Le Crucifiement

« J’ai soif » (Jean 19, 28).

La soif de Jésus n’est pas que physique. Sa soif de notre salut est plus grande encore. Lorsqu’il prononce ces mots, Jésus est sur le point de mourir. Cette parole sonne comme la clause ultime de son testament. A sainte Marguerite-Marie Alacoque, il explique le sens profond de ces mots : «  J’ai soif, je brûle du désir d’être aimé. » Oui, Jésus a soif de notre amour.

L’annonce de l’Evangile n’est pas une option mais un devoir d’amour envers Jésus, qui est mort et ressuscité pour nous, qui nous fait confiance jusqu’à remettre entre nos misérables mains l’avenir du monde. Il connait nos faiblesses, l’inconstance de nos cœurs, et pourtant, il nous choisit et nous envoie pour lui amener les âmes dont il a soif du salut.

Ne l’abreuvons pas du vinaigre de la déception !

Unissons-nous à Marie, debout dans la foi. Par ses larmes, demandons un grand amour de Dieu et du prochain.

Prions

Une dizaine du chapelet

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer, conduisez au Ciel toutes les âmes surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles trépassés reposent en paix. Amen.

Vous pouvez télécharger les méditations de ce rosaire sur le site de la Paroisse La Croix glorieuse de Strasbourg : https://www.croix-glorieuse.org/devotions

Laisser un commentaire