Le Couronnement de Marie

Contemplons

Méditons

Le Roi des rois couronne sa Mère Immaculée. La Mère du Sauveur participe au triomphe de son Fils, vrai Homme et vrai Dieu. La voilà, avec Lui, Reine des reines, dans une gloire sans fin.

C’est Elle qui nous a donné Jésus. C’est elle qui Lui a donné son corps et son sang, que nous recevons dans la communion. L’Eglise, dans sa liturgie eucharistique, ne cesse de louer le Sauveur né de la Vierge Marie : « Salut, vrai corps, né de la Vierge Marie » (Ave verum), « Chante, ô ma langue, le mystère du glorieux corps et du sang précieux que répandit pour le rachat du monde le Roi des nations, fruit de nobles entrailles… Il nous a été donné, Il nous est né de la Vierge sans souillure » (Pange lingua). Le bienheureux pape Pie XI l’a rappelé par les mots : « Le Corps du Christ qui nous sert de nourriture est ce même corps que la Vierge a mis au monde. »

C’est donc par la communion que nous atteignons l’union la plus intime avec notre Reine, notre Mère, puisque le Sang du Sauveur, qui est aussi le sien, vient purifier et fortifier nos âmes. Pour sa plus grande joie et la plus grande gloire de Dieu, nous pouvons donc lui répéter sans cesse : « Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. » 

Marie, Notre Dame de l’Eucharistie, apprenez-nous à nous nourrir du pain du ciel que vous avez donné au monde, afin de participer un jour avec vous au « festin des noces de l’Agneau » (Apocalypse 19, 9).

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde (Prière que Notre Dame de Fatima souhaite à la fin de chaque dizaine du chapelet).

O Jésus qui êtes réellement présent dans l’Eucharistie, je joins mon cœur à votre Cœur adorable, immolé en perpétuel sacrifice sur tous les autels du monde, louant le Père et implorant la venue de votre Règne, et je vous fais l’oblation totale de mon corps et de mon âme.

Daignez agréer cette humble offrande comme il vous plaira, pour la gloire de Dieu et le salut des âmes.

Sainte Mère du Ciel, ne permettez pas que je sois séparé de votre divin Fils, et gardez-moi toujours comme votre propriété. Amen. (Prière des Servantes de l’Eucharistie).

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen. 

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