Lecteur :
Nous vous saluons, O Notre Dame, présente aux noces de Cana où vous suscitez le premier miracle de Jésus, qui aide les serviteurs et les invités aux noces à croire en Lui, le seul Sauveur des hommes.
En méditant votre exemple, nous apprenons de vous à présenter à Dieu nos soucis, nos difficultés dans une confiance toute filiale, en nous abandonnant à sa miséricorde.
Par la prodigalité du miracle, vous nous apprenez à faire confiance au Seigneur, même dans les jours les plus sombres car il est maître de toute chose et son plan est toujours meilleur que le nôtre.
En demandant aux serviteurs de faire tout ce que Jésus leur demandera, vous les invitez à mettre leur confiance en Jésus, à s’en remettre entièrement à Lui, dans la foi qu’Il est vraiment l’envoyé du Père.
En demandant aux serviteurs de faire tout ce que Jésus dira, vous nous invitez aussi à vous imiter car personne, plus que vous, n’a écouté les paroles de Jésus et les a mises en pratique. En effet, la toute première à faire tout ce que Jésus dit, c’est vous, qui joignez ainsi l’exemple à la parole.
Aux noces de Cana, vous vous révélez à nous comme notre mère, attentive à tous nos besoins, qu’ils soient matériels ou spirituels. Non seulement, vous pourvoyez au nécessaire des noces, le vin, mais vous aidez aussi les serviteurs à croire en Jésus, le Verbe de Dieu, qui a pris chair en votre sein très pur.
Tous :
Nous vous remercions, O Notre Dame, d’être une Mère aussi prévenante et attentive à tous nos besoins. Vous intervenez sans cesse auprès de Jésus, pour que la tristesse cède le pas à la joie de croire, pour que, dans la monotonie du quotidien, le vin de la foi, de l’espérance, de la charité nous aide à faire tout ce que Jésus nous demandera.
Le cœur contrit, nous vous demandons pardon pour toutes les fois où nous n’avons pas défendu votre maternité divine, nous rendant ainsi complices de ceux qui vous dénient les titres de Mère de Dieu, de Mère des hommes et de Mère de l’Eglise.
Nous vous demandons pardon au nom et pour ceux qui les mettent en doute ou amènent d’autres à les rejeter.
Par les mérites infinis du Cœur Sacré de Jésus, unis aux mérites de votre Cœur Douloureux et Immaculé, en union avec saint Joseph et tous les Saints, nous prions la Très Sainte Trinité qui est Père, Fils et Esprit-Saint, pour la conversion de tous les pauvres pécheurs.
Une dizaine du chapelet
O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer, conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.
Mon Dieu, je crois, j’adore, j’espère et je Vous aime. Je Vous demande pardon pour ceux qui ne croient pas, qui n’adorent pas, qui n’espèrent pas et qui ne Vous aiment pas.
Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.