Les Mystères de la confiance

Méditons

La médaille miraculeuse est un sacramental pour notre temps. Elle a été révélée par le Ciel à une époque où la persécution des chrétiens, le refus de Dieu n’ont cessé de s’insinuer dans la société, de grandir et de causer la ruine des âmes. Les douze étoiles nous renvoient à la femme de l’Apocalypse, figure de l’Eglise, qui enfante au Christ dans des temps de persécution.

Aux grands maux, les grands remèdes ! Le Ciel n’est pas indifférent à notre sort et la grâce est toujours proportionnée à l’épreuve. Sainte Catherine Labouré entend une voix qui lui dit : « Faites frapper une médaille sur ce modèle. Toutes les personnes qui la porteront indulgenciée, au cou, avec confiance, et feront avec piété cette prière, jouiront d’une protection toute spéciale de la Mère de Dieu et recevront de grandes grâces. »

Pour être indulgenciée, la médaille doit être bénie par un prêtre catholique. Marie est la Mère de l’Eglise ; elle confie aux ministres de son Fils la diffusion de la médaille. Elle confie aussi aux prêtres la mission d’expliquer la symbolique de la médaille et, par ce moyen, de la faire connaitre et aimer, d’approfondir sa dévotion.

N’oublions pas que le succès de la médaille miraculeuse fut tel qu’il est l’une des causes majeures du plébiscite des évêques du monde entier qui a porté le bienheureux pape Pie IX à promulguer le dogme de l’Immaculée Conception. Vox populi, vox Dei.

Prions 

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

O Marie conçue sans péché priez pour nous qui avons recours à vous (ter).

Ô Notre Dame de la médaille miraculeuse qui avez voulu apparaître à sainte Catherine Labouré comme la médiatrice de toutes les grâces, écoutez-moi, je vous implore !

Je remets entre vos mains maternelles toutes mes intentions, tous mes intérêts spirituels et temporels. Je vous confie la grâce que j’ose solliciter de votre bonté, vous suppliant humblement d’en parler à votre divin Fils et de lui demander de m’exaucer, si cette grâce que j’implore est bien conforme à sa volonté et au bien de mon âme.

Après avoir élevé vos mains suppliantes vers le Seigneur, daignez, ô Vierge puissante, les abaisser sur moi, m’envelopper de vos rayons de grâces afin qu’à la lumière et à la chaleur de ces rayons, mon âme se dégage des choses d’ici-bas, se purifie et marche joyeusement à votre suite, jusqu’au jour où vous m’accueillerez à la porte du ciel. Amen. 

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

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