Jésus est dépouillé de sa tunique. Elle lui est arrachée avec violence. La foule découvre un corps mutilé par les nombreuses plaies de la flagellation.
Jésus regarde vers le Ciel d’où vient tout secours. Il semble vouloir nous dire que, dans la souffrance, il faut se rapprocher de Dieu plutôt que des hommes, qu’il ne faut s’attacher qu’à lui car la mort viendra nous dépouiller de tout le reste, qu’il ne faut rien attendre du monde car il est en son seul pouvoir de nous conquérir le salut.
En le voyant dépouillé de sa tunique, Jésus nous montre à quoi ressemblent nos âmes quand elles ne sont pas irriguées par la grâce, quand elles sont couvertes des plaies de nos péchés non absous : un chef d’œuvre de torture…
Père éternel, par le Cœur Immaculé de Marie, nous vous offrons Jésus, votre très cher Fils, alors qu’il est dépouillé de ses vêtements, et dans ses saintes plaies, nous nous offrons nous-mêmes avec Lui, en Lui et par Lui, à toutes ses intentions et au nom de tous hommes jusqu’à la fin du monde. Amen.
Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.