Le Saint Sacrifice de la Messe selon les Visions de frère Kostka

De la préface jusqu’à la Consécration

Dans une prière profonde, la liturgie conduit le célébrant, jusqu’au lieu du sacrifice, jusqu’au sommet du Calvaire. La suite des prières qui préparent immédiatement à l’offrande est la suivante :

  • Prière pour l’acceptation des dons offerts.
  • Memento des vivants.
  • Prière d’union à l’Eglise du Ciel.
  • Prière sacrificielle avant la Consécration.

Frère Kostka vit, durant cette partie de la sainte Messe, les grandes souffrances de Jésus sur le chemin du prétoire au Calvaire. Toutefois, il n’a pas détaillé ici la Passion du Seigneur, étant convaincu que les stations du chemin de croix parlent d’elles-mêmes à toute âme attentive et que ces images de souffrance ont un langage pénétrant.

Avec une fidélité inlassable, il accomplissait lui-même chaque jour le chemin de croix, habituellement deux fois : à 4 heures du matin après son heure d’adoration devant le tabernacle, et vers 9 heures durant la pause du travail.

Frère Kostka confesse : « Dans une prière fervente, j’ai souvent demandé à chaque station de pouvoir participer aux souffrances de Jésus : « Ô Marie, imprime profondément dans mon âme les plaies que ton Fils a ressenties pour moi. » Dieu m’a exaucé. Désormais, il m’est donné de voir et de ressentir intérieurement les souffrances de Jésus. Dans cette vision spirituelle, il devient clair pour moi comment l’âme compatissante semble adoucir les douleurs du Seigneur, apaiser sa fièvre. Je ne sais si je m’exprime bien, mais j’ai l’impression que cette participation à la souffrance, cette réception du Sang du Christ, est une sorte de communion. Chaque gouttelette désaltère et revigore l’âme souffrante dans sa soif du salut des âmes. »

Un jour, on observa comment Frère Kostka resta environ une demi-heure, les yeux baissés et totalement silencieux, à la sixième station. À la question de savoir ce qu’il faisait durant tout ce temps, il répondit : « Lors du chemin de croix, j’entre souvent en vision spirituelle. À la sixième station, il m’est souvent, mais non toujours, donné de voir le visage défiguré du Seigneur et la blessure extrêmement douloureuse de son épaule. Mon émotion compatissante est si grande que j’ai alors du mal à m’en détacher. » 

La procession incommensurable de la Croix, que Frère Kostka décrit en détail, s’insère naturellement dans les stations du chemin de croix que doivent emprunter les disciples de la Croix.

« Dieu a dressé la Croix et c’est Lui-même qui la place sur le chemin de vie de chaque être humain. C’est à la Croix que se fait le discernement des esprits. »

(Traduit de l’allemand : « Das heilige Messopfer – in Schauungen erlebt »).

Prions

Une dizaine du chapelet (1 Notre Père, 10 Je vous salue Marie, 1 Gloire au Père)

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les anges et tous les saints,

le corps, le sang, l’âme, la divinité, la sainte-face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les anges et de tous les saints,

de toutes les saintes messes et communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts, reposent en paix. Amen.

Le Saint Sacrifice de la Messe selon les Visions de frère Kostka

Le ministère de médiation des prêtres

Frère Kostka : « Au moment du Sanctus, je vois comment la divinité s’unit intimement au prêtre célébrant. Par cette union, le célébrant devient l’instrument de l’ordre de la grâce, uni à Dieu. Dieu utilise ses mains, sa bouche, etc., pour offrir le saint Sacrifice de la Messe. C’est pourquoi le prêtre ne dit pas à la consécration : « Ceci est le Corps du Christ », mais bien : « Ceci est mon Corps », car Dieu fait homme parle Lui-même, en Sa propre personne, par la bouche du prêtre.

Ainsi, même si parfois des prêtres indignes se trouvent à l’autel, le saint Sacrifice n’est pas intérieurement altéré, car c’est le Souverain Prêtre éternel qui l’accomplit. Le prêtre indigne commet certes une faute et se prive de nombreuses grâces ; inversement, les prêtres pieux et zélés reçoivent une abondance de grâces et de bénédictions.

Je comprends ainsi la haute dignité du prêtre. Si intimement uni à la divinité, il offre au Père céleste Son Fils bien-aimé, en qui Il trouve toute sa joie.

La contemplation spirituelle du saint Sacrifice fait prendre vivement conscience de la mission du prêtre. Je vois comment, sans en être pleinement conscient, le célébrant se tient dans la lumière et reçoit tant de grâces pour lui-même et pour les autres.

Dès le début du canon de la Messe, je vois non seulement la « lumière vivante où habite la divinité », mais aussi la Sainte Trinité indivise représentée en images, dans les trois Personnes.

Oh ! Si tous les hommes pouvaient voir ces mouvements spirituels et les sublimes mystères de la Messe ! Alors les églises deviendraient trop petites. Les chrétiens délaisseraient leurs travaux et soucis, joies et peines, affaires et entreprises pour assister à ce spectacle saint et splendide. Combien, dans l’éternité, s’apercevront trop tard du trésor qu’ils ont négligé, pour avoir si souvent manqué la Messe !

Déjà la plus petite goutte de cette joie pure suffit à combler le cœur, et l’âme s’écrie alors : « Arrête ! C’est assez, ou je vais mourir de joie ! »

(Traduit de l’allemand : « Das heilige Messopfer – in Schauungen erlebt »).

Prions

Une dizaine du chapelet (1 Notre Père, 10 Je vous salue Marie, 1 Gloire au Père)

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les anges et tous les saints,

le corps, le sang, l’âme, la divinité, la sainte-face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les anges et de tous les saints,

de toutes les saintes messes et communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts, reposent en paix. Amen.

Le Saint Sacrifice de la Messe selon les Visions de frère Kostka

La joie des Anges et leur chant de jubilation

Frère Kostka : « Lors de la sainte Messe, une multitude innombrable d’anges s’approche de l’autel. Ils entourent le lieu du sacrifice dans une lumière éclatante, émerveillés devant l’excès d’amour et d’humiliation du Fils de Dieu. Dans l’adoration, le respect sacré, la louange et la joie de pouvoir participer au saint Sacrifice, ils rendent hommage à la Très Sainte Trinité.

Ils sont tous des esprits serviteurs et se tiennent près du Souverain Prêtre lorsqu’Il offre Son sacrifice d’adoration, de louange, de supplication, d’action de grâces et d’expiation.

Au cri de jubilation du Sanctus et de l’Hosanna, je vois le cœur du Père céleste battre de joie à la rencontre de Son Fils bien-aimé. Il se produit comme une étreinte entre la Très Sainte Trinité et l’humanité de Jésus. Ce mouvement spirituel s’étend à la sphère angélique. Même l’intelligence des anges ne peut sonder les mystères de l’amour infini et de l’offrande dans la Passion du Christ. Les esprits célestes adressent leur adoration à la l’éternelle Majesté divine. Les anges deviennent les chefs de chœur de la louange, auxquels se joignent les voix des fidèles.

Désormais, le ciel est sur la terre, à l’autel. Les esprits célestes détachent un moment les liens de notre Rédempteur. Au moment de l’Hosanna, les mauvais esprits et les hommes impies doivent temporairement se retirer et se taire, afin que ni dissonance ni perturbation ne vienne troubler la louange et l’adoration.

Je vois aussi combien l’intercession des anges est puissante. Ils recommandent à Dieu les intentions de ceux qu’ils protègent. Ils prient pour le triomphe de la sainte Église, pour la conversion des pécheurs. Ils luttent avec nous pour que les ennemis de l’Église soient humiliés et que la victoire du Bien advienne. La présence des anges dure jusqu’après la communion, aussi longtemps que les saintes espèces sont présentes. (Le chant du Sanctus est très utile dans les afflictions.) »

(Traduit de l’allemand : « Das heilige Messopfer – in Schauungen erlebt »).

Prions

Une dizaine du chapelet (1 Notre Père, 10 Je vous salue Marie, 1 Gloire au Père)

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les anges et tous les saints,

le corps, le sang, l’âme, la divinité, la sainte-face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les anges et de tous les saints,

de toutes les saintes messes et communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts, reposent en paix. Amen.

Le Saint Sacrifice de la Messe selon les Visions de frère Kostka

Le Père reçoit l’expiation de son Fils – l’effet sur Dieu et sur les hommes

Frère Kostka : « Le Père céleste reçoit avec une joie infinie et divine l’expiation et la réparation opérées par Son Fils bien-aimé. Seul Dieu peut saisir cette œuvre divine dans toute son ampleur. Même le regard le plus pénétrant de la foi ne peut qu’entrevoir de loin ce qui se passe à la sainte Messe.

Lors de la Messe, Dieu le Père entoure Son Fils d’un amour ineffable. Une joie infinie se partage et s’échange entre eux. Le Père confirme à Son Fils Sa royauté, bien qu’Elle Lui ait été déniée par les hommes. Le Fils, Lui, se réjouit de cette royauté. (cf. Ps 2, 6 : « C’est moi qui ai sacré mon Roi sur Sion, ma montagne sainte. »)

Le Père confirme aussi à Son Fils sa prêtrise, bien qu’Il ait été renié par les grands prêtres. Avec une joie suprême, Il Lui déclare : « Tu es prêtre pour l’éternité selon l’ordre de Melchisédech. » (Ps 109, 4)

Le Roi-Prêtre exerce alors Son ministère de médiateur entre Dieu et les hommes pour l’éternité. Le sceptre de Sa puissance est solidement établi. Par Ses prêtres envoyés et consacrés, Il célèbre le sacrifice perpétuel du lever au coucher du soleil. Ainsi, Il réconcilie sans cesse les pécheurs avec Dieu.

Le Père éternel, dans Son Fils prêtre, en qui tout est renouvelé et restauré, embrasse aussi tous les fils prodigues qui, par la grâce du Rédempteur, retournent repentants au cœur du Père. À chacun d’eux, Il donne, dans un amour et une joie paternelle suprêmes, le baiser de la réconciliation comme le dit si profondément et si justement le Christ dans la parabole.

La joie, que le Père céleste retire de la célébration de la sainte Messe et de la réparation perpétuelle de Son Fils unique, est ineffable.

L’Esprit Saint, Esprit d’amour et de joie, est lui aussi comblé et glorifié par le saint Sacrifice de la Messe. C’est Lui qui a formé l’humanité sainte du Christ par Sa puissance divine, et qui l’a façonnée comme instrument de réconciliation et de salut. Il remplit le cœur sacerdotal de Jésus de Son amour infini pour les âmes immortelles et Le pousse, par amour pour elles, à souffrir la mort.

Le Sauveur, de Son côté, ramène à l’Esprit Saint les âmes purifiées et sanctifiées, et l’Esprit de Dieu peut de nouveau faire Sa demeure en elles. Quelle joie divine pour l’Esprit Saint ! Par les saints sacrements et l’humanité de Jésus, Il peut répandre toutes les grâces, lumières et effets salutaires. Il aime particulièrement l’humanité sainte de Jésus dans Ses souffrances sacrificielles, car souffrance et amour ne peuvent être séparés. »

(Traduit de l’allemand : « Das heilige Messopfer – in Schauungen erlebt »).

Prions

Une dizaine du chapelet (1 Notre Père, 10 Je vous salue Marie, 1 Gloire au Père)

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les anges et tous les saints,

le corps, le sang, l’âme, la divinité, la sainte-face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les anges et de tous les saints,

de toutes les saintes messes et communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts, reposent en paix. Amen.

Le Saint Sacrifice de la Messe selon les Visions de frère Kostka

La restauration de l’ordre du salut par l’expiation et la glorification de Dieu

Frère Kostka : « La justice de Dieu exige expiation, châtiment et réparation pour tous les péchés et offenses commis au cours des millénaires. Dieu fait homme prend sur Lui, par Sa Passion et le renouvellement du sacrifice de la Croix, l’expiation et le châtiment. Il offre à la divine Majesté une expiation parfaite, une réparation complète. C’est comme si toutes les offenses et blasphèmes contre les trois premiers commandements retombaient uniquement sur le Seigneur. (« Les outrages de ceux qui T’outragent retombent sur moi » Ps 68, 10)

Le Christ expie les sacrilèges du culte des idoles et du service des démons, avec toutes les horreurs qui en découlent : sacrifices païens, sacrifices humains. Il expie l’apostasie de la foi, tant celle de chaque âme que celle de peuples entiers. Il expie la profanation sacrilège de personnes consacrées à Dieu et des lieux saints. Non seulement Il expie, mais Il rétablit aussi la vraie religion.

Par Son sacrifice de la Croix et le sacrifice perpétuel de la sainte Messe, Il rend à la Très Sainte Trinité toute gloire et tout honneur. Il guide tous les chrétiens vers le véritable culte de Dieu. Ainsi, Il procure au Père éternel la joie la plus éminente. Le Christ expie tous les blasphèmes, toutes les profanations du nom de Dieu et de ses temples.

Il répare les péchés de simonie, toutes les profanations des dimanches et jours saints, tous les sacrilèges commis par la profanation des temples du cœur et par le détrônement de Dieu dans les âmes. Ainsi, Il réjouit au plus haut point la Très Sainte Trinité, car Il rétablit tout.

Le Christ restaure les droits souverains de Dieu et de Sa Majesté, mais seulement au prix d’immenses souffrances, d’humiliations et de moqueries. Il réconcilie les pécheurs avec Dieu, ramène des peuples entiers de l’abomination du paganisme vers la vraie religion et le cœur du Père. Cette restauration de l’ordre du salut, Il l’accomplit à chaque sainte Messe. »

(Traduit de l’allemand : « Das heilige Messopfer – in Schauungen erlebt »).

Prions

Une dizaine du chapelet (1 Notre Père, 10 Je vous salue Marie, 1 Gloire au Père)

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les anges et tous les saints,

le corps, le sang, l’âme, la divinité, la sainte-face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les anges et de tous les saints,

de toutes les saintes messes et communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts, reposent en paix. Amen.

Le Saint Sacrifice de la Messe selon les Visions de frère Kostka

L’harmonie entre la préface et la condamnation à mort de Jésus

« Il me semble vraiment impossible d’exprimer les mystères qui se jouent dans la sainte Messe sous des contrastes si étonnants. Le langage ne peut rendre ce que voient les yeux de la foi. Certains points, de plus, semblent contredire la raison naturelle.

Comment expliquer, par exemple, que la souffrance du Fils de Dieu puisse exister avec l’amour suprême, et même la joie suprême ? Les oppositions entre joie et douleur semblent s’annuler. Et pourtant, elles coexistent dans notre Souverain Prêtre. Oui, les souffrances de Jésus, en tant qu’expiation et réparation, sont la cause de la joie divine dans la Très Sainte Trinité.

Il en va de même pour le contraste, difficile à saisir de prime abord, entre la liturgie magnifique de la Messe, dans la joie et les acclamations de l’Hosanna, et le drame de la Passion du Rédempteur dans la souffrance extrême, jusqu’à la mort. Et pourtant, dans l’ordre de la grâce, ces états d’âme apparemment opposés se rejoignent dans une harmonie sublime. La Messe ne peut être séparée de la Passion. Le Saint-Sacrifice est l’offrande continuée de Jésus jusqu’à la mort, l’actualisation du sacrifice de la Croix.

Lorsque Dieu, dans l’éternité, montrera à nos yeux émerveillés la profondeur de Ses richesses, de Sa vérité et de Sa sagesse, Ses jugements insondables et Ses voies impénétrables, alors apparaîtra clairement l’harmonie entre la liturgie de la Messe et la mort sacrificielle du Christ.

Ce que je vois et peux exprimer pendant le court temps de la Préface et du Sanctus n’est qu’une ombre. Ce n’est qu’une infime partie des mystères. Les mouvements spirituels dans la Très Sainte Trinité, dans le monde angélique, dans l’Église triomphante et militante, sont des mystères d’une grandeur incomparable. »

(Traduit de l’allemand : « Das heilige Messopfer – in Schauungen erlebt »).

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Une dizaine du chapelet (1 Notre Père, 10 Je vous salue Marie, 1 Gloire au Père)

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les anges et tous les saints,

le corps, le sang, l’âme, la divinité, la sainte-face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les anges et de tous les saints,

de toutes les saintes messes et communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts, reposent en paix. Amen.

Le Saint Sacrifice de la Messe selon les Visions de frère Kostka

La merveilleuse harmonie entre la liturgie de la Messe et la Passion du Christ

Beaucoup de lecteurs, peut-être la majorité, seront troublés en lisant ceci : comment le chant solennel de la Préface peut-il s’accorder avec le drame de la Passion du Christ et sa condamnation à mort ? J’ai moi-même posé cette question à frère Kostka :

« D’après vos explications, le rejet de Jésus par le peuple élu et sa condamnation ignominieuse à la Croix coïncident avec le chant triomphal de la Préface. N’est-ce pas un contraste déchirant ? Ne devrait-on pas, en face d’une telle souffrance, entonner des chants de deuil comme durant la Semaine Sainte, au lieu de chants de jubilation ? Comment concilier cela ? Comment la douleur la plus profonde peut-elle coexister avec une telle joie ? »

Sans la moindre hésitation, sans le moindre embarras, Frère Kostka répondit que dans la Préface, il constate une harmonie merveilleuse avec le déroulement de la Passion. Ce fut vraiment étonnant, voire bouleversant, d’entendre ses explications. Sa certitude absolue, son langage fluide, sa justification fondée sur l’expiation et la joie qui en découle, l’énumération des types de péchés réparés, tout cela montrait clairement qu’il ne puisait pas dans des sources purement naturelles. Même un théologien aurait besoin de temps pour résoudre cette difficulté, et à plus forte raison un homme de simple instruction primaire.

(Traduit de l’allemand : « Das heilige Messopfer – in Schauungen erlebt »).

Prions

Une dizaine du chapelet (1 Notre Père, 10 Je vous salue Marie, 1 Gloire au Père)

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les anges et tous les saints,

le corps, le sang, l’âme, la divinité, la sainte-face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les anges et de tous les saints,

de toutes les saintes messes et communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts, reposent en paix. Amen.

Le Saint Sacrifice de la Messe selon les Visions de frère Kostka

« Voici votre roi ! »

Frère Kostka : « L’idée que Jésus puisse être roi, la dignité royale du Christ, devint à nouveau une pomme de discorde, une pierre d’achoppement. Lorsque Pilate entendit l’accusation des Juifs, il fit sortir Jésus. Il s’assit sur son siège de juge, à l’endroit appelé « le Dallage ». C’était le jour de la Préparation de la Pâque, vers la sixième heure.

Alors, Pilate, sans qu’il en ait conscience mais par une disposition divine, présenta au peuple élu le Roi des rois et le Seigneur des seigneurs. Après avoir fait taire la foule par les sonneries de trompettes, il s’écria : « Voici votre roi ! » Mais ceux qui parlaient n’étaient pas guidés par la raison ou la foi, mais par une passion enflammée. Ils crièrent : « À mort ! À mort ! Crucifie-le ! »

Pilate, d’un ton ferme, répliqua : « Quoi ? Je crucifierais votre roi ? »

Il y avait là plus qu’un simple calcul humain. C’était la grâce qui, par ces paroles, cherchait une ultime fois à éclairer leurs esprits. Hélas, la grâce fut repoussée. Les grands prêtres répondirent : « Nous n’avons pas d’autre roi que César. »

Les cris devinrent de plus en plus forts et confus. Pilate, bouleversé et amer, demanda de l’eau, se lava les mains devant tout le peuple et déclara à nouveau : « Je suis innocent du sang de ce juste. » Il voulait signifier qu’il rejetait toute responsabilité et la faisait porter au peuple juif : « C’est votre affaire ! »

Le peuple pris sur lui cette responsabilité en répondant : « Que son sang retombe sur nous et sur nos enfants ! » C’était une malédiction que le peuple prononça et qui se réalisa de manière terrible.

Pilate livra donc le Sauveur à la crucifixion contre la voix de sa conscience, contre sa propre conviction, contre son propre jugement : « Je suis innocent du sang de ce juste. » La peur des hommes l’emporta sur le gouverneur romain. Son hésitation l’entraîna lui-même dans la perdition. »

(Traduit de l’allemand : « Das heilige Messopfer – in Schauungen erlebt »).

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Une dizaine du chapelet (1 Notre Père, 10 Je vous salue Marie, 1 Gloire au Père)

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les anges et tous les saints,

le corps, le sang, l’âme, la divinité, la sainte-face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les anges et de tous les saints,

de toutes les saintes messes et communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts, reposent en paix. Amen.

Le Saint Sacrifice de la Messe selon les Visions de frère Kostka

Entretien entre Jésus et Pilate

Frère Kostka : « La révolte du peuple, qui insistait avec obstination sur la condamnation à mort de Jésus, affecta profondément les nerfs du gouverneur romain. Une peur panique s’empara du juge lorsque les chefs des juifs affirmèrent que l’accusé devait mourir, car Il s’était fait Fils de Dieu, un crime qui, selon leur loi, devait être puni de mort.

Pilate entra avec Jésus dans le prétoire pour un entretien en privé. Il ressentait un malaise profond face à cet homme silencieux et si innocent. Le calme souverain, la renommée passée et la popularité de Jésus, la rage actuelle du peuple et ses exigences faisaient comprendre à Pilate qu’il avait devant lui une personnalité exceptionnelle.

L’accusation selon laquelle Jésus s’était fait Dieu et était craint comme tel, pesait sur son âme comme un cauchemar. Il était plus qu’intrigué. Il voulait savoir d’où venait cet homme mystérieux : « D’où es-tu ? »

Jésus, le Grand Silencieux, resta très réservé envers son juge, ce qui irrita Pilate. Il voulut alors lui rappeler son pouvoir : « Tu ne me parles pas ? Ne sais-tu pas que j’ai le pouvoir de te relâcher ou de te crucifier ? » Jésus répondit avec un calme et une supériorité qui valaient plus que mille paroles : « Tu n’aurais aucun pouvoir sur moi s’il ne t’avait été donné d’en haut. C’est pourquoi celui qui m’a livré à toi porte une plus grande faute. »

Jésus fait sentir à ce magistrat romain sa faute et parle à sa conscience. La douleur causée par la flagellation et le couronnement d’épines était comme un glaive qui s’enfonçait dans le cœur du juge responsable. Pilate fut de nouveau ébranlé et poussé à vouloir la libération de Jésus. Mais les Juifs crièrent : « Si tu le relâches, tu n’es pas ami de César. Quiconque se fait roi s’oppose à César !  »

(Traduit de l’allemand : « Das heilige Messopfer – in Schauungen erlebt »).

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Une dizaine du chapelet (1 Notre Père, 10 Je vous salue Marie, 1 Gloire au Père)

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les anges et tous les saints,

le corps, le sang, l’âme, la divinité, la sainte-face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les anges et de tous les saints,

de toutes les saintes messes et communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts, reposent en paix. Amen.

Le Saint Sacrifice de la Messe selon les Visions de frère Kostka

L’image de l’Ecce homo et chaque âme en particulier

Frère Kostka : « L’image de l’Ecce Homo est l’expression fidèle de l’image de Dieu défigurée par le péché. Lors de la création, Dieu fit l’homme à Son image et à Sa ressemblance. Mais l’homme s’est séparé de son Créateur et a défiguré l’image de Dieu par le péché et le crime. Le Christ est venu pour renouveler cette image et la remodeler selon sa beauté originelle. Cela se réalise par Sa Croix et Sa Passion, par le don des mérites du Rédempteur.

Depuis ce premier Vendredi Saint, l’image de l’Ecce Homo se dresse sur tous les chemins de pèlerinage de la vie, regardant chaque homme comme une image bouleversante de la miséricorde divine. Elle oblige chaque être humain à prendre position et à faire un choix.

Dans le miroir de l’Ecce Homo, chaque pécheur, chaque tiède peut voir et reconnaître l’image spirituelle de son propre intérieur. Si quelqu’un se laisse toucher par la vue de cette image, s’il se recueille avec componction et revient à Dieu, confiant dans les mérites du Rédempteur, alors le Christ, dans une miséricorde infinie, enlève les déformations de son âme. Oui, Il renouvelle le visage selon la beauté première des enfants de Dieu. Mais si l’homme pécheur, comme les Juifs ce Vendredi Saint, repousse la grâce, s’il est scandalisé par la Croix et par l’image de l’Ecce Homo, alors cette rencontre devient pour lui condamnation et perdition.

La figure de l’Ecce Homo se dresse aussi devant ceux qui aspirent à la perfection. À ceux-là, le Christ veut offrir non pas simplement une image signée comme le feraient les rois et les empereurs, mais Il veut imprimer dans leur âme Son image d’Ecce Homo. Il veut les former à cette image par la pénitence, la mortification et le renoncement, afin qu’ils L’aident à sauver les âmes immortelles. Heureuse l’âme qui trouve le courage de souffrir, qui s’approche du Sauveur dans une compassion active, et qui, comme Véronique, reçoit dans son âme l’image de l’Ecce Homo. C’est une grâce très grande. J’ai souvent supplié ardemment pour obtenir cette faveur. À chaque station, je prie avec ferveur : « Ô Marie, imprime profondément dans mon âme les plaies que Ton Fils a souffertes pour moi ! » Dieu a exaucé ma prière. Désormais, je peux contempler et ressentir les souffrances du Christ, oui, même porter en partie l’opprobre qui s’est abattu sur Lui. Dans une vision spirituelle, je comprends comment l’âme ressent les douleurs et la fièvre des plaies du Christ, et comment elle reçoit en elle le Sang du Seigneur.

Je ne sais pas si je m’exprime correctement. Mais cette participation à la souffrance et cette réception du sang me semblent être une sorte de communion. Chaque goutte devient alors protection et bouclier, réconforte et vivifie l’âme souffrante dans sa soif du salut des âmes. »

(Traduit de l’allemand : « Das heilige Messopfer – in Schauungen erlebt »).

Prions

Une dizaine du chapelet (1 Notre Père, 10 Je vous salue Marie, 1 Gloire au Père)

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les anges et tous les saints,

le corps, le sang, l’âme, la divinité, la sainte-face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les anges et de tous les saints,

de toutes les saintes messes et communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts, reposent en paix. Amen.