La rencontre avec la Samaritaine

Méditons

A la Samaritaine, Jésus dit : « Si tu savais le don de Dieu et qui est celui qui te demande à boire » (Jean 4, 10). Oui, si nous savions le don de Dieu, nos vies en seraient transformées…

Marie contemple son Jésus comme si elle avait tellement pénétré les desseins de Dieu, qu’elle se rend compte dans une mesure bien plus grande que nous, de toute l’ampleur du don de Dieu en Jésus-Christ, qui s’est livré pour notre salut.

Le Saint-Esprit a comblé Marie de bien plus de lumières que nous. Cependant, il ne lui a été révélé qu’une petite partie des desseins de Dieu car elle aussi devait traverser cette vie dans l’obscurité de la foi. Cela dit, personne, plus qu’elle, n’a réalisé toute l’ampleur du don de Dieu. On pourrait presque croire en la regardant, qu’en cet instant de douleur, il lui est donné de le réaliser plus encore, qu’elle en est submergée par la reconnaissance et l’émotion.

Pour cette raison, elle n’a de plus grand désir que de nous le faire connaitre. Aussi, semble-t-elle vouloir nous inviter à l’écouter quand elle murmure à nos cœurs toute la vie de Jésus. Elle semble aussi vouloir nous tendre le corps de Jésus, pour que nous l’aimions, croyions en lui et le lassions nous mener au salut qu’il nous a conquis sur le Calvaire.

Marie, Notre-Dame de Marienthal, recevez-moi comme votre enfant et donnez-moi de me laisser émouvoir par l’amour de Jésus.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Sainte Marie, Mère de Dieu, gardez-moi un cœur d’enfant, pur et transparent comme une source. Obtenez-moi un cœur simple qui ne savoure pas les tristesses, un cœur magnifique à se donner, tendre à la compassion, un cœur fidèle et généreux qui n’oublie aucun bienfait et ne tienne rancune d’aucun mal. Faites-moi un cœur doux et humble, aimant sans demander de retour, joyeux de s’effacer dans un autre cœur devant votre divin Fils, un cœur grand et indomptable qu’aucune ingratitude ne ferme, qu’aucune indifférence ne lasse, un cœur tourmenté de la gloire de Jésus-Christ, blessé de son amour et dont la plaie ne guérisse qu’au ciel. Amen. (Léonce de Grandmaison)

Je vous salue, Joseph, vous que la grâce divine a comblé, le Sauveur a reposé dans vos bras et grandi sous vos yeux, vous êtes béni entre tous les hommes et Jésus, l’Enfant divin de votre virginale épouse, est béni. Saint Joseph, donné pour père au Fils de Dieu, priez pour nous dans nos soucis de famille, de santé, de travail, jusqu’à nos derniers jours, et daignez nous secourir à l’heure de notre mort. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

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