LES MIRACLES EUCHARISTIQUES : NEUVY-SAINT-SÉPULCRE ( France)

Dans l’église de Neuvy-Saint-Sépulcre, dans l’Indre, sont conservées deux gouttes de Sang de Notre Seigneur Jésus Christ recueillies sur le Calvaire pendant la Passion. Elles furent amenées en France en 1257 par le Cardinal Eudes de retour de Terre Sainte.

Cette relique, constituée de Sang coagulé et pur, car il n’est pas mélangé avec de l’eau ou de la terre, est conservée dans cette église édifiée dans la première moitié de l’an mille sur le modèle du Saint-Sépulcre à Jérusalem. Pour honorer la Sainte Relique de nombreuses indulgences furent accordées.

En 1621, l’Archevêque de Bruges, André Frémiot, pour en favoriser le culte, fonda la Confraternité du Précieux Sang et deux ans plus tard le pape Grégoire XV accorda de nouvelles indulgences aux dévots du Saint Sang.

Tous les lundis de Pâques et le 1er juillet de chaque année des messes sont célébrées pour honorer et adorer la sainte relique, ainsi que des processions solennelles. De nombreuses grâces ont été obtenues en invoquant le Précieux Sang de Neuvy-Saint-Sépulcre.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…).

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur très chaste de Joseph, le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les Anges et tous les Saints,

le Corps, le Sang, l’Âme, la Divinité, la Sainte Face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les Anges et de tous les Saints,

de toutes les saintes Messes et Communions passées, présentes, futures,

les saints Rosaires et autres prières,

et dans les Plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

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LES MIRACLES EUCHARISTIQUES : TURIN (Italie)

Dans la Haute Vallée de Suse, près d’Exilles, les troupes de René d’Anjou affrontèrent les milices du duc Louis de Savoie. Les soldats pillèrent le pays. L’un d’eux força la porte du tabernacle de l’église et s’empara de l’ostensoir contenant l’Hostie consacrée. Il l’enveloppa dans un sac et, à dos de mulet, se rendit à Turin.

Sur la grande place, là où par la suite fut construite l’église du Corpus Domini, le mulet trébucha et tomba. Le sac s’ouvrit et, à la stupéfaction de la population. l’ostensoir s’éleva dans les airs jusqu’au-dessus des maisons avoisinantes.

Parmi les personnes présentes se trouvait le Père Bartolomeo Coccolo qui courut informer l’Évêque. Ce-dernier, accompagné du peuple et du clergé, se rendit sur les lieux et prosterné en adoration, pria avec les paroles du disciple d’Emmaüs : « Reste avec nous, Seigneur. »

L’ostensoir tomba à terre tandis que l’Hostie restait en l’air rayonnante comme le soleil.

L’Évêque qui tenait en main un calice, le leva et lentement l’Hostie consacrée se mit à redescendre, en se posant dans le calice.

La dévotion envers le miracle eucharistique de 1453 fut aussitôt adoptée par la ville qui promut d’abord la construction d’une chapelle sur l’emplacement du prodige, bien vite remplacée par l’église dédiée au Corpus Domini.

Elle organisa des fêtes à l’occasion des centenaires et des cinquantenaires (de 1653, 1703, 1753, 1853 et – en partie – 1803).

Beaucoup de documents décrivent le miracle : les plus anciens sont les trois actes capitulaires de 1454, 1455, et 1456 et quelques textes contemporains de la commune de Turin.

En 1853 le pape Pie IX célébra solennellement le quatrième centenaire du miracle. À cette cérémonie participèrent saint Jean Bosco et Don Rua. Le pape Pie IX approuva l’Office et la Messe propre des miracles pour l’archidiocèse de Turin.

En 1928, Pie IX éleva l’église du Corpus Domini à la dignité de basilique mineure. L’Hostie du miracle fut conservée jusqu’au XVIème siècle, jusque à ce que le Saint Siège ordonna de la consommer « pour ne pas obliger Dieu à faire un miracle éternel en gardant pour toujours incorrompues ces espèces eucharistiques. »

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…).

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur très chaste de Joseph, le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les Anges et tous les Saints,

le Corps, le Sang, l’Âme, la Divinité, la Sainte Face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

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LES MIRACLES EUCHARISTIQUES : ETTISWIL (Suisse)

Le document le plus important qui décrit le miracle est le rapport judiciaire constitué le 16 juillet 1447 par Hermann von Rüsseg, seigneur de Büron, dans lequel on peut lire : « Mercredi 23 mai 1447, le Saint-Sacrement fut volé dans l’église paroissiale de Ettiswil. Peu de temps après, il fut retrouvé par une jeune gardienne de porcs, Marguerite Schulmeister, non loin de l’église, près d’une haie, jeté par terre au milieu des orties ; on eût dit une splendide fleur. » Après de minutieuses recherches, la police arrêta la jeune Anna Vögtli de Bischoffingen, qui spontanément avoua le méfait. « Après avoir enfilé ma main à travers l’étroite grille en fer, je pris la grande hostie, mais aussitôt le Saint-Sacrement devint si lourd que je fus incapable de le porter. Ne pouvant plus bouger, je me défis de l’hostie et la jetai près d’une haie dans les orties. »

L’hostie fut découverte par Marguerite Schulmeister, gardienne d’un élevage de porcs. Elle raconta qu’une fois arrivée avec les porcs à proximité du lieu où avait été jeté le Saint-Sacrement, ses animaux ne voulurent plus avancer. Elle demanda alors de l’aide à deux hommes qui passaient à cheval. Ils virent dans l’herbe l’hostie volée, divisée en sept parties. Six d’entre elles formaient une fleur semblable à une rose et une grande lumière les entouraient.

Le curé aussitôt informé, se rendit sur les lieux pour prendre l’hostie et la rapporter à l’église, suivi de ses paroissiens. Il recueillit les six parties, mais quand il voulut prendre celle du milieu, celle-ci s’enfonça dans la terre à la vue de tous. Cette disparition fut interprétée comme un signe et on décida de construire une chapelle à l’endroit où la partie de l’hostie avait disparu. Les six parties furent conservées dans l’église de Ettiswil et devinrent l’objet d’une grande vénération des habitants du village et des étrangers.

Dieu accomplit de nombreuses guérisons. La chapelle et l’autel furent consacrés le 28 décembre 1448, soit un an et demi après ces événements.

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LES MIRACLES EUCHARISTIQUES : AVIGNON (France)

Le miracle eucharistique d’Avignon s’est produit dans la chapelle de la Sainte Croix, siège de la Confraternité dite « Pénitents Gris » dont la fondation remonte au temps du roi Louis VIII qui, pour célébrer la victoire sur les Albigeois qui niaient la présence réelle de Jésus dans l’Eucharistie, avait proclamé un acte solennel de réparation pour le 14 septembre 1226, fête de l’exaltation de la Sainte Croix.

Dans le document officiel, qui est conservé dans la chapelle des « Pénitents Gris », on lit que le 30 novembre 1433, au moment où le Saint Sacrement était exposé dans la petite chapelle à l’adoration des fidèles, la ville d’Avignon fut ravagée par une terrible inondation due au débordement du Rhône provoqué par les abondantes pluies des jours précédents.

Dans la confusion générale, Armand et Jehan de Pouzilhac-Farure, chefs de la confraternité, eurent beaucoup de mal avec leur barque à rejoindre la chapelle et sauver l’ostensoir contenant le Saint Sacrement. À peine arrivés, du haut des grilles de la porte, ils regardèrent l’autel pour voir ce qui était arrivé à l’ostensoir. Ils virent que les eaux étaient montées dans l’église de presque six pieds, se divisant à droite et à gauche comme deux murs autour de l’autel avec l’ostensoir qui était sec et protégé.

La nouvelle du miracle se répandit rapidement et tout le peuple et les autorités accoururent sur place en chantant des cantiques de louange et de remerciements au Seigneur.

Plusieurs centaines de personnes furent témoins de ce miracle. Par la suite la Confraternité des « Pénitents Gris » décida que l’anniversaire du miracle sera célébré chaque année dans la chapelle le jour de saint André Apôtre. Aujourd’hui encore les frères se réunissent le 30 novembre pour commémorer le miracle.

Avant la bénédiction du Saint Sacrement ils chantent « Cantemus Domino », le cantique que Moïse composa après le passage de la mer Rouge : « Je veux chanter en l’honneur du Seigneur qui admirablement a triomphé… au souffle de ta colère les eaux s’accumulèrent et les vagues se levèrent comme une digue… Qui est comme toi, majestueux dans sa sainteté, terrible dans ses œuvres, opérateur de prodiges ? Tu conduisis grâce à ta complaisance ce peuple que tu as racheté » (Exode 15, 1-18).

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LES MIRACLES EUCHARISTIQUES : DIJON (France)

En 1430 à Monaco, une dame acheta chez un brocanteur un ostensoir probablement volé, car il contenait encore la grande hostie pour l’adoration. La personne qui ignorait la présence réelle du Christ dans l’Eucharistie décida d’enlever l’hostie de l’ostensoir avec un couteau. Subitement l’hostie commença à suinter du sang frais qui sécha aussitôt en imprimant une image du Seigneur assis sur un trône en demi-cercle avec de chaque côté des instruments représentant la Passion du Christ. La femme bouleversée alla chez le chanoine Anelon qui garda l’hostie.

L’épisode fut bien vite connu aussi par le pape Eugène IV qui voulut donner l’hostie miraculeuse au duc Philippe de Bourgogne qui à son tour la donna à la ville de Dijon.

Nous savons avec certitude qu’en 1794 l’hostie miraculeuse se trouvait encore dans la basilique de Saint Michel Archange mais le 9 février de la même année, la commune de Dijon réquisitionna l’église pour en faire le temple de la nouvelle secte « La Raison » et l’hostie miraculeuse fut brûlée.

De nombreux documents et œuvres d’art illustrent le miracle comme un des vitraux de la cathédrale de Dijon où figure la scène principale du prodige.

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LES MIRACLES EUCHARISTIQUES : GUADELOUPE (Espagne)

Aujourd’hui encore, l’on peut admirer dans le Sanctuaire de Guadeloupe, région de Tolède, les précieuses reliques du corporal et de la pale ensanglantée (la pale est le petit carré en lin, amidonné, qui sert à couvrir le calice et la patène) qui avaient servi pendant la messe du vénérable Don Pedro Cabanuelas. On l’avait toujours remarqué pour sa profonde dévotion à l’Eucharistie. Il passait des heures en adoration devant le Saint Sacrement, de jour comme de nuit. Malgré cela le Seigneur permit que la foi du Père Cabanuelas au sujet de la réalité de la transsubstantiation soit mise à dure épreuve.

En automne de l’année 1420, pendant la Messe, après avoir dit les paroles de la Consécration, Don Pedro vit descendre un nuage épais qui se posa sur l’autel. On ne voyait plus rien. Alors le prêtre supplia le Seigneur de dissiper ses doutes. Lentement le nuage s’éclaircit et la vision apparut : l’Hostie était soulevée au-dessus du Calice et d’elle tombaient de grosses gouttes de Sang qui remplirent le calice et le firent déborder sur le corporal et la pale. Au même moment le prêtre entendit une voix qui disait : « Termine la Sainte Messe et ne dis à personne ce que tu as vu. »

Par la suite le Miracle fut divulgué par les frères mêmes de Don Pedro et la nouvelle se répandit dans toute l’Espagne au point d’arriver au Roi de Castille Don Juan II et à la Reine Marie d’Aragon.

Ils eurent une telle dévotion pour le Miracle qu’ils demandèrent d’être enterrés près du corps du vénérable Père Pedro Cabanuelas.

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LES MIRACLES EUCHARISTIQUES : ERDING (Allemagne)

Un pauvre paysan d’Erding ne réussissait pas à améliorer sa condition économique malgré son ardeur au travail. Son voisin, par contre, qui faisait le même travail, avait une vie très aisée.

Un jour le paysan demanda à son voisin comment il faisait pour gagner autant d’argent et l’homme lui confessa que son succès était dû au fait qu’il conservait chez lui le Saint Sacrement.

Le pauvre paysan, ignorant des choses de la foi, pensa que le Saint Sacrement était une sorte d’amulette et décida donc d’imiter son voisin. Il se rendit à la Messe le Jeudi Saint, et après avoir communié, cacha l’Hostie dans un linge et sortit de l’église.

Presque aussitôt il se repentit et décida de rapporter la particule. Pendant le chemin du retour, l’Hostie lui glissa des mains et vola en l’air. Il la chercha partout, mais ne la retrouva plus.

Pris de panique, il courut aussitôt avertir le curé qui se rendit immédiatement sur le lieu où avait disparu l’hostie.

À peine arrivé, le prêtre vit que la particule était posée sur une motte de terre et irradiait une grande lumière.

Il s’approcha pour la saisir, mais elle vola en l’air en disparaissant.

Le prêtre avertit alors l’Évêque qui voulut aller en personne sur le lieu du miracle. Et à nouveau la Particule s’envola.

L’Évêque et les habitants décidèrent alors de construire une chapelle en l’honneur du miracle eucharistique. La foule des pèlerins était telle qu’en 1615 les autorités locales firent construire un sanctuaire plus grand en style baroque.

Le 19 septembre 1677, l’Évêque Kaspar Künner de Freising bénit la nouvelle église qui fut dédiée au Saint Sang.

On apporta dans le sanctuaire différentes Reliques, dont le Saint Sang du Christ.

Depuis 1992, ce sanctuaire est dirigé par les moines de Saint-Paul du Désert.

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LES MIRACLES EUCHARISTIQUES : BAGNO DI ROMAGNA (Italie)

On conserve à Bagno di Romagna dans l’église de l’Assomption, la relique du miracle eucharistique du « Linge sacré taché de Sang. »

L’historien Fortunio dans son œuvre Annales Camaldules décrit ainsi le Miracle : « C’était en l’année 1412. L’abbaye camaldule de Sainte Marie en Bagno (alors prieuré) était dirigée par le Père Lazzaro, d’origine vénitienne. Un jour, pendant qu’il célébrait le Sacrifice Divin, son esprit fut diaboliquement occupé par un fort doute sur la présence réelle de Jésus dans le Saint Sacrement. Soudain il vit les Sacrées Espèces du vin bouillonner, déborder du calice et se répandre sur le corporal sous la forme de sang frais. Si bien que le corporal en fut imbibé. Inutile de dire l’émotion du prêtre, et combien son esprit fut perturbé par cet événement extraordinaire.  En larmes, il s’adressa aux personnes présentes en leur confessant son manque de foi et le miracle qui venait de s’accomplir sous ses yeux ».

Le Père Lazzaro fut ensuite transféré à Bologne comme aumônier du monastère féminin camaldule de Sainte Christine où il mourut en 1416. Les Camaldules gouvernèrent l’abbaye de Bagno jusqu’à sa disparition en 1808 au temps de Napoléon. Depuis lors la Paroisse – Basilique de l’Assomption – est dirigée par le diocèse de Saint Sepolcro. Depuis 1975, elle fait partie du diocèse de Cesena.

En 1912 le Cardinal Giulio Boschi, Archevêque de Ferrara, célébra le cinquième centenaire du miracle qui fut suivi par un congrès sur les études eucharistiques.

En 1958, Son Excellence Domenico Bornigia fit effectuer une analyse chimique sur les taches du corporal. Elles étaient bien de nature hématique. Dans la basilique on trouva une gravure sur bois de l’an 1400 appelée « La Madone du Sang », œuvre colorée et très rare que l’on peut voir dans la troisième chapelle à gauche. Cette image est appelée ainsi car l’Abbé de Bagno, Père Benoit Tenaci, fut témoin oculaire du Prodige : le 20 mai 1498 le bras gauche de la Vierge de l’icône se mit à saigner. Chaque année pendant la Fête Dieu, le corporal est porté en procession dans les rues de la ville et tous les dimanches de la saison thermale, de mars à novembre.

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LES MIRACLES EUCHARISTIQUES : LUDBREG (Croatie)

En 1411, à Ludberg, dans la chapelle du château des comtes Batthyany, un prêtre célébra la Messe. Pendant la consécration du vin, le prêtre douta de la vérité de la transsubstantiation et le vin dans le calice se transforma en sang. Le prêtre ne sachant que faire décida de murer cette relique derrière le maître-autel. L’ouvrier qui exécuta le travail fut obligé de garder le silence. Le prêtre aussi respecta le secret qu’il révéla seulement en mourant. Après la confession du Père, la nouvelle se répandit rapidement et les gens commencèrent à venir en pèlerinage à Ludbreg. Par la suite le Saint Siège fit amener à Rome la relique du Miracle où elle resta pendant plusieurs années.

Les habitants de Ludbreg et de ses alentours continuèrent à faire des pèlerinages dans la chapelle du château. Au début de l’an 1500, pendant le pontificat du Pape Jules II, on convoqua à Ludbreg une commission d’enquête concernant les évènements liés au miracle eucharistique. De nombreuses personnes témoignèrent de guérisons pendant la prière en présence de la Relique.

Le 14 avril 1513, le pape Léon X publia une Bulle par laquelle il consentait à ce que la sainte relique fut vénérée, l’ayant souvent portée lui-même en procession dans les rues de Rome. La relique fut rendue à la Croatie.

Au XVIIIème siècle, la Croatie du Nord fut ravagée par la peste. Le peuple s’adressa à Dieu. Le Parlement croate fit le vœu d’élever une chapelle à Ludbreg en l’honneur du Miracle, si la peste cesse. La peste fut contenue mais le vœu promis ne fut accompli qu’en 1994 avec la restauration de la démocratie en Croatie.

En 2005, dans la chapelle votive, le peintre Marijan Jakubin a peint une grande fresque de la Cène où paraissent les Saints et les Bienheureux Croates. À la place de Saint Jean Apôtre on voit le Bienheureux Ivan Merz qui pendant le Synode des Évêques sur l’Eucharistie qui a eu lieu à Rome en 2005, a été classé parmi les 18 Saints eucharistiques les plus importants de l’histoire de l’Église. Dans la peinture le Christ a dans ses mains l’ostensoir qui contient la relique du Miracle Eucharistique.

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LES MIRACLES EUCHARISTIQUES : BOIS SEIGNEUR ISAAC (Belgique)

A partir du mardi précédant la Pentecôte de l’an 1405, le seigneur du lieu, Jean de Huldenberg, eut l’apparition de Jésus couvert de plaies, pendant trois nuits de suite. A la troisième apparition Il lui parla : « Va à la Chapelle d’Isaac ; tu me trouveras là-bas. » Au même moment, le curé, Pierre Ost, lui aussi, entendit une voix qui lui ordonnait d’aller dire la Messe de la Sainte Croix dans la chapelle d’Isaac.

Le lendemain, il réunit tous les fidèles pour assister à la Messe dans la chapelle d’Isaac. Parmi eux se trouvait aussi Jean de Huldenberg. Le prêtre commença à célébrer la Messe. Quand il ouvrit le corporal, il vit qu’en son milieu était resté un morceau de la grande Hostie consacrée pendant la Messe du mardi précédent. Il voulut l’avaler, mais elle ne se détachait pas du corporal et commençait à saigner. Le prêtre pâlit et Jean, qui avait tout remarqué, le rassura en disant : « N’ayez pas peur, ce prodige vient de Dieu .» Il lui raconta alors ses visions.

Pendant quatre jours, jusqu’au mardi de Pentecôte, le sang continua de couler, arrivant à une épaisseur d’un doigt, sur trois de largeur. Puis, ayant taché presque tout le Corporal, il se coagula et sécha.

Beaucoup de gens virent et attestèrent le Miracle. L’Évêque de Cambrai, Pierre d’Ailly, ayant été informé de l’événement, voulut examiner le Corporal taché de Sang qu’il garda chez lui pendant presque deux ans. Toute tentative d’enlever la tache de sang fut vaine. L’Évêque ouvrit alors une enquête où on rassembla les témoignages de tous les grâces obtenues  par le Très Précieux Sang de la Relique.

Le 16 Juin 1410, l’Évêque Pierre d’Ailly accorda 40 jours d’indulgence à ceux qui visiteront la Chapelle de Bois Seigneur Isaac. Le 3 mai 1413, il déclara que le Corporal pouvait être vénéré comme Sainte Relique et organisa une procession solennelle en l’honneur du miracle avec l’exposition publique du Saint Sacrement. Depuis lors, chaque année, le dimanche qui suit la Nativité de Marie, les habitants de Bois Seigneur Isaac se réunissent en prière pour fêter la mémoire du miracle Eucharistique.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…).

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur très chaste de Joseph, le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les Anges et tous les Saints,

le Corps, le Sang, l’Âme, la Divinité, la Sainte Face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les Anges et de tous les Saints,

de toutes les saintes Messes et Communions passées, présentes, futures,

les saints Rosaires et autres prières,

et dans les Plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

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