Jeunes témoins de la foi : saint Louis de Gonzague

Naissance / Mort : 9 mars 1568 – 21 juin 1591

Age : 23 ans

Fête : 21 juin

Patronage : jeunesse, étudiants, personnes atteintes du sida

Vie : Louis est un saint rayonnant de pureté. Promis aux plus brillantes destinées car il était fils de la haute aristocratie italienne, il fut d’abord page à la cour de Florence. Il avait 9 ans. Dans cette atmosphère fastueuse et corrompue des cours italiennes de la Renaissance, il répond aux dépravations qui l’entourent par un vœu de chasteté.

Il rencontre saint Charles Borromée qui lui donne sa première communion.

Envoyé à la cour de Madrid pour parfaire son expérience princière, il revient décidé à devenir jésuite. Il a 17 ans. Son père s’y oppose farouchement, mais doit se plier à la volonté inébranlable de son fils.

Novice à Rome, Louis y sera l’élève de saint Robert Bellarmin. Il multiplie les austérités au point d’avoir un mal de tête lancinant. Il étudie intensément. Sa vie spirituelle est alors douloureuse et tourmentée.

A 22 ans, il reçoit la révélation que sa vie sera brève. Cette révélation transforme sa vie spirituelle qui sera désormais plus dépouillée, plus sereine, plus abandonnée à Dieu.

En 1591, la peste ravage Rome. Louis se dévoue auprès des malades et meurt, pestiféré à son tour, à 23 ans, dans l’allégresse en s’écriant : « Quel bonheur ! »

Clément VIII le béatifie le 12 mai 1604 et le canonise le 26 avril 1726.

Il est le patron de la jeunesse. En 1991, le pape Jean-Paul II le déclare aussi patron des personnes atteintes du sida.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…).

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Eternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les Anges et tous les Saints,

le Corps, le Sang, l’Âme, la Divinité, la Sainte Face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les Anges et de tous les Saints,

de toutes les saintes Messes et Communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les Plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Eglise catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

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Jeunes témoins de la foi : sainte Thérèse de Lisieux

Naissance / Mort : 2 janvier 1873 – 30 septembre 1897

Age : 24 ans

Fête : 1er octobre

Patronage : des missions et de la France

Vie : Thérèse est la cadette des neuf enfants de Louis et Zélie Martin, béatifiés en 2008.

Elle perdit sa mère à 4 ans puis fut frappée d’une grave maladie nerveuse dont elle guérit en 1886 grâce au « sourire de la Vierge Marie ».

Reçue à Rome l’année suivante par Léon XIII, Thérèse fut autorisée à entrer à 15 ans au carmel de sa ville où elle prit le nom de Thérèse de l’Enfant Jésus et de la sainte Face. Elle prononça ses vœux en 1890 et en 1896 commença la maladie qui la porta à la mort et qui fut « une passion de l’âme. » Elle vécut la foi la plus héroïque, telle une lumière dans les ténèbres envahissant l’âme. Dans ce cadre de souffrance, elle vécut le plus grand des amours dans les choses les plus infimes de la vie quotidienne, portant à l’accomplissement sa vocation d’être l’amour au cœur de l’Église.

Thérèse meurt en disant simplement : « Mon Dieu, je vous aime. » Elle fut un de ces petits dont parle l’Évangile, qui se laissent conduire à Dieu dans la profondeur de son mystère, mais aussi un guide pour tous et en particulier pour les théologiens. Avec humilité et charité, foi et espérance, Thérèse entrait sans cesse dans l’Ecriture qui renferme le mystère du Christ. Nourrie de la science de l’amour, cette lecture biblique s’oppose à la science académique. En effet, la science des saints, dont parle la dernière page de l’Histoire d’une âme, est la science supérieure. Dans l’Évangile, elle trouva avant tout la miséricorde de Jésus. Le point final de son récit furent la confiance et l’amour, des mots qui ont éclairé son chemin de sainteté, qui ont guidé ce qu’elle appelait son petit chemin de confiance et d’amour, celui de l’enfant qui s’abandonne.

Le 6 avril 2011, Benoît XVI a brossé son portrait : « Thérèse de l’Enfant Jésus et de la sainte Face n’a vécu que 24 ans à la fin du XIX siècle. Si sa vie fut très simple et cachée, la publication de ses écrits après sa mort en fit une des saintes les plus connues et aimées. La Petite Thérèse n’a cessé d’aider les âmes les plus simples, les humbles et les pauvres, les malades qui la priaient. Mais elle a aussi éclairé l’Église entière de sa profonde doctrine, au point que Jean-Paul II lui attribua en 1997 le titre de docteur de l’Église… qui s’ajouta à celui de patronne de la Mission décerné par Pie XI en 1939… Il la définit experte en Scientia Amoris, cette science qui fait resplendir dans l’amour toute la vérité de la foi, ainsi que Thérèse l’a raconté dans son Histoire d’une âme. »

Elle a été béatifiée le 29 avril 1923 et canonisée le 17 mai 1925 par Pie XI. Saint Jean-Paul II la proclame docteur de l’Eglise le 19 octobre 1997.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…).

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Eternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les Anges et tous les Saints,

le Corps, le Sang, l’Âme, la Divinité, la Sainte Face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les Anges et de tous les Saints,

de toutes les saintes Messes et Communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les Plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

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Jeunes témoins de la foi : sainte Gemma Galgani

Naissance / Mort : 12 mars 1878 – 11 avril 1903

Age : 25 ans

Fête : 11 avril et 16 mai

Patronage : les étudiants, les pharmaciens, les malades de la tuberculose. On l’invoque dans les tentations.

Vie : Gemma Galgani n’a que 7 ans à la mort de sa mère. Après le décès de son frère, Gino, séminariste, puis celui de son père, elle est recueillie par sa tante.

Son existence est marquée par la souffrance et la maladie : ostéite aux vertèbres lombaires et otite mastoïde. Elle reste au lit semi-paralysée durant plusieurs mois. Au cours de cette période, elle lit la biographie de saint Gabriel de l’Addolorata, dont elle est très marquée. Elle est guérie en 1899 après une neuvaine à sainte Marguerite-Marie Alacoque.

Gemma souhaite se consacrer au Seigneur mais, pour diverses raisons, elle ne peut se faire religieuse cloîtrée.

Cela ne l’empêche pas de s’immerger dans la contemplation de Jésus Crucifié. Le 8 juin 1899, octave de la Fête-Dieu et veille de la fête du Sacré-Cœur, elle reçoit les stigmates, qui apparaitront du jeudi soir jusqu’à 15 heures le vendredi. Pendant un temps, ils se manifesteront presque tous les jours. Face à ceux qui doutent de l’authenticité des stigmates, le Père Germain Ruoppolo, postulateur général des Passionnistes et grand expert de mystique, prend sa défense.

Elle reçoit la visite de Jésus, de la Vierge Marie, de son ange gardien et de saint Gabriel de l’Addolorata avec qui elle s’entretient souvent. Ces entretiens sont rapportés dans sa correspondance, son Journal et son autobiographie.

Dans la dernière partie de sa courte vie, elle habite à Lucques chez les Giannini. Au mois de mai 1902, on lui diagnostique la tuberculose. Elle doit donc déménager dans un autre appartement, mais proche de celui des Giannini. Elle meurt le 11 avril 1903, un samedi saint, au moment où les cloches sonnent pour annoncer la Résurrection du Christ.

Elle est béatifiée par Pie XI, et canonisée par Pie XII qui la définit comme « l’étoile de son pontificat. »

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O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Eternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les Anges et tous les Saints,

le Corps, le Sang, l’Âme, la Divinité, la Sainte Face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

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et dans les Plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

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Jeunes témoins de la foi : bienheureuse Pierina Morosini

              

 

 

 

 

Naissance / Mort : 7 janvier 1931 – 4 avril 1957

Age : 26 ans

Fête : 6 avril

Patronage : la jeunesse, les victimes de viols, nous obtient la pureté et la chasteté

Vie : Pierina Morosini est issue d’une famille pieuse et pauvre. Soutien de famille avec sa paye d’ouvrière, elle ne peut réaliser son désir d’être religieuse mais, ayant découvert qu’elle peut devenir une sainte sans devoir entrer au couvent, elle est active dans la paroisse et dans l’Action catholique.

Pierina est, comme beaucoup de jeunes femmes de Fiobbio, ouvrière à la filature d’Albino. Elle ne quitte son village qu’une seule fois, pour assister à la béatification de Maria Goretti au Vatican en 1947. Elle la prend pour modèle et meurt, comme elle, dix ans plus tard, en 1957, en pardonnant à son agresseur.

Le 4 avril 1957, des jeunes gens provoquent Julien Schena, chômeur de vingt ans, connu des gendarmes. Ils lui disent en voyant passer Pierina : « On te donnera 5 000 lires si tu réussis à l’avoir. » À plusieurs reprises, il se poste sur son chemin et lui fait des avances qu’elle repousse fermement. Excédé, il finit par la saisir par le bras. Elle se débat, mais il la jette à terre. Pierina saisit une pierre pour se défendre ; c’est lui qui s’en empare et la tue.

Le pape Jean-Paul II la déclare bienheureuse le 4 octobre 1987.

Prions

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O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Eternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les Anges et tous les Saints,

le Corps, le Sang, l’Âme, la Divinité, la Sainte Face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les Anges et de tous les Saints,

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et dans les Plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

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Jeunes témoins de la foi : saint Kizito

Saint Kizito baptisé par saint Charles Lwanga à Munyonyo – Vitrail au sanctuaire des martyrs de Munyonyo

Naissance / Mort : 1872 – 3 juin 1886

Age : 14 ans

Fête : 3 juin

Patronage : l’Ouganda, la jeunesse

Vie : Kizito est un jeune page du roi Mwanga II.

Joseph Mukassa, le chef des pages, converti à la foi catholique par les Pères blancs, Siméon Lourdel et Léon Livinhac, évangélise ses compagnons à la cour du roi.

Le roi Mwanga, devenu hostile aux chrétiens, fait brûler vif Joseph Mukassa en 1886. Après sa mort, de nombreux catéchumènes, dont Kizito, demandent le baptême.

Le 3 juin 1886, le roi le fait brûler vif avec d’autres chrétiens. Kizito est le plus jeune du groupe des 22 martyrs de l’Ouganda. Son martyre entraîne de nombreuses conversions.

D’après le procès de canonisation, l’une des raisons de l’hostilité du roi est le refus des chrétiens de participer à des actes homosexuels.

Kizito désirait ressembler au Christen toute chose. Sur le chemin vers le lieu du supplice, lui qui n’avait que 13 ans, demanda le soutien de son aîné, saint Charles Lwanga : « donne-moi la main, j’aurai moins peur. » Et celui-ci lui répondit :  « je te prendrai par la main. Si nous devons mourir pour Jésus, nous mourons ensemble, main dans la main. »

Dans le feu, il entonna le « notre Père » repris par tous. « Au revoir mes amis, nous sommes sur le bon chemin » dit-il pour redonner du courage à tous ceux qui subissent le martyre avec lui.

Avec tous les autres, il fut béatifié le 6 juin 1920 par le pape Benoît XV et canonisé le 18 octobre 1964 par le pape Paul VI.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…).

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Eternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les Anges et tous les Saints,

le Corps, le Sang, l’Âme, la Divinité, la Sainte Face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les Anges et de tous les Saints,

de toutes les saintes Messes et Communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

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Jeunes témoins de la foi : bienheureuse Imelda Lambertini

Naissance / Mort : 1322 -12 mai 1333

Age : 11 ans

Fête : 12 mai

Patronage : les premiers communiants

Vie : Madeleine Lambertini (qui deviendra Imelda en religion) était la fille du comte Egano Lambertini et de Castora Galuzzi, son épouse. Toute petite déjà, elle était d’une grande piété, et se fabriquait de petits autels devant lesquels elle priait longuement.

Elle avait une très grande admiration pour sainte Agnès. Son plus cher désir était de recevoir la Communion mais, à cette époque, les enfants n’étaient autorisés à communier qu’à partir de 14 ans.

Par ailleurs, elle demandait instamment à ses parents de lui permettre d’intégrer le Couvent des Dominicaines de Bologne qui accueillait des enfants, lesquels n’étaient assujettis qu’à une petite partie de la règle.

Ils acceptèrent, et Madeleine entra chez les novices du Couvent de Valdipretra à l’âge de 10 ans où elle prit le nom d’Imelda.

Là, bien que n’y étant pas obligée, elle suivit la règle avec dévotion et application, suppliant les religieuses et son confesseur de la laisser communier, ce qu’ils refusèrent, puisqu’elle n’avait pas l’âge requis.

Remplie de tristesse, un jour l’enfant se rendit à la chapelle avec les sœurs. Au moment de la communion, une hostie s’éleva hors du ciboire et vint s’arrêter au-dessus de la tête d’Imelda. Le prêtre s’approcha avec la patène et la recueillit avant de la donner à l’enfant, stupéfié par le prodige dont il était témoin.

Imelda se prosterna, et quand ses sœurs vinrent la relever pour l’entraîner hors de l’église, elles la trouvèrent morte, le visage extatique.

Les restes, incorrompus, de la bienheureuse Imelda Lambertini se trouvent dans l’église Saint Sigismond à Bologne.

Elle a été béatifiée en 1826 par le pape Léon XII, et a été déclarée patronne des premiers communiants en 1910 par le pape saint Pie X qui, cette année-là, décréta que les enfants pouvaient faire leur première communion à un âge plus précoce.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…).

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Eternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les Anges et tous les Saints,

le Corps, le Sang, l’Âme, la Divinité, la Sainte Face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les Anges et de tous les Saints,

de toutes les saintes Messes et Communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les Plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Eglise catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

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Jeunes témoins de la foi : bienheureux Carlo Acutis

Naissance / Mort : 3 mai 1991 – 12 octobre 2006

Age : 15 ans

Fête : 12 octobre

Patronage : jeunesse catholique, usagers d’internet

Vie : Carlo, né à Londres où a vécu sa famille pour des motifs professionnels, commence à consolider sa foi dès l’école élémentaire, suivie à Milan. Utilisateur averti et passionné d’internet, il en fait un moyen d’évangélisation comme en témoigne l’exposition virtuelle sur les miracles eucharistique qu’il réalise à 14 ans.

« Être toujours uni à Jésus, tel est le but de ma vie », aime-t-il à dire. C’est pourquoi l’Eucharistie occupe une place centrale dans sa vie, elle est « son autoroute pour le Ciel. » Il est assidu à la prière du chapelet.

Il répète souvent : « Tous naissent comme des originaux, mais beaucoup meurent comme des photocopies. » Il vit comme tous les jeunes de son âge mais en amoureux du Christ, ce qui donne à son existence un relief particulier, y compris dans l’épreuve de la maladie.

Frappé par une leucémie foudroyante, Carlo Acutis entre dans la vie éternelle le 12 octobre 2006 en offrant ses souffrances pour le Pape et pour l’Église.

Carlo Acutis, dont le corps est retrouvé intact, repose à Assise, au sanctuaire du Dépouillement où son corps a été transféré le 6 avril 2019 après plusieurs jours de festivité auxquelles avaient assisté des milliers de personnes, signe de son rayonnement.

Carlo, qu’on appelle le « cyber-apôtre » ou « le saint patron du web » est béatifié le 10 octobre 2020 et sera canonisé lors du grand jubilé de 2025.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salu25e Marie… Gloire au Père…).

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Eternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les Anges et tous les Saints,

le Corps, le Sang, l’Âme, la Divinité, la Sainte Face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les Anges et de tous les Saints,

de toutes les saintes Messes et Communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les Plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Eglise catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

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Jeunes témoins de la foi : bienheureuse Laura Vicuña

Naissance / Mort : 5 avril 1891 – 22 janvier 1904

Age : 13 ans

Fête : 22 janvier

Patronage : enfants victimes d’abus sexuels, de violences familiales, familles à problèmes

Vie : A l’âge de trois ans, Laura perd son père. Sa mère, Mercedes, se retrouve dans la misère. Avec Laura et une autre fille, elle se rend en Argentine. A la recherche d’un travail, elle arrive aux domaines de Quilquihue, propriété de Manuel Mora. Celui-ci pousse la mère de Laura à devenir sa maîtresse en échange de l’éducation des filles.

Laura étudie à l’école Marie Auxiliatrice. Toute petite, elle se disait vouloir servir Dieu et être disposée à « donner sa vie et à ne pas commettre de péché. »

Alors qu’elle grandit, Laura est victime de violences de la part de Mora dont la dernière sera mortelle.

Avant de mourir, Laura dit à sa mère : « Maman, il y a deux ans, j’ai offert ma vie à Jésus pour toi, pour demander la grâce de ta conversion. Aurais-je la grâce de te voir repentie, avant de mourir ? »

« Je te jure que je ferais ce que tu me demandes ! Dieu est témoin de ma promesse », lui répond sa mère.

Rassurée par cette nouvelle, Laura Vicuña meurt le 22 janvier 1904 peu avant ses 13 ans.

En 1986, Laura Vicuña est déclarée Vénérable et, en 1988, le Pape Jean Paul II la proclame bienheureuse.

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1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…).

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Eternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les Anges et tous les Saints,

le Corps, le Sang, l’Âme, la Divinité, la Sainte Face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les Anges et de tous les Saints,

de toutes les saintes Messes et Communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les Plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Eglise catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

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Jeunes témoins de la foi : saint Gabriel de l’Addolorata

Vie / mort : 1er mars 1838 – 27 février 1862

Age : 24 ans

Fête : 27 février

Patronage : les novices, les séminaristes, les étudiants, la jeunesse.

Vie : Gabriel est le onzième enfant d’une famille de treize. Son nom de famille est Francesco Possenti. Il perdit sa mère à l’âge de 4 ans. Son père, juge assesseur au tribunal de Spolète, s’efforça de bien l’éduquer ainsi que ses frères et sœurs. Il fit ses études chez les Frères des Écoles chrétiennes puis chez les Jésuites de Spolète (province de Pérouse, en Ombrie).

Gabriel était coléreux et aimait paraître. Heureusement, sa dévotion envers la Très Sainte Vierge était vive.

Vers 16 ans, il tomba gravement malade. Il promit alors à Dieu de quitter le monde s’il guérissait ; une fois guéri, il oublia sa promesse. Il retomba malade et fut guéri par l’intercession du bienheureux André Bobola. La promesse qu’il avait faite d’entrer dans un ordre religieux en cas de guérison, fut encore oubliée. La mort d’une sœur, particulièrement chère, opéra un changement plus sérieux dans sa vie.

Mais une fois de plus, il oublia sa promesse d’entrer dans les ordres. Or, en 1856, lors d’une procession de la sainte Icône (Image de la Très Sainte Vierge attribuée à saint Luc), il lui parut que Marie le fixait avec une tendresse indicible et il entendit : « François, le monde n’est plus pour toi ; il te faut entrer en religion. » Le 21 septembre 1856, à 18 ans, il est admis chez les Passionnistes.

François prit alors le nom de Gabriel de l’Addolorata (ou Notre Dame des sept douleurs). Son culte à Marie, sa dévotion à l’Eucharistie, l’avaient sauvé des nombreuses embûches et tentations rencontrées.

Bien sûr, il aime toujours les siens et ses lettres le montrent soucieux de leur salut. Lui-même a contracté l’habitude d’accomplir ses actions comme si, après chacune d’elles, il devait comparaître au tribunal de Dieu. Ces actions constituent une prière ininterrompue. En digne Passionniste, il fit de la Passion du Seigneur l’objet ordinaire de ses pensées.

Il s’exerçait à la vie de perfection dans les tâches les plus humbles : fleuriste, sonneur, sacristain, infirmier.

Sa charité, exercée dès son enfance, se développa. Préparant la distribution de provisions, il disait : « La part des pauvres doit être la meilleure et encore faut-il la présenter avec beaucoup de propreté et un soin particulier. »

Mais sa charité la plus grande était « ne pas juger ne pas remarquer les défauts des autres ne pas parler des absents. »

De santé fragile, la phtisie l’atteint.

A son directeur qui le pressait de demander à Dieu sa guérison : « ô mon Père, laissez-moi plutôt demander une bonne mort. »

A la veille d’être ordonné prêtre, le 27 février 1862, le visage radieux, dans un dernier soupir, il invoque « Jésus, Marie, Joseph. »

Parmi les miracles qui survinrent, notons la guérison d’une jeune fille de Lucques, Gemma Galgani, le 13 février 1899, elle-même élevée sur les autels.

Prière de saint Gabriel de l’Addolorata : « Je crois, ô Marie, que vous êtes la Mère de tous les hommes, et que vous les avez tous reçus en la personne de Jean, selon le désir de Jésus… Je crois que vous êtes le souffle vivifiant des chrétiens et leur secours, surtout à la mort. C’est par vous que nous recevons le don sans prix de la persévérance …

Je crois que votre intercession est moralement nécessaire pour notre salut, que toutes les grâces que Dieu nous donne passent par vos mains …

Je crois que si l’on réunissait l’amour de tous les saints et de tous les anges pour ceux qui ont de la dévotion à leur égard, cet amour n’égalerait pas celui que vous portez à une seule âme. »

Il est béatifié le 31 mai 1908 par saint Pie X et canonisé le 13 mai 1913 par Benoit XV.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…).

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Eternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les Anges et tous les Saints,

le Corps, le Sang, l’Âme, la Divinité, la Sainte Face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les Anges et de tous les Saints,

de toutes les saintes Messes et Communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les Plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Eglise catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

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Jeunes témoins de la foi : saint Dominique Savio

Naissance /mort : 2 avril 1842 – 9 mars 1857

Age : 14 ans.

Fête : 9 mars.

Patronage : la jeunesse

Patronage : la jeunesse, les servants de messe, les scouts, les guides de France, les femmes enceintes

Vie : Dominique Joseph Savio fait partie de ces adolescents qui, à un âge difficile et dans un milieu frôlant la délinquance, ont fait rejaillir dans leur vie quotidienne, leur intimité avec Dieu.

Son père, forgeron, et sa mère l’éduquent dans l’obéissance et la piété. A 5 ans, il prie déjà fidèlement. On raconte que son curé le trouve un jour en prière dans la neige alors qu’il avait pris l’habitude de servir la messe (malgré sa petite taille qui l’empêchait de présenter le missel !) et que la porte était close ce matin-là. « Que fais-tu là, Minotte ? » (Dominique en dialecte) « Vous voyez, monsieur le curé, j’étais en avance, alors j’ai commencé à prier. »

C’est dans cet esprit d’adoration qu’il fait à sept ans (1849), sa première communion, soit quatre ans avant l’âge « légal ». « Ce fut le plus beau jour de ma vie », dit-il. Alors que tout le monde est sorti de l’église et qu’il y a cinq heures de cérémonie, il demeure dans la prière. Il prend alors la résolution qui nous montre sa maturité spirituelle, le zèle et la ferveur qui l’animent : « Premièrement, je me confesserai très souvent et je communierai toutes les fois que mon confesseur me le permettra. Deuxièmement je veux sanctifier les jours de fête. Troisièmement, mes amis seront Marie et Jésus. Quatrièmement, plutôt la mort que le péché. »

Il dira : « Je veux dire que je sens en moi le désir et le besoin de me faire saint : je ne croyais pas que c’était si facile : mais, maintenant que j’ai compris que l’on peut y arriver même en restant joyeux, j’y tiens absolument et j’ai absolument besoin de me faire saint. »

« C’est la volonté de Dieu que nous nous fassions tous saints, il est très facile d’y arriver, une grande récompense attend au ciel celui qui parvient à se faire saint. »

Le 8 Décembre 1854, jour de la proclamation du dogme de l’Immaculée par Pie IX, Dominique se consacre à Marie et commence à avancer rapidement vers la sainteté. En 1856 il fonde avec quelques amis de l’Oratoire la « Compagnie de l’Immaculée » pour une action apostolique de groupe.

Maman Marguerite dit de lui à don Bosco : « Tu as beaucoup de bons jeunes, mais aucun ne dépasse le beau cœur et la belle âme de Dominique Savio. » Et elle explique : « Je le vois toujours prier, restant dans l’église même après les autres ; chaque jour, il se retire de la récréation pour faire une visite au Saint-Sacrement… Il est dans l’église comme un ange qui demeure au paradis. »

Il meurt à Mondonio le 9 Mars 1857. Don Bosco en écrit la biographie, et pleure à chaque fois qu’il la relit. Sa dépouille mortelle est vénérée dans la Basilique de Marie Auxiliatrice.

Il est béatifié le 5 mars 1950 par Pie XII, qui le canonise le 12 juin 1954.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…).

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Eternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les Anges et tous les Saints,

le Corps, le Sang, l’Âme, la Divinité, la Sainte Face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les Anges et de tous les Saints,

de toutes les saintes Messes et Communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les Plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Eglise catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

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