Le Saint Sacrifice de la Messe selon les Visions de frère Kostka

Les anges gardiens des célébrants

Frère Kostka : « Je vois que l’ange gardien du prêtre célébrant se tient toujours à sa gauche, vêtu d’une sorte d’habit de lévite, pour l’assister.

Sa tâche est de suppléer aux manquements du prêtre pendant la sainte Messe, que ces fautes proviennent de sa faiblesse humaine ou de sa négligence.

Il entoure son protégé d’une sollicitude touchante, le porte pour ainsi dire dans ses bras.

Il lui dégage le passage en toute circonstance, lui inspire de bonnes pensées, afin que l’acte sacrificiel soit agréable à Dieu.

Parce qu’il voit le Souverain Prêtre éternel agir en la personne du prêtre célébrant, l’ange estime le saint ministère et la dignité sacerdotale d’une manière bien différente de celle des simples fidèles.

La meilleure des mères ne peut servir son enfant avec autant de prévenance que l’ange gardien en témoigne à son protégé.

L’ange gardien du célébrant veille aussi à ce qu’aucune parcelle de la substance eucharistique ne soit pas profanée.

C’est pourquoi il recueille aussitôt les particules et, parfois (si telle est la volonté divine) il les porte à une âme malade qui soupire après la communion sans pouvoir la recevoir. »

À des moments décisifs, selon le témoignage de l’Écriture sainte, les esprits célestes interviennent effectivement dans le destin des peuples. Ainsi, l’archange Gabriel apparut au prophète Daniel et l’instruisit sur le sort du peuple élu : « Dès le premier jour où tu as eu à cœur de comprendre et de t’humilier devant ton Dieu, tes paroles ont été entendues : c’est à cause de tes paroles que je suis venu… L’ange du royaume de Perse m’a résisté pendant vingt et un jours, mais Michel, l’un des premiers anges, est venu à mon aide. Moi, je l’ai laissé avec l’ange (ange gardien) des rois de Perse. » (Dn 10, 12) A Fatima, l’ange s’est présenté aux enfants comme l’ange gardien du Portugal.

Frère Kostka : « Lors du chemin de croix du Seigneur, l’Écriture rapporte : «  Simon de Cyrène est réquisitionné pour porter la croix (Mt 27, 32-33 ; Mc 15, 20-22 ; Lc 23, 26). Le Christ s’adresse aux femmes en pleurs : « Ne pleurez pas sur moi, mais sur vous et sur vos enfants »,  annonçant ainsi les événements à venir (Lc 23, 27-31). Deux malfaiteurs sont crucifiés avec Lui (Lc 23, 32). La tradition chrétienne a ajouté au chemin de croix la rencontre de Jésus avec sa Mère et les trois chutes sous la croix. »

(Traduit de l’allemand : « Das heilige Messopfer – in Schauungen erlebt »).

Prions

Une dizaine du chapelet (1 Notre Père, 10 Je vous salue Marie, 1 Gloire au Père)

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les anges et tous les saints,

le corps, le sang, l’âme, la divinité, la sainte-face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les anges et de tous les saints,

de toutes les saintes messes et communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts, reposent en paix. Amen.

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