourd’hui des sanctuaires très fréquentés où Notre Dame déverse ses grâces (la rue du Bac à Paris par exemple).

L’Eglise n’est cependant pas toujours restée silencieuse. Elle a authentifié 16 apparitions mariales dont la plupart sont récentes. Ainsi, peut-on nommer : Guadalupe (Mexique, 1531), Le Laus (France, 1664), Rome (à Alphonse Ratisbonne en 1842), La Salette (France, 1846), Lourdes (France, 1858), Pontmain (France, 1871), Fatima (Portugal, 1917), Knock (Irlande, 1879), Giertzwald (Pologne, 1877), Betania (Venezuela, 1976-1988), Champion (Wisconsin, Etats-Unis, 1859), Beauraing (Belgique, 1932), Banneux (Belgique, 1933), Amsterdam (Pays-Bas, 1945), Akita (Japon, 1973-1981) et enfin Kibeho (Rwanda, 1981).

Notre-Dame d’Akita est le vocable sous lequel est invoquée Marie, la Mère de Dieu, qui a délivré trois messages à une religieuse japonaise, sœur Agnès Sasagawa Katsuko les 6 juillet, 3 août et 13 octobre 1973 à Akita au Japon. A la suite de ces messages, une statue la représentant comme Notre Dame de tous les peuples, fut l’objet de 101 lacrymations inexpliquées entre le 4 janvier 1975 et le 15 septembre 1981.

Les apparitions d’Akita ont été reconnues comme authentiques et dignes de foi par l’évêque de Niigata, Monseigneur Itô à Pâques 1984 et approuvées par le cardinal Joseph Ratzinger, alors préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi en juin 1988.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (Prière que Notre Dame de Fatima souhaite à la fin de chaque dizaine du chapelet).

O Jésus qui êtes réellement présent dans l’Eucharistie, je joins mon cœur à votre Cœur adorable, immolé en perpétuel sacrifice sur tous les autels du monde, louant le Père et implorant la venue de votre Règne, et je vous fais l’oblation totale de mon corps et de mon âme.

Daignez agréer cette humble offrande comme il vous plaira, pour la gloire de Dieu et le salut des âmes.

Sainte Mère du Ciel, ne permettez pas que je sois séparé de votre divin Fils, et gardez-moi toujours comme votre propriété. Amen. (Prière des Servantes de l’Eucharistie).

Saint Michel, archange, défendez-nous dans le com­bat, soyez notre secours contre la malice et les embuches du démon. Que Dieu lui fasse sentir son empire, nous vous le demandons en suppliant. Et vous, prince de la milice céleste, par la vertu divine, refoulez en enfer, Satan et les autres esprits mauvais qui sont répandus dans le monde pour la perte des âmes. Amen. (Léon XIII)

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen. 

Lanciano

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Le reliquaire contenant les saintes espèces du miracle eucharistique de Lanciano

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Le plus connu des miracles Eucharistique est, sans doute, celui de Lanciano, petite ville, en Italie, à quelques kilomètres de la mer Adriatique. Ce miracle eût lieu au début du 8ème siècle.

Voici donc ce remarquable récit : « Un moine basilien, sage sur les choses du monde mais moins sur les choses de la foi, passait par un moment difficile dans sa perception de la réelle présence de Notre-Seigneur Jésus-Christ dans l’Eucharistie. Il priait constamment pour le soulagement de ses doutes ; celui-ci effectivement doutait et se trouvait consumé d’effroi de perdre un jour sa vocation. Son martyre était très pénible et il souffrait quotidiennement de la routine de son sacerdoce. La grâce Divine ne l’abandonna pas car Dieu le Père, dans sa miséricorde infinie, le sortit des ténèbres avec la même grâce accordée à l’apôtre saint Thomas.

Finalement un matin, pendant la célébration de la messe, sujet à une grande attaque de doutes, il commença la consécration devant les habitants d’un village voisin. Soudainement après la consécration du pain et du vin, ce qu’il vit sur l’autel le fit trembler des mains. Il resta interdit, le dos tourné aux fidèles, pendant un moment qui sembla aux paroissiens une éternité, puis, doucement il se tourna vers eux et leur dit : « O témoins heureux à qui le Dieu béni, pour contredire mon incrédulité, a voulu se révéler Lui-même dans ce béni sacrement et se rendre visible à nos yeux. Venez voir notre Dieu si près de nous. Voici la chair et le sang de Jésus-Christ, notre bien-aimé. »

En effet, l’hostie s’était transformée en chair et le vin en sang ! Les fidèles, ayant témoigné du miracle, commencèrent à pleurer, en demandant pardon et miséricorde. Certains se frappèrent la poitrine, en confessant leurs péchés et en se déclarant indignes de témoigner de ce miracle, d’autres encore s’agenouillèrent en respect et en remerciement pour le cadeau que Dieu leur avait offert. Ce jour même, la rumeur du miracle parcourut tout le village comme un feu embrase une forêt et, tout aussi vite, les villages voisins jusqu’au Saint-Siège même. »

Certes, le miracle de Lanciano était adressé au bon moine italien, au peuple du petit village et aux hommes de ce temps, mais aussi aux hommes de toutes les nations du monde et de toutes générations à venir, car ce qui est le plus remarquable, est la continuité même de ce miracle, un miracle qui demeura visible pour tous pendant une période de plus de 1300 ans, sans, toutefois, le moindre usage d’un quelconque produit de conservation ou substance chimique permettant à la chair et au sang de rester frais ; car la sainte Hostie, transformée en chair et le vin transformé en sang, sont demeurés, pendant plus de treize siècles, parfaitement intacts !

En 1970, 1971 et plus tard en 1981, une investigation scientifique fut encouragée par l’Eglise. L’illustre professeur et docteur Odoardo Linoli, professeur d’anatomie, d’histologie pathologique, de chimie et de microscopie clinique et médecin en chef de l’ensemble des hôpitaux d’Arezzo, commença une longue série d’analyses et de tests afin de déterminer l’exacte nature dudit miracle. Il fut assisté par le docteur Ruggero Bertelli, professeur émérite du département d’anatomie de l’université de Sienne. Les investigations furent toutes menées avec des procédures de haute gamme technologique dont les observations furent largement confirmées par une série de photographies prises au microscope. Les analyses, une fois terminées, permirent les conclusions suivantes :

– Le sang du miracle eucharistique est du vrai sang et la chair, de la vraie chair ;

– La chair est constituée de tissus du muscle cardiaque (la manière dont cette tranche de chair a été obtenue par dissection dans le myocarde suppose une habileté exceptionnelle de la part du « praticien ») ;

– Le type sanguin est le même dans la chair et dans les globules de sang, AB+ (Type sanguin identique à celui trouvé par le professeur Baima Bollone sur le Saint Suaire de Turin. Plusieurs minéraux ont été trouvés dans le sang : chlorites, phosphores, magnésium, potassium, sodium et calcium. Il fut trouvé des protéines dans les mêmes proportions normales qui sont trouvées dans les séro-protéiques de sang courant) ;

– Le diagramme de ce sang correspond à celui d’un sang humain qui aurait été prélevé sur un corps humain dans la même journée (le sang est réel ; il est composé de cinq caillots inégaux, mais chacun d’eux pèse exactement le poids des cinq caillots pris ensembles, soit 15,85 grammes) ;

– Aucune trace de matières ou d’agents de conservations ne fut détecté dans la chair ou le sang (la préservation de la chair et du sang, qui furent exposés dans leur état naturel pendant treize siècles et exposés à l’action d’agents atmosphériques et biologiques, constitue un extraordinaire phénomène, scientifiquement inexplicable ; les résultats d’analyse constituent une violation absolue des lois de la physique).

Le témoignage scientifique confirme ce que nous croyons par la foi et ce que l’Église catholique nous enseigne depuis 2000 ans, faisant ainsi écho aux paroles de Jésus-Christ : « En vérité je vous le dit, celui qui mange ma chair et boit mon sang, possède la vie éternelle et moi, je le ressusciterai au dernier jour. Celui qui mange ce pain vivra éternellement » (Jean 6, 53-59).

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (Prière que Notre Dame de Fatima souhaite à la fin de chaque dizaine du chapelet).

O Jésus qui êtes réellement présent dans l’Eucharistie, je joins mon cœur à votre Cœur adorable, immolé en perpétuel sacrifice sur tous les autels du monde, louant le Père et implorant la venue de votre Règne, et je vous fais l’oblation totale de mon corps et de mon âme.

Daignez agréer cette humble offrande comme il vous plaira, pour la gloire de Dieu et le salut des âmes.

Sainte Mère du Ciel, ne permettez pas que je sois séparé de votre divin Fils, et gardez-moi toujours comme votre propriété. Amen. (Prière des Servantes de l’Eucharistie).

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen. 

Le miracle eucharistique de Buenos Aires

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Méditons

En 1996, lorsque le pape François était évêque auxiliaire du Cardinal Quarracino à Buenos Aires, un miracle eucharistique notoire eut lieu. C’est le pape actuel qui demanda lui-même à ce qu’il soit photographié et qui examina ce fait. Les résultats sont stupéfiants.

Le 18 août 1996, à 19h, le père Alejandro Pezet célébrait la messe dans l’église qui se trouve dans le centre commercial de la ville. Alors qu’il finissait de donner la Sainte Communion, une femme vint lui dire qu’elle avait trouvé une hostie dont on s’était débarrassé au fond de l’église. En allant à l’endroit indiqué, le P. Alejandro vit l’hostie souillée. Comme il ne pouvait pas la consommer, il la plaça dans un petit récipient d’eau qu’il rangea dans le tabernacle de la chapelle du Saint Sacrement.

Le lundi 26 août, ouvrant le tabernacle, il vit à sa grande stupéfaction que l’Hostie était devenue une substance sanglante. Il en informa Mgr Jorge Bergoglio qui donna des instructions afin que l’Hostie soit photographiée de façon professionnelle. Les photos, prises le 6 septembre, montrent clairement que l’Hostie, qui était devenue un fragment de chair sanglante, avait beaucoup grossi en taille. Pendant plusieurs années l’Hostie demeura dans le tabernacle, toute l’affaire étant gardée secrète. Comme l’Hostie ne souffrait d’aucune décomposition visible, Mgr Bergoglio décida de la faire analyser scientifiquement.

Le 5 octobre 1999, en la présence des représentants de Mgr Bergoglio devenu archevêque, le Dr Castanon préleva un échantillon du fragment sanglant et l’envoya à New York pour analyse. Comme il ne voulait pas influencer les résultats de l’examen, il décida de cacher à l’équipe de scientifiques l’origine de l’échantillon. L’un de ces scientifiques était le réputé cardiologue et pathologiste médico-légal, le Dr Frederic Zugiba. Il détermina que la substance analysée était de la véritable chair et du vrai sang contenant de l’ADN humain. Il déclara que : « la matière analysée est un fragment du muscle du cœur qui se trouve dans la paroi du ventricule gauche, près des valves. Ce muscle est responsable de la contraction du cœur. On doit se rappeler que le ventricule gauche du cœur agit comme une pompe qui envoie le sang à travers tout le corps. Le muscle cardiaque est dans un état d’inflammation et contient un nombre important de globules blancs. Ceci indique que le cœur était vivant au moment où l’échantillon a été prélevé. J’affirme que le cœur était vivant étant donné que les globules blancs meurent en dehors d’un organisme vivant. Ils ont besoin d’un organisme vivant pour les maintenir. Donc, leur présence indique que le cœur était vivant quand l’échantillon a été prélevé. Par ailleurs, ces globules blancs avaient pénétré les tissus, ce qui indique d’autant plus que le cœur avait été soumis à un stress intense, comme si son propriétaire avait été battu sévèrement au niveau de la poitrine. »

Deux Australiens, le journaliste Mike Willesee et le juriste Ron Tesoriero, furent les témoins de ces tests. Connaissant l’origine de l’échantillon, ils étaient sidérés par la déclaration du Dr Zugiba. Mike Willesee demanda au scientifique combien de temps les globules blancs auraient pu rester vivants s’ils provenaient de tissus humains conservés dans de l’eau. Le Dr Zugiba lui répondit qu’ils auraient cessé d’exister au bout de quelques minutes. Le journaliste révéla alors au docteur que la substance d’où provenait l’échantillon avait d’abord été conservée dans de l’eau ordinaire pendant un mois et qu’ensuite, pendant trois ans, elle avait été conservée dans un récipient d’eau déminéralisée, et c’est seulement après ce temps qu’un échantillon avait été prélevé pour analyse. Le Dr Zugiba était très embarrassé pour prendre ce fait en considération. Il déclara qu’il n’y avait aucun moyen d’expliquer ce fait scientifiquement. Aussi le Dr Zugiba demanda-t-il : « Vous devez m’expliquer une chose : si cet échantillon provient d’une personne morte, alors comment se peut-il que pendant que je l’examinais, les cellules de l’échantillon étaient en mouvement et pulsaient ? Si ce cœur provient de quelqu’un qui est mort en 1996, comment peut-il être toujours en vie ? »

Alors seulement Mike Willesee révéla au Dr Zugiba que l’échantillon analysé provenait d’une Hostie consacrée (du pain blanc sans levain) qui s’était mystérieusement transformée en de la chair humaine sanglante. Ahuri par cette information, le Dr Zugiba répondit : « Comment et pourquoi une Hostie consacrée peut changer son caractère et devenir de la chair et du sang humains vivants, cela restera un inexplicable mystère pour la science – un mystère totalement au-delà de sa compétence. »

Ensuite le Dr Ricardo Castanon Gomez prit des dispositions pour que les rapports du laboratoire établis à la suite du miracle de Buenos Aires soient comparés à ceux élaborés après la miracle de Lanciano, encore une fois sans révéler l’origine des échantillons de test. Les experts qui procédèrent à cette comparaison conclurent que les deux rapports des laboratoires avaient analysé des échantillons de tests provenant de la même personne. Ils signalèrent encore que les deux échantillons révélaient un sang de type « AB » positif. Ce sang porte les caractéristiques d’un homme qui est né et qui a vécu au Moyen Orient.

Seule la foi dans l’extraordinaire action de Dieu donne la réponse raisonnable ! Dieu veut que nous soyons conscients qu’Il est vraiment présent dans le mystère de l’Eucharistie. Le miracle eucharistique de Buenos Aires est un signe extraordinaire attesté par la science. A travers lui Jésus désire réveiller en nous une foi vivante en Sa Présence Réelle dans l’Eucharistie, réelle et non pas symbolique. C’est seulement avec les yeux de la foi et non pas avec nos yeux humains, que nous Le voyons sous l’apparence du pain et du vin consacrés. Dans l’Eucharistie Jésus nous voit et nous aime et désire nous sauver.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (Prière que Notre Dame de Fatima souhaite à la fin de chaque dizaine du chapelet).

O Jésus qui êtes réellement présent dans l’Eucharistie, je joins mon cœur à votre Cœur adorable, immolé en perpétuel sacrifice sur tous les autels du monde, louant le Père et implorant la venue de votre Règne, et je vous fais l’oblation totale de mon corps et de mon âme.

Daignez agréer cette humble offrande comme il vous plaira, pour la gloire de Dieu et le salut des âmes.

Sainte Mère du Ciel, ne permettez pas que je sois séparé de votre divin Fils, et gardez-moi toujours comme votre propriété. Amen. (Prière des Servantes de l’Eucharistie).

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

Les miracles eucharistiques

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Miracle eucharistique de Bolsena (Orvieto) en 1263 (marbre qui a conservé la marque laissée par le Précieux Sang miraculeux).

Méditons

Ces miracles consistent en différentes choses, principalement :

  • Lévitation de l’hostie (Faverney, 1608, pendant plusieurs heures ; Lourdes, 1999) ;
  • L’apparition d’une image sur l’hostie : visage du Christ… (Douai, 1254 ; Chirattakonam en Inde, 2001) ;
  • L’hostie se change en chair ou bien saigne abondamment (Lanciano vers 750 ; Trani dans les Pouilles, en Italie, vers l’an 1000 ; Bolsena en Italie en 1263 ; O Cebreiro en Espagne en 1300 ; Cascia en Italie en 1330 ; Betania en 1991 ; Buenos Aires en 1996).

Là où les analyses de sang ont été faites, elles confirment qu’il s’agit toujours de sang du groupe AB (c’est aussi le groupe sanguin que l’on retrouve sur le Suaire de Turin !). Ce fait mérite d’être noté, car c’est un argument en faveur de l’authenticité : ces reliques sont dûment répertoriées depuis des siècles, bien avant qu’on ait connu ou même pu imaginer les analyses de groupes sanguins. Les analyses ont été faites en ordre dispersé, sans que les scientifiques de ces divers pays ne se soient concertés !

Le miracle eucharistique de Lanciano est extraordinaire. C’est le plus ancien, il remonte au VIIIème siècle et a vu les espèces sacrées se transformer en chair et en sang. Un miracle face auquel la science moderne également s’est inclinée. L’analyse de l’hostie transformée en chair a révélé qu’il s’agit de tissu du myocarde. Le miracle de Sienne est également impressionnant. Les hosties consacrées faites d’une farine de froment ordinaire, volées et puis retrouvées en août de l’année 1730, ne se sont pas détériorées avec le temps. Seules celles qui étaient consacrées sont restées intactes, alors que celles qui ne l’étaient pas se sont abîmées avec le temps. La science moderne a cherché de toutes les manières à expliquer ce phénomène, mais elle a dû admettre qu’il s’agissait d’un miracle. Pour nous croyants, il s’agit d’une présence réelle permanente, dont témoignent ces hosties conservées intactes depuis trois cents ans.

Les miracles eucharistiques obligent à réfléchir avec sérieux sur la présence réelle de Jésus dans l’Eucharistie. Le pain consacré est vraiment le Corps de Jésus ! Le vin consacré est vraiment le Sang du Seigneur !

Que Marie, Notre-Dame de l’Eucharistie, avive et soutienne en nous la foi en la présence réelle et aimante de Jésus dans l’Eucharistie.

Prions

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O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (Prière que Notre Dame de Fatima souhaite à la fin de chaque dizaine du chapelet).

O Jésus qui êtes réellement présent dans l’Eucharistie, je joins mon cœur à votre Cœur adorable, immolé en perpétuel sacrifice sur tous les autels du monde, louant le Père et implorant la venue de votre Règne, et je vous fais l’oblation totale de mon corps et de mon âme.

Daignez agréer cette humble offrande comme il vous plaira, pour la gloire de Dieu et le salut des âmes.

Sainte Mère du Ciel, ne permettez pas que je sois séparé de votre divin Fils, et gardez-moi toujours comme votre propriété. Amen. (Prière des Servantes de l’Eucharistie).

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen. 

Le Couronnement de Marie

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Méditons

Le Roi des rois couronne sa Mère Immaculée. La Mère du Sauveur participe au triomphe de son Fils, vrai Homme et vrai Dieu. La voilà, avec Lui, Reine des reines, dans une gloire sans fin.

C’est Elle qui nous a donné Jésus. C’est elle qui Lui a donné son corps et son sang, que nous recevons dans la communion. L’Eglise, dans sa liturgie eucharistique, ne cesse de louer le Sauveur né de la Vierge Marie : « Salut, vrai corps, né de la Vierge Marie » (Ave verum), « Chante, ô ma langue, le mystère du glorieux corps et du sang précieux que répandit pour le rachat du monde le Roi des nations, fruit de nobles entrailles… Il nous a été donné, Il nous est né de la Vierge sans souillure » (Pange lingua). Le bienheureux pape Pie XI l’a rappelé par les mots : « Le Corps du Christ qui nous sert de nourriture est ce même corps que la Vierge a mis au monde. »

C’est donc par la communion que nous atteignons l’union la plus intime avec notre Reine, notre Mère, puisque le Sang du Sauveur, qui est aussi le sien, vient purifier et fortifier nos âmes. Pour sa plus grande joie et la plus grande gloire de Dieu, nous pouvons donc lui répéter sans cesse : « Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. » 

Marie, Notre Dame de l’Eucharistie, apprenez-nous à nous nourrir du pain du ciel que vous avez donné au monde, afin de participer un jour avec vous au « festin des noces de l’Agneau » (Apocalypse 19, 9).

Prions

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O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (Prière que Notre Dame de Fatima souhaite à la fin de chaque dizaine du chapelet).

O Jésus qui êtes réellement présent dans l’Eucharistie, je joins mon cœur à votre Cœur adorable, immolé en perpétuel sacrifice sur tous les autels du monde, louant le Père et implorant la venue de votre Règne, et je vous fais l’oblation totale de mon corps et de mon âme.

Daignez agréer cette humble offrande comme il vous plaira, pour la gloire de Dieu et le salut des âmes.

Sainte Mère du Ciel, ne permettez pas que je sois séparé de votre divin Fils, et gardez-moi toujours comme votre propriété. Amen. (Prière des Servantes de l’Eucharistie).

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen. 

L’Assomption

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Méditons souvent le mystère de l’Incarnation, de Dieu qui se fait homme, d’une créature qui devient Mère de son Dieu. Marie conçoit, porte pendant neuf mois et met au monde Jésus le Sauveur !

Pensons souvent aux communions de Marie… Elle reçoit, dans l’intime de son Cœur Immaculé, son Fils caché sous les voiles de l’Hostie. Qui saura décrire les véhéments désirs avec lesquels Marie s’est avancée vers le prêtre (saint Pierre ou l’un des apôtres !) pour recevoir la communion ? Qui pourra décrire les colloques ardents du Sauveur et de sa Mère, l’adoration profonde de la Vierge des vierges pour Celui qui est tout autant son Sauveur que son Fils ? Jamais aucune âme n’a autant désiré, autant aimé, autant honoré la sainte Eucharistie. Jamais Jésus ne fut reçu par un cœur plus pur, plus brûlant d’amour. Méditons surtout la dernière communion de Marie, le dernier embrassement intime, sur terre, de la Mère et du Fils, avant son Assomption…

Marie, Notre Dame de l’Eucharistie, apprenez-nous à recevoir Jésus-Hostie comme vous. Obtenez-nous la grâce d’une communion en viatique pleine d’amour avant d’aller vous rejoindre dans la bienheureuse éternité.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (Prière que Notre Dame de Fatima souhaite à la fin de chaque dizaine du chapelet).

O Jésus qui êtes réellement présent dans l’Eucharistie, je joins mon cœur à votre Cœur adorable, immolé en perpétuel sacrifice sur tous les autels du monde, louant le Père et implorant la venue de votre Règne, et je vous fais l’oblation totale de mon corps et de mon âme.

Daignez agréer cette humble offrande comme il vous plaira, pour la gloire de Dieu et le salut des âmes.

Sainte Mère du Ciel, ne permettez pas que je sois séparé de votre divin Fils, et gardez-moi toujours comme votre propriété. Amen. (Prière des Servantes de l’Eucharistie).

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen. 

La Pentecôte

Contemplons

Méditons

Le Saint-Esprit est la lumière divine, le Paraclet, le Consolateur, le Sanctificateur des âmes. C’est Lui qui a pour mission de nous instruire. Jésus nous l’a dit : « Quand le consolateur sera venu, l’Esprit de vérité, il vous conduira dans toute la vérité ; car il ne parlera pas de lui-même, mais il dira tout ce qu’il aura entendu, et il vous annoncera les choses à venir » (Jean 16, 13).

Invoquons souvent le Saint-Esprit pour approfondir toujours plus le grand « mystère de la foi », qu’est l’Eucharistie. Que « la divine flamme » grave dans nos cœurs les paroles du Sauveur : « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés et je vous donnerai du repos » (Matthieu 11, 28), « En vérité, en vérité, je vous le dis, si vous ne mangez la chair du Fils de l’homme, et si vous ne buvez son sang, vous n’avez point la vie en vous-mêmes » (Jean 6, 53). Dans leur marche vers la terre promise, les Hébreux murmurèrent contre Dieu et contre Moïse. Ils allèrent jusqu’à se plaindre de la manne, nourriture céleste qui annonçait, qui préfigurait l’Eucharistie. « Notre âme, disaient-ils, est dégoûtée de cette misérable nourriture » (Nombre 21, 5). Allons-nous, nous aussi, délaisser l’Eucharistie ? Que le Saint-Esprit nous rende toujours présent l’avertissement du Sauveur : « Au désert, vos pères ont mangé la manne, et ils sont morts ; mais le pain qui descend du ciel est tel que celui qui en mange ne mourra pas. Moi, je suis le pain vivant, qui est descendu du ciel : si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éternellement. Le pain que je donnerai, c’est ma chair, donnée pour la vie du monde » (Jean 6, 49-51).

Marie, épouse mystique du Saint-Esprit, Notre Dame de l’Eucharistie, obtenez–nous une assistance spéciale de l’Esprit d’amour de manière à ne jamais délaisser le Pain qui donne vie.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (Prière que Notre Dame de Fatima souhaite à la fin de chaque dizaine du chapelet).

O Jésus qui êtes réellement présent dans l’Eucharistie, je joins mon cœur à votre Cœur adorable, immolé en perpétuel sacrifice sur tous les autels du monde, louant le Père et implorant la venue de votre Règne, et je vous fais l’oblation totale de mon corps et de mon âme.

Daignez agréer cette humble offrande comme il vous plaira, pour la gloire de Dieu et le salut des âmes.

Sainte Mère du Ciel, ne permettez pas que je sois séparé de votre divin Fils, et gardez-moi toujours comme votre propriété. Amen. (Prière des Servantes de l’Eucharistie).

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen. 

L’Ascension

Contemplons

Méditons

Notre Sauveur est glorifié. Le chef de l’Eglise, le « prince des rois de la terre » (Apocalypse 1, 15) monte au ciel, « d’où il viendra juger les vivants et les morts » (Credo) les vivants, ceux qui auront la vie divine en eux, les morts, ceux qui, hélas ! seront dans « la mort du péché. » 

A l’heure du terrible jugement, serons-nous de ceux qui entendront les si douces paroles : « Venez, les bénis de mon Père, posséder le royaume qui vous a été préparé dès le commencement du monde… » (Matthieu 25, 35) ? Elles s’adresseront à ceux qui auront exercé la miséricorde, mais aussi à tous ceux qui auront écouté le Sauveur, « le Fils bien-aimé en qui le Père a mis toutes ses complaisances » (Mat 3, 17), à tous ceux qui auront su s’approcher avec foi et amour de l’Eucharistie. Jésus nous l’a précisé : « Tous ceux que le Père me donne, viennent à moi et celui qui vient à moi, je ne le jetterai pas dehors » (Jean 4, 37).

Marie, Notre Dame du Très-Saint-Sacrement, apprenez-nous à nous approcher de l’Eucharistie avec amour, avec une exultation toute frémissante de joie, car dans l’Hostie nous trouverons toujours le Cœur de Jésus tout vibrant d’amour pour nous.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (Prière que Notre Dame de Fatima souhaite à la fin de chaque dizaine du chapelet).

O Jésus qui êtes réellement présent dans l’Eucharistie, je joins mon cœur à votre Cœur adorable, immolé en perpétuel sacrifice sur tous les autels du monde, louant le Père et implorant la venue de votre Règne, et je vous fais l’oblation totale de mon corps et de mon âme.

Daignez agréer cette humble offrande comme il vous plaira, pour la gloire de Dieu et le salut des âmes.

Sainte Mère du Ciel, ne permettez pas que je sois séparé de votre divin Fils, et gardez-moi toujours comme votre propriété. Amen. (Prière des Servantes de l’Eucharistie).

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen. 

La Résurrection

Contemplons

Méditons

Jésus sort vivant du tombeau ; son corps glorieux, uni à la deuxième personne de la Sainte Trinité vivra désormais dans un bonheur sans fin.

Jésus est « la tête du corps de l’Eglise » (Col 1). Il est « le premier-né d’entre les morts » (Col 1). Comme Lui, un jour, nous ressusciterons. Nous participerons à sa gloire, à son bonheur, à sa vie divine que nous aura transfusé la sainte Eucharistie. Il nous l’a dit : « Celui qui mange ma chair et boit mon Sang a la vie éternelle et Moi je le ressusciterai au dernier jour » (Jean 6, 55). Cette vie glorieuse, sans fin, est le but de la Création, c’est la destinée de tout homme, c’est pour elle que Dieu nous a tirés du néant.

Marie, Notre Dame du Très-Saint-Sacrement, apprenez-nous à aimer, à honorer, à recevoir bien, et souvent, Jésus réellement présent dans l’Eucharistie, source de notre vie divine et gage de notre bonheur éternel.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (Prière que Notre Dame de Fatima souhaite à la fin de chaque dizaine du chapelet).

O Jésus qui êtes réellement présent dans l’Eucharistie, je joins mon cœur à votre Cœur adorable, immolé en perpétuel sacrifice sur tous les autels du monde, louant le Père et implorant la venue de votre Règne, et je vous fais l’oblation totale de mon corps et de mon âme.

Daignez agréer cette humble offrande comme il vous plaira, pour la gloire de Dieu et le salut des âmes.

Sainte Mère du Ciel, ne permettez pas que je sois séparé de votre divin Fils, et gardez-moi toujours comme votre propriété. Amen. (Prière des Servantes de l’Eucharistie).

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.