Rosaire avec Notre Dame de Paris : La Vierge du pilier

Méditons

Le soir du 15 avril 2019, lundi de la semaine sainte, un gigantesque incendie ravage Notre-Dame de Paris. Il sévit pendant quinze heures et il s’en fallu de peu pour que cette illustre cathédrale soit réduite en cendres. 400 pompiers et 18 lances à eau furent mobilisés pour circonscrire l’incendie.

Quelques heures plus tard, les premières photos, témoignant de l’ampleur des dégâts, commencèrent à circuler. Cette cathédrale, si belle, si noble, si vénérable, qui a réussi à traverser toutes les vicissitudes de l’histoires (et pas des moindres !), presque réduite en cendres en une quinzaine d’heures… Toute « la forêt » – c’est ainsi qu’on appelle la charpente du toit, composée de 1300 chênes  soit 21 hectares de forêt – réduite en cendres dans la nef de la cathédrale.

La providence, toujours à l’œuvre dans les situations désespérées, a disposé que les plus grands trésors – la couronne d’épines, la chemise de Saint Louis, le Saint Sacrement – soient sauvés in extremis grâce notamment au courage de l’aumônier des pompiers, l’abbé Jean-Marc FOURNIER. Par miracle, les reliques, les tableaux, les orgues n’ont subi que peu de dommages malgré la très haute température au plus fort de l’incendie.

Les pompiers ne furent pas seuls à combattre le feu car autour de la cathédrale les fidèles se sont rassemblés et unis dans la prière du chapelet. Comme dans toutes les grandes batailles de l’histoire, dès lors que le peuple de Dieu prend son chapelet pour élever sa prière vers la Reine des cieux, les événements prennent une autre tournure et d’un mal sort un plus grand bien ; c’est bien la marque de Dieu de faire tourner un mal en bien.

Marie est victorieuse dans tous les combats de Dieu dit la sagesse populaire et sœur Lucie nous assure que : « La Très Sainte Vierge, en ces derniers temps que nous vivons, a donné une efficacité nouvelle à la récitation du rosaire. De telle façon qu’il n’y a aucun problème, si difficile soit-il, temporel ou surtout spirituel, se référant à la vie personnelle de chacun de nous, de nos familles, des familles du monde ou des communautés religieuses, ou bien à la vie des peuples et des nations. Il n’y a aucun problème, dis-je, si difficile soit-il, que nous ne puissions résoudre par la prière du saint Rosaire. Avec le saint Rosaire nous nous sauverons, nous nous sanctifierons, nous consolerons Notre-Seigneur et obtiendrons le salut de beaucoup d’âmes » (entretien de sœur Lucie avec le père Fuentes, 26 décembre 1957).

En entrant dans Notre-Dame pour constater les dégâts et sécuriser les lieux, on découvrit toute l’étendue des dégâts et la masse des gravats calcinés dans la nef. Mais au milieu de ce spectacle de désolation, on constate impressionné que la Vierge du pilier est restée à sa place, qu’elle n’a subi aucun dommage, qu’elle est juste mouillée par les quantités d’eau déversées sur le bâtiment.

On y voit un signe de la providence : comment se peut-il que cette statue ait pu échapper à la destruction alors qu’il faisait plus de 1000 degrés dans le bâtiment au plus fort de l’incendie, que tout le plafond, de bois, de plomb, de pierres s’est effondré et fracassé sur le sol de la nef.

Marie ne nous donne-t-elle pas un enseignement, une fois de plus, qu’il nous serait salutaire de recevoir pour affronter les temps qui viennent. Au milieu des tourments, elle reste debout au milieu de ses enfants, présente et agissante. Elle nous montre qu’aucune force adverse ne peut la renverser : l’ennemi est obligé de faire halte devant elle et l’Enfant qu’elle tient dans ses bras. Par ce signe, si éloquent à celui qui croit, ne nous rappelle-t-elle sa promesse de Fatima : « mais à la fin mon Cœur Immaculé triomphera » (13 octobre 1917).

La prière des fidèles, qui persévèrent dans la récitation du chapelet, unis aux efforts des pompiers, ont pu limiter les dégâts de cette énorme catastrophe. Méditons cette leçon et retenons-la : en Jésus, avec Marie, aucun objectif n’est inatteignable car avec eux, c’est Dieu à qui rien n’est impossible, qui agit (Luc 1, 37). Jésus est notre unique Médiateur auprès du Père, celui par les mérites duquel tout nous est accordé ; Marie est la toute-puissance d’intercession, la Médiatrice de toutes les grâces, celle qui exalte Dieu pour sa grandeur et que Dieu exalte pour son humilité.

Prenons notre chapelet et attachons-nous à contempler au fil des mystères, cette magnifique statue de Marie, Notre Dame de Paris, la Vierge du pilier pour en saisir le message, le méditer et le traduire en résolutions pour notre vie de foi.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…).

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Prière à Notre Dame de Paris par saint Jean-Paul II :

Vierge Marie, au cœur de la Cité, nous vous prions pour cette ville capitale. Vous, l’Intacte, gardez-lui la pureté de la foi !

Vierge Marie, depuis ce bord de Seine, nous vous prions pour le pays de France. Vous, Mère, enseignez-lui l’espérance !

Vierge Marie, en ce haut lieu de chrétienté, nous vous prions pour tous les peuples de la terre. Vous, pleine de grâce, obtenez qu’ils soient un dans l’Amour.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

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LES MIRACLES EUCHARISTIQUES : HARTMANNSWILLER (France)

Le soleil estival caresse la France de Charles X. Le village alsacien d’Hartmannswiller (Haut-Rhin), situé à sept kilomètres de Guebwiller, coule des jours paisibles.

Ses habitants vivent leur foi avec intensité. Ils préparent chaque solennité avec zèle et joie.

Le 12 juin 1828 (octave de la Fête-Dieu), quatre bénédictions du Saint-Sacrement sont organisées. Les deux premières ont lieu le matin, après la messe, et les deux autres, en soirée, avant et après la récitation du chapelet.

Ce jour-là, vers 20 heures, l’église Saint-Blaise est pleine à craquer. Le dernier « Je vous salue Marie » est repris par 600 personnes. A cet instant, Jean-Baptiste Burchard, enfant de chœur âgé de 9 ans, placé à côté du père Willig, curé de la paroisse, s’effondre, comme terrassé. Le sacristain se précipite et le porte hors de l’église où ses parents le récupèrent peu après. Ils lui demandent : « Qu’as-tu ? » L’enfant raconte : « Oh ! Quel beau visage j’ai vu dans le soleil de l’ostensoir ! »

Étrangement, une dizaine d’autres jeunes, placés dans le chœur de l’église lors de la bénédiction, déclarent exactement la même chose que Jean-Baptiste, sans qu’il y ait eu le moindre échange entre eux. Ce soir-là, aucun adulte n’a vu quoi que ce soit.

Le lendemain, fête du Sacré-Cœur, le père Willig termine la récitation du chapelet et tourne son regard en direction de l’ostensoir.

Il témoigne : « C’est alors que je commençai moi-même à observer quelque chose d’extraordinaire au Saint-Sacrement. Plus je jetais les yeux sur l’ostensoir, plus je voyais distinctement le buste d’un aimable enfant sous les espèces de l’hostie. Je dis à mon servant de droite de s’approcher pour observer s’il ne voyait rien dans le Saint-Sacrement. Il me dit : « Oh ! M. le curé, je considère déjà depuis longtemps un visage admirable ! » Celui de gauche me dit la même chose. Le marguillier, croyant que je l’appelais, s’approcha de moi. Je lui fis la même question : il se mit à genoux en disant : « Oh ! Quel beau visage ! » »

Le prêtre, de plus en plus bouleversé, prie son marguillier de faire venir près de l’autel deux paroissiens pour leur demander s’il ne s’agit pas d’une illusion. Le premier s’agenouille en s’exclamant : « Quel admirable visage ! » Le second fait la même réflexion. Les deux hommes témoigneront sous serment lors de l’enquête.

Après la cérémonie, le père Willig retrouve un groupe de fidèles à la porte du presbytère. Parmi eux, deux jeunes adultes de 24 ans lui disent : « Nous avons observé de la tribune de l’église, en disant le chapelet, que l’hostie dans l’ostensoir a subi au commencement plusieurs variations jusqu’à ce que le visage a été formé et nous l’avons vu jusqu’à la fin du Salut. »

Le curé fournit des détails supplémentaires : « On pouvait distinguer ses yeux qui jetaient des regards sur le peuple assemblé. Ce qui restait visible de l’hostie, c’étaient les apparences qui entouraient la tête ; elles restaient blanches comme dans une hostie ordinaire. »

Plus tard, il complètera son témoignage en précisant que le visage ressemblait à une esquisse ou à un dessin d’un buste. L’enfant, dont les bras étaient croisés sur la poitrine, paraissait être âgé d’environ trois ans.

Le lendemain, 14 juin, le phénomène se reproduit avec « au moins trois fois plus de splendeur que le jour précédent ». Le curé ajoute : « En retirant l’ostensoir du tabernacle, j’ai vu reparaître le visage. Les fidèles, assistant en foule, virent aussi cette figure, même plus lumineuse, pendant tout l’office. »

Parmi ces témoins directs, la nièce du père Willig, l’instituteur du village, et tous les autres.

Le phénomène a duré de longues minutes. Le visage mystérieux, d’une beauté céleste, est resté visible tout le temps de l’office, y compris après que l’ostensoir a été descendu du trône d’exposition, en un lieu situé plus bas que les cierges allumés.

Il est resté tout aussi visible pendant la bénédiction et il l’est demeuré jusqu’à ce que le Saint-Sacrement soit replacé dans le tabernacle. Enfin, il l’a été de n’importe quel endroit de l’église.

Le dimanche 15 juin, le père Willig ne voit plus rien. En revanche, le maire, le chef des arquebusiers et deux fidèles assurent avoir aperçu le visage dans l’ostensoir.

Un demi-millier de personnes ont été témoins du phénomène.

Les 6 et 7 août 1828, Mgr Lepape De Trevern, évêque de Strasbourg, diligente une enquête qui est menée par trois prêtres, dont un docteur en théologie. Un procès-verbal est dressé.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…).

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur très chaste de Joseph, le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les Anges et tous les Saints,

le Corps, le Sang, l’Âme, la Divinité, la Sainte Face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les Anges et de tous les Saints,

de toutes les saintes Messes et Communions passées, présentes, futures,

les saints Rosaires et autres prières,

et dans les Plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

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LES MIRACLES EUCHARISTIQUES : TRANI (Italie)

A Trani, dans les Pouilles on conserve dans la Cathédrale dédiée à la Vierge de l’Assomption, la Relique du miracle eucharistique qui eut lieu vers l’an mille. De nombreux documents rapportent ce Prodige, parmi lesquels certains monogrammes eucharistiques reproduits sur les anciennes rues de la ville.

Le frère Bartolomeo Campi décrit dans son œuvre « L’amoureux de Jésus-Christ » (1625) un compte rendu précis du déroulement des événements : « Faisant semblant d’être chrétienne, la femme communia avec les autres… et après avoir reçu la Particule, elle la sortit de sa bouche et la mit dans son mouchoir. Rentrée chez elle et voulant vérifier si c’était vraiment du pain, elle mit la Particule bénie dans une poêle remplie d’huile pour la frire… Au contact avec l’huile bouillante, la Particule devint par miracle de la chair sanglante et l’hémorragie de sang, pour ainsi dire, ne s’arrêta pas immédiatement, au contraire une quantité énorme de sang se répandit partout et inonda cette maudite et exécrable maison. Terrorisée, la femme se mit à crier et les voisines accoururent pour voir quelle était la raison de tant de larmes… L’Archevêque fut immédiatement informé de l’événement et ordonna de ramener respectueusement la Particule dans l’église.

L’Abbé cistercien Ferdinando Ughelli (1670) dans son œuvre encyclopédique « Italia Sacra », dans une note au septième volume écrivit : « À Trani, on vénère une hostie sacrée, frite par mépris de notre foi… dans laquelle, après avoir dévoilé le pain azyme, apparut la vraie Chair et le vrai Sang du Christ qui tomba par terre. »

On peut trouver aussi une preuve indirecte du miracle dans une affirmation de Saint Pio da Pietrelcina qui exclama : « La ville de Trani est privilégiée, car à deux reprises elle a été baignée par le Sang du Christ. » Cela concerne le Miracle Eucharistique ainsi que le miracle du Crucifix de Colonna où un flot de sang sortit de son nez balafré.

En 1706 la demeure de la femme fut transformée en une chapelle grâce à l’offre généreuse du noble Ottaviano Campitelli.

En 1616, la relique de l’hostie fut placée dans un ancien reliquaire en argent offert par Fabrizio de Cunio.

Beaucoup de contrôles ont été faits sur cette Relique en différentes époques, la dernière date de 1924 par Monseigneur Giuseppe Maria Leo à l’occasion du Congrès Eucharistique interdiocésain.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…).

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur très chaste de Joseph, le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les Anges et tous les Saints,

le Corps, le Sang, l’Âme, la Divinité, la Sainte Face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les Anges et de tous les Saints,

de toutes les saintes Messes et Communions passées, présentes, futures,

les saints Rosaires et autres prières,

et dans les Plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

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LES MIRACLES EUCHARISTIQUES : CHIRATTAKONAM (Inde)

Le Père Fr. Johnson Karoor, curé de la paroisse de l’église où a eu lieu le miracle eucharistique, raconte dans sa déposition : « Le 28 avril 2001, dans l’église paroissiale Sainte-Marie de Chirattakonam, nous commencions, comme chaque année, la neuvaine à Saint Jude Thaddée.

À 8h49, j’exposais le Très Saint Sacrement dans l’ostensoir pour l’adoration publique.

Après quelques minutes, je vis apparaître comme trois points dans la Sainte Eucharistie. Je m’arrêtais alors de prier et regardais l’ostensoir en invitant aussi les fidèles à admirer les trois points. Puis je demandais aux fidèles de continuer de prier pendant que je remettais l’ostensoir dans le tabernacle.

Le 30 avril, je célébrais la Sainte Messe et le jour suivant je partis pour Trivandrum.

Le samedi matin, 5 mai 2001, j’ouvris l’église pour les célébrations habituelles. Je me préparais et allais ouvrir le tabernacle pour voir ce qui s’était passé à l’Hostie de l’ostensoir. Tout de suite, je voyais en elle une figure ressemblant à un visage humain.

J’étais très ému et demandais aux fidèles de prier. Je pensais être seul à voir le visage. Aussi je demandais à l’enfant de chœur ce qu’il voyait. Il me répondit : “Je vois une figure d’homme”.

Je notais que les autres fidèles regardaient intensément l’ostensoir. L’adoration commença et au fur et à mesure que les minutes passaient, la figure d’homme devenait toujours plus nette.

Je n’eus pas le courage de parler et je me mis à pleurer.

Pendant l’adoration nous avions l’habitude de lire un passage de l’écriture Sainte. Ce jour-là ce fut celui du chapitre 20 de l’évangile de Saint Jean qui raconte l’épisode de l’apparition de Jésus à Saint Thomas lui demandant de regarder ses blessures.

Je ne réussis à dire que quelques mots dans mon sermon. Puis en allant dire la messe à la paroisse de Kokkodu, je fis venir tout de suite un photographe pour prendre des photos de la Sainte Eucharistie contenant le visage humain.

Après deux heures les photos étaient développées et dans chacune le visage apparaissait de plus en plus net. »

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…).

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur très chaste de Joseph, le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les Anges et tous les Saints,

le Corps, le Sang, l’Âme, la Divinité, la Sainte Face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les Anges et de tous les Saints,

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Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

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LES MIRACLES EUCHARISTIQUES : ROSANO (Italie)

De la lettre de l’Évêque Luciano Giovanetti du 4 avril 1948 : « Le soir du 4 avril 1948, le dimanche in Albis, pendant le chant des Vêpres, on observa pour la première fois que des yeux de la statue tombaient des gouttes, comme des larmes. Au mois de juin de la même année, eut lieu un autre prodige impressionnant et inattendu : l’effusion de sang.

De tels faits se vérifièrent plusieurs fois de 1948 à 1950 et furent confirmés par de nombreux témoins oculaires, par les religieuses et surtout par la Mère Abbesse.

Dans les archives du monastère on conserve avec les témoignages des prêtres, des prêcheurs et des visiteurs, les analyses médicales du sang. En plus, Monseigneur Angelo Scapecchi, qui devint par la suite Évêque auxiliaire du diocèse de Arezzo, fut un témoin précieux.

Des archives, on apprit l’enquête menée par le délégué du Saint Office, le Père Luigi Romoli, qui interrogea personnellement toutes les religieuses et imposa à la communauté le silence absolu.

Le 14 novembre 1950, le Saint Office ordonna d’enlever la statue pour la garder dans un lieu secret. Elle fut ramenée à Rosano en 1952.

La communauté de Rosano vécut ces évènements avec une joyeuse émotion, mais aussi avec une grande discrétion, en continuant la vie monastique de tous les jours selon la devise bénédictine « Ora et Labora. »

La lacrimation et l’effusion de Sang sont des faits inexplicables d’un point de vue naturel et humain.

Mon vénéré prédécesseur Monseigneur Giovanni Giorgis a vu dans les faits de Rosano un appel du Seigneur à la « fidélité, à la réparation, à la prière. »

Mes bien chers frères et sœurs, repensons avec émotion à ce qui est arrivé il y a cinquante ans dans notre Diocèse, considérons-le comme un signe de bienveillance et d’amour du Seigneur et comme une invitation à une sérieuse et profonde réflexion.

Renouvelons avec joie notre ardente dévotion au Sacré Cœur de Jésus.

En accueillant ce message, demandons le don d’une plus grande conversion à son amour, la grâce d’une ferveur apostolique grandissante et aussi le don de nombreuses et saintes vocations sacerdotales et religieuses pour que le Christ soit le cœur du monde. »

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…).

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

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et dans les Plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

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Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

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LES MIRACLES EUCHARISTIQUES : SILLA (Espagne)

Pendant la Messe du 25 mars 1907, fête de l’Annonciation, Fernando Gomez, curé de l’église Notre-Dame de Silla, se rendit au tabernacle et prendre le ciboire pour la Communion des fidèles.

À sa grande surprise, il trouva la petite porte du tabernacle ouverte et vit que le précieux ciboire en argent contenant les Hosties avait disparu.

Les Particules furent retrouvées deux jours plus tard dans un petit jardin potager en dehors de la ville, cachées sous une pierre.

Le curé les rapporta alors en procession solennelle à l’église.

En 1934, après avoir constaté que les Hosties restaient dans l’état où on les avait retrouvées sous la pierre et qu’elles étaient inaltérées, l’Archevêque de Valence commença une procédure pour déclarer miraculeuse leur conservation ; il scella le reliquaire contenant les Hosties avec de la cire et écrivit un précieux document sur le Prodige.

Malheureusement, deux ans après, l’Archevêché de Valence fut incendié par les anarchistes communistes et ce précieux document fut perdu.

En 1982, l’archevêque de Valence, Monseigneur Miguel Roca autorisa officiellement le culte des Saintes Hosties par un nouveau procédé canonique.

Prions

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O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur très chaste de Joseph, le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les Anges et tous les Saints,

le Corps, le Sang, l’Âme, la Divinité, la Sainte Face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

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LES MIRACLES EUCHARISTIQUES : TUMACO (Colombie)

Le 31 janvier 1906, à dix heures du matin, dans le toute petite île de Tumaco, on sentit la terre trembler fortement pendant environ dix minutes.

Tous les habitants du village se rassemblèrent devant l’église, suppliant le curé, le Père Gerardo Larrondo, et le Père Julian, d’organiser immédiatement une procession avec le Saint Sacrement.

La mer devenait de plus en plus agitée et avait déjà couvert une partie du littoral. Une énorme montagne d’eau s’était formée et allait devenir très vite une immense vague.

Le Père Gerardo, affolé, avala toutes les Hosties consacrées du ciboire, ne gardant que la grande Hostie. S’adressant ensuite à la population, il s’exclama : « Allons tous à la plage, mes enfants, et que Dieu ait pitié de nous ! »

Comme rassurés par la présence de Jésus Eucharistie, ils marchèrent tous en pleurant et en acclamant Dieu. Arrivé à la plage, le Père Larrondo descendit courageusement avec l’ostensoir jusqu’où se brisent les vagues et le cœur plein de foi il éleva d’une main ferme l’hostie consacrée devant tout le monde et traça en l’air un signe de croix.

La vague avança encore un peu, mais avant que le Père Larrondo et le Père Julian ne puissent se rendre compte de ce qui arrivait, la population, émue et abasourdie, cria : « Miracle ! Miracle ! »

L’immense vague qui menaçait de détruire le village de Tumaco s’arrêta soudainement comme bloquée par une force invisible plus grande que celle de la nature pendant que la mer revenait à son état normal.

Les habitants de Tumaco furent pris d’une très grande joie d’avoir été sauvés par Jésus Eucharistie et tous le remercièrent avec ferveur.

On parla beaucoup du Miracle de Tumaco dans le monde entier, si bien que le Père Larrondo reçut également d’Europe de nombreuses lettres de demandes de prières.

Prions

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LES MIRACLES EUCHARISTIQUES : AUGSBURG (Allemagne)

En 1194, une dame d’Augsbourg, particulièrement dévouée au Saint Sacrement, sans que personne ne la voie, mit l’Hostie dans un mouchoir, l’emmena à la maison et la déposa dans une armoire enveloppée dans un emballage en cire.

En ce temps-là, il était très difficile de trouver des tabernacles dans les églises pour pouvoir pratiquer l’adoration eucharistique. Ce n’est qu’en 1264, avec l’introduction de la Fête-Dieu, que se répandit cette dévotion.

Cinq ans s’écoulèrent et le 11 mai 1199, la femme tourmentée de remords, se confessa au supérieur du couvent Sainte-Croix, le Père Berthold, qui se fit remettre l’hostie.

Le prêtre ouvrit l’enveloppe de cire de la Particule et vit que celle-ci s’était transformée en chair saignante. L’hostie se présentait « divisée en deux parties unies l’une à l’autre par des filaments de chair saignante ».

Le Père Berthold se rendit aussitôt chez l’Évêque de la ville, Udalskalk : ce dernier ordonna que l’hostie miraculeuse soit « transférée, accompagnée du clergé et du peuple, dans la cathédrale et exposée dans un ostensoir en cristal pour l’adoration publique. »

Le Miracle continua : l’Hostie commença à grossir et à gonfler et ce phénomène dura du jour de Pâques à la fête de Saint Jean-Baptiste, aux yeux de tous.

Par la suite, l’Évêque Udalskalk fit ramener l’Hostie au couvent Sainte-Croix et établit que « en souvenir d’un fait aussi mémorable et extraordinaire », chaque année on fêterait cet anniversaire spécial en l’honneur de la Sainte Relique.

En 1200, le comte de Rechber fit cadeau aux Pères Augustiniens d’un écrin d’argent rectangulaire, pourvu d’une ouverture dans laquelle fut placée l’hostie du miracle.

Outre ce miracle, se produisirent d’autres événements extraordinaires tels que l’apparition sur l’hostie de l’Enfant Jésus, vêtu de blanc, le visage rayonnant et le front ceint d’une couronne d’or, ou bien l’apparition de Jésus bénissant l’assemblée.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…).

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur très chaste de Joseph, le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les Anges et tous les Saints,

le Corps, le Sang, l’Âme, la Divinité, la Sainte Face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les Anges et de tous les Saints,

de toutes les saintes Messes et Communions passées, présentes, futures,

les saints Rosaires et autres prières,

et dans les Plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

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LES MIRACLES EUCHARISTIQUES : MORNE-ROUGE (Martinique)

le 8 mai 1902, fête de l’Ascension, le volcan de la Montagne Pelée entra en éruption et commença à vomir lave et cendres.

La population de Morne-Rouge, très dévote au Sacré Cœur se précipita dans l’église paroissiale pour implorer Notre-Dame de la Délivrance d’épargner le village de la catastrophe.

Devant le danger imminent les personnes se réconcilièrent et confessèrent leurs péchés. Le curé, Père Mary, donna l’absolution générale aux fidèles, distribua la Communion et exposa le Saint Sacrement pour l’adoration.

Tout d’un coup une femme se mit à crier : « Le Sacré Cœur de Jésus est dans l’Hostie ! »

Un très grand nombre de personnes furent témoins de l’apparition de Jésus dans l’Hostie qui montrait son Sacré Cœur couronné d’épines. D’autres dirent avoir vu le Sang couler du Cœur de Jésus.

La vision dura plusieurs heures et cessa seulement quand l’ostensoir fut remis dans le tabernacle.

Le 8 mai, le village de Morne-Rouge fut épargné de la fureur dévastatrice du volcan et cela permit à la population de se réconcilier avec Dieu, de recevoir les Saints Sacrements et de se préparer ainsi à mourir dans sa grâce.

Le 30 août de la même année une violente éruption du volcan détruisit le village de Morne-Rouge.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…).

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur très chaste de Joseph, le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les Anges et tous les Saints,

le Corps, le Sang, l’Âme, la Divinité, la Sainte Face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les Anges et de tous les Saints,

de toutes les saintes Messes et Communions passées, présentes, futures,

les saints Rosaires et autres prières,

et dans les Plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

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LES MIRACLES EUCHARISTIQUES : SAINT-ANDRÉ DE LA RÉUNION (Ile de La Réunion)

Voici le récit de l’Abbé Lacombe : « C’était le 26 janvier 1902, jour de l’adoration perpétuelle (les quarante heures). Le Saint Sacrement était exposé sur l’autel. Je commençai la messe. Après l’élévation, au moment du Notre Père, mes yeux se levèrent vers l’hostie et je vis une auréole lumineuse autour des rayons de l’ostensoir. Je fus pris d’un grand trouble que je cherchai à dominer et je continuai à dire la messe. Arrivé au moment de la communion, je regardai de nouveau l’ostensoir. Cette fois je vis dans l’hostie un visage humain avec les yeux baissés et une couronne d’épines sur le front. Ce qui m’émut le plus fut de voir l’expression douloureuse sur le visage. Les cils étaient longs et épais. Je tâchai de ne pas montrer aux assistants le grand trouble qui m’agitait. La messe terminée, j’allai à la sacristie et j’appelai tout de suite les jeunes du chœur en leur disant d’aller près de l’autel pour observer avec attention l’ostensoir. Les jeunes revinrent rapidement en disant : « Mon Père, nous voyons dans l’Hostie la tête d’un homme. C’est le Bon Dieu qui se manifeste. » Je compris alors que la vision était vraie. Un de ces jeunes était Adam de Villiers qui avait fait ses études en France. Je lui dis : « Allez, vous aussi, à l’église et regardez si vous voyez quelque chose d’extraordinaire dans le tabernacle. » Le jeune étudiant revint immédiatement pour me dire : « Père, c’est le Bon Dieu qui apparaît dans l’Hostie, je vois son visage divin. » À partir de ce moment tous mes doutes disparurent. Peu à peu la foule se déversa dans l’église pour voir le miracle. Des journalistes et des gens de la capitale Saint Denis vinrent aussi. Tout à coup le visage dans l’hostie s’anima, la couronne d’épines avait disparu. Je pris toutes les précautions possibles et craignant des reflets de la lumière, je fis éteindre les cierges et fermer les volets. Le phénomène apparut encore plus net, même dans l’obscurité. De véritables lueurs émanaient des traits de ce visage. Parmi les visiteurs il y avait aussi une jeune peintre qui reproduisit exactement le visage apparu dans l’hostie. Certains apportèrent des loupes, mais on ne s’en servit pas. Plus tard la vision changea encore et dans l’hostie apparut un crucifix qui couvrait de haut en bas toute l’hostie. Après la bénédiction eucharistique et le chant du Tantun Ergo, la vision disparut. »

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…).

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur très chaste de Joseph, le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les Anges et tous les Saints,

le Corps, le Sang, l’Âme, la Divinité, la Sainte Face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les Anges et de tous les Saints,

de toutes les saintes Messes et Communions passées, présentes, futures,

les saints Rosaires et autres prières,

et dans les Plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

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