Jésus portant la croix, Le Titien

Méditons

Dans l’épreuve, portons nos regards sur Jésus et ne le quittons pas des yeux du cœur. Il est le Dieu fort qui porte sur son épaule la croix, l’insigne de sa royauté (Is 9, 5). Oui, sous des apparences d’extrême faiblesse, il est le Dieu fort qui va jusqu’au bout de l’œuvre que le Père lui a confiée.

Sur le chemin du Calvaire, Marie est là, profondément unie à Jésus. C’est de lui, son Sauveur et son Fils, que lui vient la force de le suivre.

Comme Jésus, elle ne dit rien. A vue humaine, elle aurait toutes les raisons de craindre pour elle, pour Jésus. Pourtant, elle ne cède pas à la peur, ne cherche pas à détourner Jésus de son œuvre de rédemption. Au contraire, elle s’unit à lui et, avec lui, se donne au Père, pour notre salut.

La souffrance de Marie est féconde car fondue dans celle de Jésus. Elle est une participation à la rédemption du monde. Jésus lui donne, comme à nous, de ne pas souffrir en vain. La souffrance de celui qui a peur ne peut pas être féconde car elle lui est incompréhensible, insupportable.

Dans les épreuves, quelles qu’elles soient, soyons profondément unis à Jésus par Marie, pour ne pas succomber à la peur.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (Prière que Notre Dame de Fatima souhaite à la fin de chaque dizaine du chapelet).

O Jésus qui êtes réellement présent dans l’Eucharistie, je joins mon cœur à votre Cœur adorable, immolé en perpétuel sacrifice sur tous les autels du monde, louant le Père et implorant la venue de votre Règne, et je vous fais l’oblation totale de mon corps et de mon âme.

Daignez agréer cette humble offrande comme il vous plaira, pour la gloire de Dieu et le salut des âmes.

Sainte Mère du Ciel, ne permettez pas que je sois séparé de votre divin Fils, et gardez-moi toujours comme votre propriété. Amen. (Prière des Servantes de l’Eucharistie).

Saint Michel, archange, défendez-nous dans le com­bat, soyez notre secours contre la malice et les embuches du démon. Que Dieu lui fasse sentir son empire, nous vous le demandons en suppliant. Et vous, prince de la milice céleste, par la vertu divine, refoulez en enfer, Satan et les autres esprits mauvais qui sont répandus dans le monde pour la perte des âmes. Amen. (Léon XIII)

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen. 

Ecce Homo, Jan Mostaert,

Méditons

Lors de son arrestation, alors que Pierre tire son épée pour le défendre, Jésus dit : « Penses-tu que je ne puisse pas invoquer mon Père, qui me donnerait à l’instant plus de douze légions d’anges ? » (Mt 26, 53).

Jésus pourrait mettre fin, dans l’instant, à tous les outrages qu’on lui fait subir. Pourtant, il ne fait pas tomber la foudre du ciel. Il choisit souverainement de vivre sa passion par amour pour son Père, par amour pour les hommes.

C’est avec l’arme de l’amour qu’il endure tous les supplices. En effet, l’amour de Dieu et du prochain est une puissance qui donne de triompher dans l’épreuve. Elle est le signe de la présence de Dieu à nos côtés. C’est l’amour qui nous a créés, c’est l’amour qui nous a sauvés, c’est l’amour qui nous donne de surmonter l’épreuve.

Jésus reçoit silencieusement la torture de la couronne d’épines, invitant ceux qui le contemplent à une profonde humilité. Soyons comme lui, doux et humble de cœur (Mt 11, 29), comme Marie, une humble servante, pour ne pas craindre dans l’épreuve. Celui qui est humble ne craint pas car il est toujours prêt. L’orgueilleux, lui, ne l’est jamais et succombe à la peur.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (Prière que Notre Dame de Fatima souhaite à la fin de chaque dizaine du chapelet).

O Jésus qui êtes réellement présent dans l’Eucharistie, je joins mon cœur à votre Cœur adorable, immolé en perpétuel sacrifice sur tous les autels du monde, louant le Père et implorant la venue de votre Règne, et je vous fais l’oblation totale de mon corps et de mon âme.

Daignez agréer cette humble offrande comme il vous plaira, pour la gloire de Dieu et le salut des âmes.

Sainte Mère du Ciel, ne permettez pas que je sois séparé de votre divin Fils, et gardez-moi toujours comme votre propriété. Amen. (Prière des Servantes de l’Eucharistie).

Saint Michel, archange, défendez-nous dans le com­bat, soyez notre secours contre la malice et les embuches du démon. Que Dieu lui fasse sentir son empire, nous vous le demandons en suppliant. Et vous, prince de la milice céleste, par la vertu divine, refoulez en enfer, Satan et les autres esprits mauvais qui sont répandus dans le monde pour la perte des âmes. Amen. (Léon XIII)

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen. 

La flagellation, Rueland Frueauf

Méditons

Pendant le supplice de la flagellation, Jésus ne prononce aucune parole. Il est en paix car il accomplit la volonté de son Père à qui il veut rendre toute gloire.

Par son silence, il nous invite à n’avoir qu’une seule et unique angoisse face aux difficultés : les traverser sans être uni à lui. Si les martyrs ont réussi à dépasser leurs souffrances, c’est parce qu’ils étaient en intime communion avec Jésus, qui leur a communiqué sa force. Le martyr est une grâce avant d’être une victoire.

Quelles que soient les épreuves qui nous attendent, ne craignons pas. Dieu qui les permet, accorde aussi la grâce de les surmonter. Ne dit-il pas à saint Paul : « ma grâce te suffit, car ma puissance s’accomplit dans la faiblesse » (2 Corinthiens 12, 9). Ne craignons que d’être séparé de Jésus par nos péchés. Aussi, vivons plus mortifiés et recourrons fréquemment au sacrement de la réconciliation, le sacrement qui nous libère de la peur car il nous purifie de nos péchés.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (Prière que Notre Dame de Fatima souhaite à la fin de chaque dizaine du chapelet).

O Jésus qui êtes réellement présent dans l’Eucharistie, je joins mon cœur à votre Cœur adorable, immolé en perpétuel sacrifice sur tous les autels du monde, louant le Père et implorant la venue de votre Règne, et je vous fais l’oblation totale de mon corps et de mon âme.

Daignez agréer cette humble offrande comme il vous plaira, pour la gloire de Dieu et le salut des âmes.

Sainte Mère du Ciel, ne permettez pas que je sois séparé de votre divin Fils, et gardez-moi toujours comme votre propriété. Amen. (Prière des Servantes de l’Eucharistie).

Saint Michel, archange, défendez-nous dans le com­bat, soyez notre secours contre la malice et les embuches du démon. Que Dieu lui fasse sentir son empire, nous vous le demandons en suppliant. Et vous, prince de la milice céleste, par la vertu divine, refoulez en enfer, Satan et les autres esprits mauvais qui sont répandus dans le monde pour la perte des âmes. Amen. (Léon XIII)

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen. 

Jésus au mont des oliviers, Christian Seelbach

Méditons

Jésus éprouve la peur. Il sait que l’heure est venue de réaliser les prophéties de l’homme des douleurs, du serviteur souffrant. Il sait tout ce qu’il va endurer dans les 24 heures qui suivent.

Comme avant chacune des grandes étapes de sa vie, Jésus prie et invite les apôtres à faire de-même. Il leur recommande de ne pas compter sur leurs propres forces mais de s’en remettre à Dieu dont la puissance nous soutient dans les difficultés. C’est après une prière ardente que Jésus cesse d’avoir peur, qu’il se redresse et fait face aux soldats qui approchent.

Les apôtres s’endorment. Tous cèdent à la peur et s’enfuient. Pierre, va même jusqu’à renier Jésus par trois fois.

Pour savoir qui a veillé et prié avec Jésus, regardons vers le Calvaire, au pied de la Croix : il y a Marie, Jean, Marie d’Alphée, Marie de Cléophas et quelques autres personnes. De tous les disciples, ce sont les plus faibles, ceux que personne n’aurait imaginé affronter le danger et suivre Jésus jusqu’au bout. Saint Paul écrit : « c’est quand je suis faible que je suis fort » (2 Corinthiens 12, 10). En effet, parce qu’ils se savent faibles et vulnérables, les derniers fidèles de Jésus s’en remettent à Dieu d’où vient, comme une grâce insigne, leur héroïsme !

Voulons-nous ne plus connaitre la peur, alors défions-nous de nous-mêmes et confions-nous à Dieu. Oui, faisons ce que Jésus nous recommande : « veillons et prions » (Mathieu 26, 41).

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (Prière que Notre Dame de Fatima souhaite à la fin de chaque dizaine du chapelet).

O Jésus qui êtes réellement présent dans l’Eucharistie, je joins mon cœur à votre Cœur adorable, immolé en perpétuel sacrifice sur tous les autels du monde, louant le Père et implorant la venue de votre Règne, et je vous fais l’oblation totale de mon corps et de mon âme.

Daignez agréer cette humble offrande comme il vous plaira, pour la gloire de Dieu et le salut des âmes.

Sainte Mère du Ciel, ne permettez pas que je sois séparé de votre divin Fils, et gardez-moi toujours comme votre propriété. Amen. (Prière des Servantes de l’Eucharistie).

Saint Michel, archange, défendez-nous dans le com­bat, soyez notre secours contre la malice et les embuches du démon. Que Dieu lui fasse sentir son empire, nous vous le demandons en suppliant. Et vous, prince de la milice céleste, par la vertu divine, refoulez en enfer, Satan et les autres esprits mauvais qui sont répandus dans le monde pour la perte des âmes. Amen. (Léon XIII)

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen. 

Ecce homo, Jan Mostaert

Méditons

A Lourdes, Marie dit à Bernadette : « je ne vous promets pas de vous rendre heureuse en ce monde mais dans l’autre. » Elle rappelle par ces mots que le bonheur n’est pas de ce monde et que les épreuves ne peuvent nous être épargnées. Elles ne le furent pas à Jésus, à Marie, et le serviteur n’est pas plus grand que le maître : si Jésus, Dieu fait homme, a connu l’épreuve de la Passion, si le Cœur Immaculé de Marie a été transpercé par un glaive de douleurs, comment pourrions-nous vouloir nous dérober à la souffrance ?

Les mystères douloureux nous enseignent à ne pas craindre dans les épreuves et nous révèlent le moyen de les surmonter : rester profondément unis à Jésus, veiller et prier avec lui, plus encore, le laisser prier en nous. C’est ce qu’ont fait, au péril de leur vie, ceux qui lui sont restés fidèles jusqu’au pied de la croix.

« Tout est grâce » nous dit sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus et de la sainte-Face, peu de temps avant de mourir de tuberculose, maladie qui la fit mourir d’étouffement. Oui, tout est grâce, y compris les souffrances de cette vie !

Par la petite Thérèse, qui en mourant promit de passer son ciel à faire du bien sur la terre, demandons la grâce d’être préservés de la peur quoi qu’il advienne.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (Prière que Notre Dame de Fatima souhaite à la fin de chaque dizaine du chapelet).

O Jésus qui êtes réellement présent dans l’Eucharistie, je joins mon cœur à votre Cœur adorable, immolé en perpétuel sacrifice sur tous les autels du monde, louant le Père et implorant la venue de votre Règne, et je vous fais l’oblation totale de mon corps et de mon âme.

Daignez agréer cette humble offrande comme il vous plaira, pour la gloire de Dieu et le salut des âmes.

Sainte Mère du Ciel, ne permettez pas que je sois séparé de votre divin Fils, et gardez-moi toujours comme votre propriété. Amen. (Prière des Servantes de l’Eucharistie).

Saint Michel, archange, défendez-nous dans le com­bat, soyez notre secours contre la malice et les embuches du démon. Que Dieu lui fasse sentir son empire, nous vous le demandons en suppliant. Et vous, prince de la milice céleste, par la vertu divine, refoulez en enfer, Satan et les autres esprits mauvais qui sont répandus dans le monde pour la perte des âmes. Amen. (Léon XIII)

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen. 

La résurrection de Lazare

Méditons

« Tout concourt au bien de ceux qui aiment Dieu », nous dit Saint Paul (Romains 8, 28). Ce à quoi saint François de Sales ajoute que Dieu permet ou ordonne tout ce qui nous arrive. En effet, dans la perspective du salut, tout ce qui nous arrive de bien ou de mal, a un sens, une utilité, et sert à nous rendre dignes de la vie éternelle.

C’est ainsi que Jésus permet la maladie, la mort de son ami Lazare. Curieuse façon de traiter un ami, me direz-vous ! Pourtant, Jésus se sert de la mort et du retour à la vie de Lazare, pour l’édification de beaucoup, y compris des apôtres. Suite à ce miracle, selon les mots-mêmes de l’évangéliste, beaucoup crurent en Jésus. D’un mal apparent, Jésus tire un plus grand bien. La maladie et la mort de Lazare devaient, selon les paroles de Jésus, « servir à montrer la puissance de Dieu et la gloire de son Fils » (Jean 11, 4).

Jésus ne devance jamais nos désirs. Il attend l’intervention des deux sœurs, Marthe et Marie, pour manifester sa toute-puissance. C’est en réponse à leur foi, qu’il accomplit le miracle. Marthe confesse : « Oui, je le crois : tu es le Christ, le Fils de Dieu » (Jean 11, 27).

Quoi qu’il advienne, ne craignons pas. Nous ne serons pas éprouvés au-delà de nos forces et rien ne nous arrivera qui n’ait son utilité pour la gloire de Dieu et le salut des âmes. Gardons toujours confiance en Jésus qui nous aime.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (Prière que Notre Dame de Fatima souhaite à la fin de chaque dizaine du chapelet).

O Jésus qui êtes réellement présent dans l’Eucharistie, je joins mon cœur à votre Cœur adorable, immolé en perpétuel sacrifice sur tous les autels du monde, louant le Père et implorant la venue de votre Règne, et je vous fais l’oblation totale de mon corps et de mon âme.

Daignez agréer cette humble offrande comme il vous plaira, pour la gloire de Dieu et le salut des âmes.

Sainte Mère du Ciel, ne permettez pas que je sois séparé de votre divin Fils, et gardez-moi toujours comme votre propriété. Amen. (Prière des Servantes de l’Eucharistie).

Saint Michel, archange, défendez-nous dans le com­bat, soyez notre secours contre la malice et les embuches du démon. Que Dieu lui fasse sentir son empire, nous vous le demandons en suppliant. Et vous, prince de la milice céleste, par la vertu divine, refoulez en enfer, Satan et les autres esprits mauvais qui sont répandus dans le monde pour la perte des âmes. Amen. (Léon XIII)

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen. 

La multiplication des pains, Ambrosius Franken

Méditons

La puissance de Jésus, s’exerce sur toute la Création. Il l’a prouvé par nombre de signes, de miracles, dont la multiplication des pains.

Une foule nombreuse est rassemblée, ils sont environ 5000 hommes. L’apôtre Philippe dit, « le salaire de plus de deux cents journées ne suffirait pas pour que chacun reçoive un peu de pain » (Jean 6, 7). Jésus, qui a pitié de cette foule, veut les nourrir et dit aux apôtres « pour les mettre à l’épreuve : où pourrions-nous acheter du pain pour qu’ils aient à manger ? » (Jean 6, 5). C’est alors que Jésus bénit cinq pains d’orge et deux poissons donnés par un jeune garçon. Ils suffiront à nourrir tout le monde. Il y aura même des restes.

Tout ce qui nous arrive est permis par Jésus, pour que nous apprenions à nous fier à lui et soyons, par lui, rendus dignes de la vie éternelle. Son amour pour nous est si grand que, dans sa miséricorde, il veut nous imputer le mérite de toutes les bonnes œuvres qu’il nous donne de pouvoir réaliser. Aussi, il ne fait pas apparaitre, sortis du néant, tout ce qu’il faut pour nourrir la foule, mais multiplie les 5 pains, les deux poissons donnés par le jeune garçon, et les fait distribuer par les apôtres.

Dans son amour, Jésus ne veut pas faire les choses à notre place mais rendre fécond ce que nous faisons pour l’amour de lui et du prochain.

N’ayons toujours qu’une seule crainte : celle d’être trop raisonnable et ainsi de passer à côté d’une occasion de faire le bien.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (Prière que Notre Dame de Fatima souhaite à la fin de chaque dizaine du chapelet).

O Jésus qui êtes réellement présent dans l’Eucharistie, je joins mon cœur à votre Cœur adorable, immolé en perpétuel sacrifice sur tous les autels du monde, louant le Père et implorant la venue de votre Règne, et je vous fais l’oblation totale de mon corps et de mon âme.

Daignez agréer cette humble offrande comme il vous plaira, pour la gloire de Dieu et le salut des âmes.

Sainte Mère du Ciel, ne permettez pas que je sois séparé de votre divin Fils, et gardez-moi toujours comme votre propriété. Amen. (Prière des Servantes de l’Eucharistie).

Saint Michel, archange, défendez-nous dans le com­bat, soyez notre secours contre la malice et les embuches du démon. Que Dieu lui fasse sentir son empire, nous vous le demandons en suppliant. Et vous, prince de la milice céleste, par la vertu divine, refoulez en enfer, Satan et les autres esprits mauvais qui sont répandus dans le monde pour la perte des âmes. Amen. (Léon XIII)

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen. 

Jésus marche sur les eaux, François Boucher

Méditons

Encore une fois, le bateau sur lequel se trouvent les apôtres est pris dans la tourmente (Matthieu 14, 24-33). Jésus vient à eux en marchant sur les eaux : « confiance ! C’est moi, n’ayez pas peur ! » (Mathieu 14, 27). Pierre, le plus hardi, demande à Jésus : « Seigneur, si c’est bien toi, ordonne-moi de venir vers toi sur les eaux » (Mathieu 14, 28). Jésus le lui ordonne. Pierre marche alors sur les eaux. Mais voyant la force du vent, il est saisi par la peur. Il commence alors à s’enfoncer dans l’eau. Jésus le sauve et fait tomber le vent. Il lui alors : « Homme de peu de foi, pourquoi as-tu douté ? »

Tant que Pierre fixe son regard sur Jésus et lui fait confiance, il marche sur les eaux. Il s’enfonce quand il commence à considérer la violence des puissances adverses et décroche son regard de Jésus.

La peur n’honore pas Dieu car elle témoigne d’un manque de foi. Ecoutons Jésus s’adresser à nous à travers Pierre : « Hommes et femmes de peu de foi, pourquoi doutez-vous de moi ? »

Dans les épreuves, demeurons fermes dans la foi et persévérants dans la prière.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (Prière que Notre Dame de Fatima souhaite à la fin de chaque dizaine du chapelet).

O Jésus qui êtes réellement présent dans l’Eucharistie, je joins mon cœur à votre Cœur adorable, immolé en perpétuel sacrifice sur tous les autels du monde, louant le Père et implorant la venue de votre Règne, et je vous fais l’oblation totale de mon corps et de mon âme.

Daignez agréer cette humble offrande comme il vous plaira, pour la gloire de Dieu et le salut des âmes.

Sainte Mère du Ciel, ne permettez pas que je sois séparé de votre divin Fils, et gardez-moi toujours comme votre propriété. Amen. (Prière des Servantes de l’Eucharistie).

Saint Michel, archange, défendez-nous dans le com­bat, soyez notre secours contre la malice et les embuches du démon. Que Dieu lui fasse sentir son empire, nous vous le demandons en suppliant. Et vous, prince de la milice céleste, par la vertu divine, refoulez en enfer, Satan et les autres esprits mauvais qui sont répandus dans le monde pour la perte des âmes. Amen. (Léon XIII)

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen. 

La pêche miraculeuse, école flamande

Méditons

Pierre, un pécheur rodé, passe pour un expert dans son domaine. Pourtant, il s’en revient bredouille de sa dernière pêche. Et ce n’est pas faute d’avoir besogné !

Or, voilà que Jésus, charpentier de son état, qui n’y connait rien à la pêche, lui demande de jeter à nouveau les filets. Pierre s’exécute et le miracle se produit. Les filets sont pleins à craquer. La pêche est si bonne, que Pierre en est saisi de frayeur : « Seigneur éloigne-toi de moi car je suis pécheur » (Luc 5, 9). Et Jésus de répondre : « n’aie pas peur, désormais tu seras pécheur d’hommes » (Luc, 5, 10).

En vue de sa future mission de « pécheur d’hommes », Pierre doit apprendre à se fier à Jésus et uniquement à lui. La foi s’oppose parfois à ce qui est raisonnable et Jésus se plait à éprouver notre confiance en lui. Les miracles ne sont pas donnés pour faire naitre la foi mais ils sont une réponse à notre foi. Si nous ne voulons pas peiner en vain, il nous faut nous reposer sur le Seigneur, qui donnera son fruit à notre travail.

Faisons comme Pierre : sur la parole du Seigneur, jetons les filets. C’est selon notre foi, notre confiance que Jésus donnera sa fécondité à nos efforts et nous gardera de la peur.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (Prière que Notre Dame de Fatima souhaite à la fin de chaque dizaine du chapelet).

O Jésus qui êtes réellement présent dans l’Eucharistie, je joins mon cœur à votre Cœur adorable, immolé en perpétuel sacrifice sur tous les autels du monde, louant le Père et implorant la venue de votre Règne, et je vous fais l’oblation totale de mon corps et de mon âme.

Daignez agréer cette humble offrande comme il vous plaira, pour la gloire de Dieu et le salut des âmes.

Sainte Mère du Ciel, ne permettez pas que je sois séparé de votre divin Fils, et gardez-moi toujours comme votre propriété. Amen. (Prière des Servantes de l’Eucharistie).

Saint Michel, archange, défendez-nous dans le com­bat, soyez notre secours contre la malice et les embuches du démon. Que Dieu lui fasse sentir son empire, nous vous le demandons en suppliant. Et vous, prince de la milice céleste, par la vertu divine, refoulez en enfer, Satan et les autres esprits mauvais qui sont répandus dans le monde pour la perte des âmes. Amen. (Léon XIII)

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

La tempête apaisée, Eugêne Delacroix

Méditons

Les apôtres sont embarqués avec Jésus quand survient une tempête. Elle est si violente que le bateau est près de chavirer. Pendant que les apôtres font face au déchainement des vagues, Jésus dort comme si de rien était. Terrorisés, les apôtres réveillent le Maître, qui ordonne au vent de se calmer.

Qui pourrait imaginer dormir sereinement alors qu’il se trouve en pleine tempête ? Personne, hormis Jésus ! La tempête est une épreuve pour les apôtres et Jésus attend qu’ils le sollicitent pour manifester sa puissance. Rien ne leur arrivera s’ils restent unis à lui.

Parfois, les vagues de la vie menacent de nous emporter et de faire sombrer notre existence. Jésus semble absent, ne pas répondre à nos prières. Comme les apôtres, nous lui disons alors : « Maître, nous sommes perdus : cela ne te fait rien ? » (Marc 4, 38).

Par cette tempête apaisée, Jésus nous montre qu’il est toujours à nos côtés, même si les apparences sont contraires, et qu’il peut arrêter le mal qui nous menace si nous le lui demandons en toute confiance.

Demeurons dans l’humilité et recourons sans cesse à la prière ; en plus de nous sauver au milieu des catastrophes, elle nous donnera de ne pas être conduits en zone de tempête.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (Prière que Notre Dame de Fatima souhaite à la fin de chaque dizaine du chapelet).

O Jésus qui êtes réellement présent dans l’Eucharistie, je joins mon cœur à votre Cœur adorable, immolé en perpétuel sacrifice sur tous les autels du monde, louant le Père et implorant la venue de votre Règne, et je vous fais l’oblation totale de mon corps et de mon âme.

Daignez agréer cette humble offrande comme il vous plaira, pour la gloire de Dieu et le salut des âmes.

Sainte Mère du Ciel, ne permettez pas que je sois séparé de votre divin Fils, et gardez-moi toujours comme votre propriété. Amen. (Prière des Servantes de l’Eucharistie).

Saint Michel, archange, défendez-nous dans le com­bat, soyez notre secours contre la malice et les embuches du démon. Que Dieu lui fasse sentir son empire, nous vous le demandons en suppliant. Et vous, prince de la milice céleste, par la vertu divine, refoulez en enfer, Satan et les autres esprits mauvais qui sont répandus dans le monde pour la perte des âmes. Amen. (Léon XIII)

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.