Le Saint Sacrifice de la Messe selon les Visions de frère Kostka

La Très Sainte Trinité selon les descriptions de Frère Kostka

La Très Sainte Trinité selon les descriptions de Frère Kostka

La grâce d’une Révélation

Frère Kostka : « Mon père avait une très grande dévotion envers la Sainte Trinité. À la prière du repas, il ajoutait toujours un Notre Père en l’honneur de la Trinité et du Saint-Esprit. De mes jeunes années date aussi ma propre vénération et ma foi vive en le mystère de la Sainte Trinité. C’est en quelque sorte un héritage de l’éducation pieuse que j’ai reçue, le fruit des pratiques dévotes de mes bons parents. »

Comment tout a commencé

Frère Kostka : « Par ma vénération, mon inclination profonde, mon attirance, le mystère de la Sainte Trinité m’a été ouvert dès mon jeune âge. Parfois, je percevais une lumière spirituelle, mais elle ne m’était pas encore visible de façon constante comme aujourd’hui. Ce n’est pas par curiosité ni par spéculation intellectuelle que je suis entré plus profondément dans ce mystère, mais par la grâce de Dieu.

J’en conclus que, lors de l’enseignement du catéchisme sur la Sainte Trinité, je n’ai rien entendu de nouveau.

En fait, par la grâce intérieure qui m’a illuminé, j’avais déjà progressé bien au-delà de ce que pouvait transmettre l’enseignement extérieur. Le vicaire ne pouvait donc rien m’apprendre de plus. Depuis le décret sur la communion fréquente, l’intuition intérieure s’est amplifiée et rendue plus lumineuse.

Mais à cette époque, je ne possédais pas encore de vision constante. Toutefois, l’entrée dans cet état nouveau, cette lumière plus vive, et une vénération plus intense envers ce très saint mystère, produisirent une impression très profonde dans mon âme.

Ce changement remonte probablement à l’année 1906… daté d’après ma profession perpétuelle.

Je n’ai jamais révélé cet état. Je suis resté seul avec moi-même et guidé intérieurement par Dieu.

La pratique fidèle de l’examen de conscience et, surtout, le fait de vivre constamment en présence de Dieu m’ont beaucoup aidé à recevoir cette faveur divine.

Je n’ai jamais réfléchi sur cette grâce, ni cherché à la conceptualiser. Comme un enfant, j’ai tout simplement accueilli les choses. »

Lumière et feu comme révélation symbolique

Nous avons déjà parlé à plusieurs reprises de cette merveilleuse vision intérieure, et mis par écrit plusieurs détails.

Il était difficile pour le Frère Kostka d’exprimer en mots tous les processus spirituels et les mystères inexprimables, car chaque mot humain n’est qu’une ombre de la réalité, donc inadéquat. Il m’était également difficile d’ordonner les mystères de notre foi selon les visions du frère.

En réponse à quelques questions précises, notamment sur la manière dont il percevait la Trinité dans la lumière et le feu, il s’exprima comme suit.

Mais ces questions éveillèrent en lui un sentiment un peu douloureux : il craignait que je ne cherche à le mettre à l’épreuve. Cette incertitude, le doute que je l’ai bien compris, lui causa un certain malaise, mais aussi l’impulsion de s’ouvrir en ces quelques mots :

« Cette nuit, j’ai à peine dormi, et je dois vous dire ceci : J’ai toujours reconnu et adoré la Sainte Trinité dans cette lumière mystérieuse. Par respect et à cause de ma misère, je n’ai jamais révélé cette grâce à personne. »

En disant cela, Frère Kostka s’agenouilla et prononça ces mots d’une voix légèrement tremblante. Il ajouta encore : « Je ne trouve pas la paix tant que je ne l’ai pas dit. »

Prions

Une dizaine du chapelet (1 Notre Père, 10 Je vous salue Marie, 1 Gloire au Père)

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Père Éternel, par le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur Sacré de Jésus, nous vous offrons 33 000 fois avec tous les anges et tous les saints,

le corps, le sang, l’âme, la divinité, la sainte-face, l’amour eucharistique, toutes les blessures, larmes, souffrances de votre très cher Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ que nous aimons tant,

en union avec les douleurs, les larmes, l’amour de la Très-Sainte-Vierge Marie,

les mérites de tous les anges et de tous les saints,

de toutes les saintes messes et communions passées, présentes, futures,

les saints rosaires et autres prières,

et dans les plaies de Jésus-Christ notre propre néant avec Lui, en Lui et par Lui,

pour la conversion des pauvres pécheurs, en réparation des péchés du monde entier, pour la sainte Église catholique, le Saint-Père, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les consacrés, les pauvres âmes du purgatoire, les malades, les agonisants et toutes les personnes qui nous ont été recommandées. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts, reposent en paix. Amen.

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