Méditons
Dès que Jésus fut baptisé, il remonta de l’eau, et voici que les cieux s’ouvrirent : il vit l’Esprit de Dieu descendre comme une colombe et venir sur lui. Et des cieux, une voix disait : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui je trouve ma joie. » (Matthieu 3, 16-17).
Le Père renouvelle ces paroles à chaque baptême où l’Esprit-Saint vient habiter en nos âmes et nous communiquer la vie même de Dieu.
Sur la médaille miraculeuse, Marie porte une robe blanche, symbole de pureté. C’est la robe blanche des noces, la tenue de baptême, qu’il nous faut garder sans tâche et dans laquelle il nous faut nous présenter à Dieu à notre mort pour avoir part au banquet des noces de l’Agneau.
Marie est immaculée par pure grâce mais elle est grande aux yeux de Dieu parce qu’elle a gardé intacte le don reçu et même l’a fait fructifier. C’est toute pure qu’elle est entrée dans ce monde ; c’est plus pure encore qu’elle l’a quitté et parée des mérites de toute une vie donnée à Dieu. Personne, plus que Marie, n’est digne de porter la tenue blanche des noces, celle du baptême, celle qui configure au Christ ressuscité, celle qui permet de s’s’assoir à la table du banquet céleste.
O Marie, conçue sans péché, Notre Dame de la médaille miraculeuse, donnez-nous de vous imiter dans votre fidélité aux promesses du baptême.
Prions
1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)
O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.
O Marie conçue sans péché priez pour nous qui avons recours à vous (ter).
Ô Notre Dame de la médaille miraculeuse qui avez voulu apparaître à sainte Catherine Labouré comme la médiatrice de toutes les grâces, écoutez-moi, je vous implore !
Je remets entre vos mains maternelles toutes mes intentions, tous mes intérêts spirituels et temporels. Je vous confie la grâce que j’ose solliciter de votre bonté, vous suppliant humblement d’en parler à votre divin Fils et de lui demander de m’exaucer, si cette grâce que j’implore est bien conforme à sa volonté et au bien de mon âme.
Après avoir élevé vos mains suppliantes vers le Seigneur, daignez, ô Vierge puissante, les abaisser sur moi, m’envelopper de vos rayons de grâces afin qu’à la lumière et à la chaleur de ces rayons, mon âme se dégage des choses d’ici-bas, se purifie et marche joyeusement à votre suite, jusqu’au jour où vous m’accueillerez à la porte du ciel. Amen.
Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.
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