La Résurrection

Lecteur :

Nous vous saluons, O Notre Dame, dans votre joie du matin de Pâques.

Jésus, votre Fils, que vous avez vu mourir dans des souffrances affreuses sur le gibet de la Croix, est ressuscité comme Il l’avait annoncé.

« Détruisez ce temple, avait-il prophétisé, et je le rebâtirai en trois jours. » Le temple dont il parlait, c’est son corps.

Jésus est le premier-né d’entre les morts, celui par qui nous avons part à une vie nouvelle de fils et de filles de Dieu.

Comme le chante la liturgie de la vigile pascale : « Dieu qui nous a créés d’une manière admirable, nous a rachetés d’une manière encore plus admirable. » Si bien, qu’avec toute l’Eglise, nous ne pouvons que nous écrier : « O bienheureuse faute qui nous a valu un tel Sauveur. »

L’un des premiers dons de Jésus ressuscité à ses Apôtres est celui de l’Esprit-Saint. En effet, dans le Cénacle, après leur avoir donné sa paix, il leur communique l’Esprit-Saint, en leur disant : « recevez l’Esprit-Saint. Ceux à qui vous remettrez les péchés, ils leur seront remis, ceux à qui vous les retiendrez, ils leur seront retenus. » (Jean 20, 22).

Jésus leur confère le pouvoir de remettre, en son nom, les péchés de tous ceux qui s’en repentent.

Ainsi, la miséricorde infinie de Jésus se répand sans cesse sur le monde entier par la médiation du ministère sacerdotal, notamment à travers le sacrement de pénitence.

A vous, Marie, Jésus n’a eu aucun péché à pardonner car, non seulement vous avez été préservée de la faute originelle mais, en plus, jamais le péché n’a eu d’emprise sur vous. Jamais vous n’avez cédé à la moindre tentation de pécher et jusqu’à votre dernier souffle, votre âme est restée immaculée.

Il n’en est pas de même de ceux, qui vous dénient ou même combattent votre Immaculée Conception, cette vérité divinement révélée par l’Esprit-Saint, élevée au niveau de dogme de foi par le bienheureux pape Pie IX et transmise par toute la Tradition de l’Eglise catholique. Nier ou rejeter ce dogme de foi, c’est résister à l’Esprit-Saint, qui guide infailliblement son Eglise et lui révèle toute la plénitude de l’enseignement de Jésus quand les temps sont mûrs et à mesure de l’avancée de la théologie.

Tous :

Nous vous remercions, O Notre Dame, de vous être rendue disponible au plan d’amour et de Salut du Seigneur et de l’avoir accepté par votre « oui » le jour l’Annonciation, votre « oui » que vous avez renouvelé chaque jour de votre vie et d’une manière aussi totale qu’admirable, sous la croix du vendredi-saint.

Votre Immaculée Conception est déjà la promesse de la résurrection de Jésus et le premier fruit de la rédemption. En votre Immaculée Conception, nous contemplons et admirons déjà la promesse de notre propre Salut.

Aussi, le cœur contrit, nous vous demandons pardon pour tous ceux, qui refusent de vous reconnaître ce don incomparable du Seigneur.

En rejetant cette distinction, on pèche contre l’Esprit-Saint qui l’a révélée et on résiste à la grâce, s’exposant à ne pas trouver de pardon ni en cette vie ni en l’autre selon les mots mêmes de Jésus (Matthieu 12, 31-32).

Aussi, nous vous demandons pardon au nom, et pour ceux qui mettent en doute, combattent ou amènent d’autres à nier votre Immaculée Conception. Nous vous demandons aussi pardon pour toutes les fois où nous ne l’avons pas défendue, nous rendant ainsi complices de ceux qui vous la dénient.

Par les mérites infinis du Cœur Sacré de Jésus, unis aux mérites de votre Cœur Douloureux et Immaculé, en union avec saint Joseph et tous les Saints, nous prions la Très Sainte Trinité qui est Père, Fils et Esprit-Saint, pour la conversion de tous les pauvres pécheurs.

Une dizaine du chapelet

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer, conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Mon Dieu, je crois, j’adore, j’espère et je Vous aime. Je Vous demande pardon pour ceux qui ne croient pas, qui n’adorent pas, qui n’espèrent pas et qui ne Vous aiment pas.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

La mort de Jésus sur la croix

Lecteur :

Nous vous saluons, O Notre Dame, Mère douloureuse au pied de la Croix de Jésus.

Excepté Jean, Marie-Madeleine et quelques femmes, vous êtes seule à ne pas abandonner Jésus, vous livrant en victime avec Lui et pour son amour, aux rejets, aux imprécations, aux blasphèmes, aux affronts, qui lui sont faits jusque sur la Croix et jusqu’au dernier instant de son agonie.

En effet, les souffrances de Jésus n’apaisent pas la haine de ses ennemis ; au contraire, l’amour, la douceur, le pardon qu’il leur oppose ne contribuent qu’à l’aviver.

Malgré cela et même si cela doit vous exposer aux mêmes mauvais traitements que Lui, Jésus, qui n’est qu’amour, nous confie à vous. IL vous demande de nous traiter comme vos enfants, de voir en chacun de nous une âme rachetée par son amour et par son sang, versé au sommet du Calvaire, avec vous au pied de la Croix.

En saint Jean, son disciple bien-aimé, Jésus nous demande de vous recevoir comme mère et de nous soumettre à votre douce autorité maternelle.

Le refus d’accueillir l’amour de Jésus n’a jamais cessé et c’est tous les jours, que Jésus est offensé, outragé, repoussé, combattu dans son amour pour nous, notamment dans ce qu’Il a de plus sensible, l’Eucharistie.

C’est tous les jours que l’amour de Jésus est repoussé à travers vous qu’on outrage dans vos saintes images.

Tous :

Nous vous remercions, O Notre Dame, de nous recevoir comme vos enfants.

Nous sommes la cause des souffrances de Jésus, votre Fils, que vous aimez plus que vous-même et pourtant, pour son amour et à sa demande, vous nous accueillez comme des enfants blessés.

Vous nous menez à Jésus pour recevoir de Lui, non seulement le pardon mais aussi la vie en plénitude, qu’il nous a acquise par le sacrifice de la Croix.

Aussi, nous vous demandons pardon pour toutes les fois où nous nous sommes rendus complices, par le silence, de ceux qui vous offensent dans vos saintes images.

Nous vous demandons aussi pardon au nom et pour ceux-là mêmes, qui vous outragent dans vos représentations et entraînent d’autres à les imiter.

Par les mérites infinis du Cœur Sacré de Jésus, unis aux mérites de votre Cœur Douloureux et Immaculé, en union avec saint Joseph et tous les Saints, nous prions la Très Sainte Trinité qui est Père, Fils et Esprit-Saint, pour la conversion de tous les pauvres pécheurs.

Une dizaine du chapelet

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer, conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Mon Dieu, je crois, j’adore, j’espère et je Vous aime. Je Vous demande pardon pour ceux qui ne croient pas, qui n’adorent pas, qui n’espèrent pas et qui ne Vous aiment pas.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

Le portement de la croix

Lecteur :

Nous vous saluons, O Notre Dame, présente sur le chemin de Croix de Jésus, l’aidant, le soutenant par votre présence et l’offrande de vous-même au Père en union avec lui.

Nous vous saluons, O Notre Dame, présente sur le chemin de croix de chaque homme, de chaque femme, en bonne samaritaine, prête à venir au secours de toute détresse.

En chacun de vos enfants souffrants, vous reconnaissez Jésus portant sa Croix, une âme pour laquelle Il a accepté de s’offrir et de vivre sa Passion.

Votre Cœur douloureux et immaculé ne saurait se fermer à une voix, qui crie vers vous sa douleur, réclame votre aide et votre intercession.

En vous, par vous, tous les accablés retrouvent la force de continuer leur chemin de sanctification, pour le mener jusqu’à son terme. N’êtes-vous pas la consolatrice des affligés ?

Si Jésus, le bon Samaritain, se fait Simon de Cyrène pour nous et porte la plus grande part de nos fardeaux, vous êtes celle, qui nous enseignez à ne pas nous dérober à notre croix. Au contraire, vous apprenez à l’embrasser avec amour car elle est autant le moyen par lequel nous prouvons notre amour de Dieu, que la source du Salut pour beaucoup d’âmes.

Tous :

Nous vous remercions, O Notre Dame, d’être une Mère aussi secourable pour tous ceux qui souffrent et nous remercions Dieu de vous avoir donné tant de puissance dont vous usez pour notre Salut.

Le don de votre amour est si précieux sur notre chemin de Salut, qu’il est criminel de ne pas vous faire connaître et aimer, pire, d’inspirer aux âmes l’indifférence, voire la haine envers vous.

Aussi, nous vous demandons pardon pour ceux qui rejettent l’exemple, que vous nous donnez et cherchent à en priver les autres.

Nous vous demandons pardon, notamment au nom et pour ceux qui, dans leur folie et leur ingratitude, cherchent publiquement à mettre dans le cœur des enfants l’indifférence ou le mépris, ou même la haine à votre égard.

Nous vous demandons pardon et voulons vous aimer davantage pour réparer tant d’ingratitude.

Par les mérites infinis du Cœur Sacré de Jésus, unis aux mérites de votre Cœur Douloureux et Immaculé, en union avec saint Joseph et tous les Saints, nous prions la Très Sainte Trinité qui est Père, Fils et Esprit-Saint, pour la conversion de tous les pauvres pécheurs.

Une dizaine du chapelet

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer, conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Mon Dieu, je crois, j’adore, j’espère et je Vous aime. Je Vous demande pardon pour ceux qui ne croient pas, qui n’adorent pas, qui n’espèrent pas et qui ne Vous aiment pas.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

Le couronnement d’épines

Lecteur :

Nous vous saluons, O Notre Dame, Reine au service du Royaume de Dieu, Reine si grande car si humble.

Partout où règne Jésus, vous êtes la Reine incontestée de tous ses sujets, mettant votre puissance à leur service pour les mener en toute sécurité vers le Royaume de Dieu.

Comme Jésus, vous ne régnez pas par la force mais par la puissance de votre amour miséricordieux, cherchant à gagner les cœurs plutôt qu’à les soumettre.

Parce que le Royaume de Dieu ne s’impose pas mais qu’il s’offre à ceux qui l’accueillent, nous sommes aussi en mesure de le repousser, voire de le combattre.

C’est ce qu’a fait la foule haineuse du Vendredi-Saint, qui hurle à la face de Jésus : « que son sang retombe sur nous et sur nos enfants » (Matthieu 27, 25). C’est ce qu’ont les soldats, qui couronnent Jésus d’épines, tournent sa royauté en dérision, crachent sur lui et profèrent contre lui les plus odieux blasphèmes.

Tous :

Nous vous remercions, O Notre Dame, d’être pour nous une Reine aussi humble que puissante et toujours au service de notre Salut.

Nous vous remercions d’agir envers nous en Mère aimante, qui, malgré nos ingratitudes, nous guide vers le port du Salut.

Le cœur contrit, nous vous demandons pardon pour toutes les fois où nous n’avons pas défendu votre virginité perpétuelle, nous rendant ainsi complices de ceux, qui refusent de vous reconnaitre comme la Mère Dieu, la Vierge, qui a donné au monde, le Verbe éternel fait chair, l’Agneau sans tache qui enlève les péchés du monde.

Nous vous demandons pardon au nom et pour ceux qui rejettent cette vérité de foi, la   mettent en doute ou amènent d’autres à la rejeter.

Par les mérites infinis du Cœur Sacré de Jésus, unis aux mérites de votre Cœur Douloureux et Immaculé, en union avec saint Joseph et tous les Saints, nous prions la Très Sainte Trinité qui est Père, Fils et Esprit-Saint, pour la conversion de tous les pauvres pécheurs.

Une dizaine du chapelet

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer, conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Mon Dieu, je crois, j’adore, j’espère et je Vous aime. Je Vous demande pardon pour ceux qui ne croient pas, qui n’adorent pas, qui n’espèrent pas et qui ne Vous aiment pas.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

La Flagellation

Lecteur :

Nous vous saluons, O Notre Dame, Mère douloureuse et affligée.

Vous entendez la foule ingrate et oublieuse des bienfaits de Jésus, réclamer sa mort à Pilate, qui le condamne, par lâcheté, à être flagellé.

Vous voyez les bourreaux s’acharner sur Jésus et son Précieux Sang se répandre de ses très nombreuses plaies.

Chacun des coups portés sur le corps de Jésus trouve sa résonance dans votre Cœur douloureux et immaculé qui, au lieu de se fermer à tant de souffrances, continue de se donner, dans l’union d’amour avec Jésus, au Père, pour nous tous, qui sommes pourtant la cause, par nos péchés, de tant de douleur.

En enfantant Jésus, l’Agneau sans tache, qui enlève les péchés du monde, vous n’avez enduré aucune souffrance et sa naissance n’a pas lésé votre virginité. Au contraire, elle l’a consacrée.

Mais pour nous enfanter, nous, à la vie divine, il vous a fallu endurer le plus grand sacrifice qu’une mère puisse apporter : celui d’accepter de donner en rançon pour les plus ingrats de ses fils, le meilleur d’entre eux.

Par cette offrande, vous devenez notre Mère au prix du plus douloureux des enfantements.

Tous :

Nous vous remercions, O Notre Dame, pour la part que vous avez accepté de prendre à la Passion pour la gloire de Dieu et le Salut du monde.

En suivant Jésus jusqu’au bout de sa Passion, vous êtes devenue notre Mère, ce dont nous vous remercions et remercions Dieu.

Le cœur contrit, nous vous demandons pardon pour toutes les fois où nous n’avons pas défendu votre maternité divine, nous rendant ainsi complices de ceux, qui vous dénient les titres de Mère de Dieu, de Mère des hommes et de Mère de l’Eglise.

Nous vous demandons pardon au nom et pour ceux qui les mettent en doute ou amènent d’autres à les rejeter.

Par les mérites infinis du Cœur Sacré de Jésus, unis aux mérites de votre Cœur Douloureux et Immaculé, en union avec saint Joseph et tous les Saints, nous prions la Très Sainte Trinité qui est Père, Fils et Esprit-Saint, pour la conversion de tous les pauvres pécheurs.

Une dizaine du chapelet

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer, conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Mon Dieu, je crois, j’adore, j’espère et je Vous aime. Je Vous demande pardon pour ceux qui ne croient pas, qui n’adorent pas, qui n’espèrent pas et qui ne Vous aiment pas.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

L’Agonie au Gethsemani

Lecteur :

Nous vous saluons, O Notre Dame, dans vos sept douleurs, et vénérons votre Cœur si doux, transpercé du glaive prophétisé par Siméon le jour de la présentation de Jésus au Temple.

Vous êtes la Mère de Jésus, l’Agneau sans tache, qui s’est livré aux mains des pécheurs pour leur Salut. Sa vie, nul ne la prend mais c’est lui qui la donne. Jésus, ayant aimé les siens, il les a aimés jusqu’au bout et n’a rien épargné pour leur témoigner son amour.

Il est le Bon Pasteur, celui qui donne sa vie pour ses brebis. Il est aussi bien le Prêtre que la Victime, car c’est Lui qui s’offre au Père pour sa gloire et le Salut du monde ; mais il est aussi la Victime car il est le Seul à pouvoir présenter au Père une offrande qui soit digne de Lui.

Par Jésus, avec Lui et en Lui, vous nous avez aimés jusqu’au bout et vous êtes offerte au Père, en union avec Jésus, Lui  redisant, au plus profond de la douleur, votre « oui » à sa volonté, à son plan de Salut sur nous tous.

Si Jésus est seul à pouvoir offrir au Père un sacrifice qui soit digne de Lui, vous êtes la seule, car immaculée, à pouvoir vous unir aussi pleinement à la Passion de Jésus, à en recueillir les fruits pour nous en faire bénéficier.

Tous :

Nous vous remercions, O Notre Dame, de votre offrande de vous-même au Père, en union avec celle de Jésus dans sa Passion, pour la gloire de Dieu et le Salut de toutes les âmes.

Votre Immaculée Conception est déjà un premier fruit des mérites surabondants, que Jésus s’est acquis dans sa Passion et nous remercions Dieu de vous en avoir fait la grâce pour notre Salut à tous.

Devant la grandeur de ce mystère, du don qu’il renferme, et le cœur contrit, nous vous demandons pardon pour toutes les fois où nous n’avons pas défendu votre Immaculée Conception, ce privilège unique, nous rendant ainsi complices de ceux, qui vous le dénient.

Nous vous demandons aussi pardon au nom, et pour ceux qui le mettent en doute, le combattent ou amènent d’autres à le nier.

Par les mérites infinis du Cœur Sacré de Jésus, unis aux mérites de votre Cœur Douloureux et Immaculé, en union avec saint Joseph et tous les Saints, nous prions la Très Sainte Trinité qui est Père, Fils et Esprit-Saint, pour la conversion de tous les pauvres pécheurs.

Une dizaine du chapelet

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer, conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Mon Dieu, je crois, j’adore, j’espère et je Vous aime. Je Vous demande pardon pour ceux qui ne croient pas, qui n’adorent pas, qui n’espèrent pas et qui ne Vous aiment pas.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

L’institution de l’Eucharistie

Lecteur :

Nous vous saluons, O Notre Dame, Mère de Jésus, le pain vivant, qui est descendu du Ciel, vous qui avez donné à Jésus la chair, qu’il nous donne à manger afin que nous n’ayons plus jamais faim.

En instituant l’Eucharistie, le mémorial de sa Passion, Jésus se donne Lui-même comme nourriture afin de nous transfuser sa vie divine et nous mener à sa résurrection.

L’Eucharistie est le don de l’amour incommensurable de Jésus. En ce don, il nous manifeste son amour. Rien ne saurait surpasser le don, qui nous est fait dans ce sacrement par lequel Jésus « est avec nous tous les jours jusqu’à la fin du monde. » (Matthieu 28, 20)

A ce don gratuit du Seigneur de Lui-même dans l’Eucharistie, nous ne devrions répondre que par l’amour et l’adoration la plus profonde.

Or, nous nous laissons aller à bien de l’indifférence, de la tiédeur voire des outrages ou des blasphèmes comme le révèle la prière de l’ange : « Très Sainte Trinité, Père, Fils et Esprit-Saint, je vous adore profondément et je vous offre les très précieux corps, sang, âme et divinité de votre Fils, Notre Seigneur Jésus-Christ, présent dans tous les tabernacles de la terre en réparation des outrages, blasphèmes, sacrilèges et indifférences par lesquels, il est Lui-même offensé. Par les mérites infinis de son Sacré-Cœur, unis aux mérites du Cœur Immaculé de Marie, je vous demande la conversion de tous les pauvres pécheurs. »

Comme Jésus, votre Fils bien-aimé, qui est outragé dans le sacrement de son amour pour nous, l’Eucharistie, vous n’êtes pas épargnée et outragée dans vos saintes images, les témoignages, et de vos bontés à notre égard et de l’amour reconnaissant de vos enfants.

Tous :

Nous vous remercions, O Notre Dame, de votre amour pour nous, qui, à l’exemple de celui de Jésus-Eucharistie, loin de se lasser des outrages qui lui sont faits, ne cesse d’appeler les pauvres pécheurs, qui ne savent ce qu’ils font, à la conversion, et nous-mêmes, pécheurs pardonnés, à prier pour eux.

Aussi, nous vous demandons pardon pour eux et pour toutes les fois où nous nous sommes rendus complices, par le silence, de ceux qui vous offensent dans vos saintes images.

Nous vous demandons aussi pardon au nom et pour ceux-là mêmes, qui vous outragent dans vos représentations et entraînent d’autres à les imiter.

Par les mérites infinis du Cœur Sacré de Jésus, unis aux mérites de votre Cœur Douloureux et Immaculé, en union avec saint Joseph et tous les Saints, nous prions la Très Sainte Trinité qui est Père, Fils et Esprit-Saint, pour la conversion de tous les pauvres pécheurs.

Une dizaine du chapelet

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer, conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Mon Dieu, je crois, j’adore, j’espère et je Vous aime. Je Vous demande pardon pour ceux qui ne croient pas, qui n’adorent pas, qui n’espèrent pas et qui ne Vous aiment pas.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

La Transfiguration

Lecteur :

Nous vous saluons, O Notre Dame, vous dont la gloire et la splendeur immaculées sont cachées sous les oripeaux de votre humble condition. Rien, dans votre apparence, ne révèle toute la grâce dont le Très-Haut vous a comblée et vous vous présentez comme la dernière des servantes du Seigneur.

De sa gloire, Jésus, non plus, ne laissait rien transparaître. Ce n’est qu’à Pierre, Jacques et Jean qu’Il la manifestera, quelques instants, sur le mont Thabor, juste avant sa Passion, afin de les fortifier dans l’épreuve qu’ils allaient traverser avec Lui.

Sa gloire était telle, que les trois Apôtres n’avaient jamais rien vu de pareil : son visage était brillant comme le soleil, son vêtement d’une blancheur telle qu’elle est sans égale en ce monde.

Par sa Transfiguration, Jésus nous enseigne à poser un regard de foi sur toute chose et à considérer nos actions dans la perspective de sa résurrection et de l’éternité bienheureuse.

Tout ce qui est fait en union avec Jésus, jusqu’aux choses les plus insignifiantes au regard de ce monde, est porteur de fruits éternels et sera transfiguré par sa gloire présente.

C’est ainsi que vous, O Notre Dame, l’humble servante du Seigneur, êtes révélée aujourd’hui, dans l’éternité, dans toute la gloire, qui vous vient de votre Fils.

Tous :

Nous vous remercions, O Notre Dame, d’être pour nous un exemple aussi lumineux et digne d’être suivi.

En vous, en votre gloire présente, nous voyons un encouragement à persévérer dans le bien malgré les difficultés inhérentes à la vie chrétienne.

Aussi, nous vous demandons pardon pour ceux, qui rejettent l’exemple que vous nous donnez et cherchent à en priver les autres.

Nous vous demandons pardon et voulons vous aimer davantage pour réparer tant d’ingratitude de la part de ceux, qui dans leur folie, cherchent publiquement à mettre dans le cœur des enfants l’indifférence ou le mépris, ou même la haine à votre égard.

Par les mérites infinis du Cœur Sacré de Jésus, unis aux mérites de votre Cœur Douloureux et Immaculé, en union avec saint Joseph et tous les Saints, nous prions la Très Sainte Trinité qui est Père, Fils et Esprit-Saint, pour la conversion de tous les pauvres pécheurs.

Une dizaine du chapelet

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer, conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Mon Dieu, je crois, j’adore, j’espère et je Vous aime. Je Vous demande pardon pour ceux qui ne croient pas, qui n’adorent pas, qui n’espèrent pas et qui ne Vous aiment pas.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

L’appel à la conversion

Lecteur :

Nous vous saluons, O Notre Dame, la première de tous les disciples de Jésus.

Vous êtes la Mère de Jésus parce que vous l’avez conçu, porté dans votre sein pendant neuf mois, parce que vous l’avez nourri et élevé.

Mais vous l’êtes plus encore parce que vous avez écouté ses paroles, les méditant dans votre Cœur et les avez mises en pratique.

Si c’est  par une grâce insigne, que vous avez conçu Jésus dans votre sein très pur, c’est par la méditation persévérante de son enseignement et l’imitation de son exemple que le Verbe divin a véritablement été conçu en votre Cœur Immaculé.

A ceux, qui seraient tentés de limiter votre mérite au seul fait d’être sa Mère selon la nature, Jésus répond que, plus encore que par la nature, vous êtes sa mère, parce que vous avez écouté sa parole et l’avez mise en pratique.

Votre gloire, O Marie, ne vient pas avant tout de ce que vous avez été comblée de grâce mais de ce que vous avez conservé et fait fructifier ce don en participant, par votre consécration, votre prière, votre exemple, à l’annonce du Royaume de Dieu.

Tous :

Nous vous remercions, O Notre Dame, d’être pour nous un exemple, qui nous entraîne dans la foi et nous amène, non seulement à écouter les paroles de Jésus mais aussi à les mettre en pratique, à vivre les béatitudes dans l’aridité de notre quotidien.

Par l’écoute, la méditation, la mise en pratique de l’Evangile, nous intégrons la famille de Dieu. Nous devenons les frères de Jésus, en qui nous sommes les fils et les filles du Père, et vos enfants.

Le cœur contrit, nous vous demandons pardon pour toutes les fois où nous n’avons pas défendu votre virginité perpétuelle, nous rendant ainsi complices de ceux, qui refusent de vous reconnaitre comme la Mère Dieu, la Vierge, qui a donné au monde, le Verbe éternel fait chair, l’Agneau sans tache qui enlève les péchés du monde.

Nous vous demandons pardon au nom et pour ceux qui rejettent cette vérité de foi, la   mettent en doute ou amènent d’autres à la rejeter.

Par les mérites infinis du Cœur Sacré de Jésus, unis aux mérites de votre Cœur Douloureux et Immaculé, en union avec saint Joseph et tous les Saints, nous prions la Très Sainte Trinité qui est Père, Fils et Esprit-Saint, pour la conversion de tous les pauvres pécheurs.

Une dizaine du chapelet

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer, conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Mon Dieu, je crois, j’adore, j’espère et je Vous aime. Je Vous demande pardon pour ceux qui ne croient pas, qui n’adorent pas, qui n’espèrent pas et qui ne Vous aiment pas.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

Les Noces de Cana

Lecteur :

Nous vous saluons, O Notre Dame, présente aux noces de Cana où vous suscitez le premier miracle de Jésus, qui aide les serviteurs et les invités aux noces à croire en Lui, le seul Sauveur des hommes.

En méditant votre exemple, nous apprenons de vous à présenter à Dieu nos soucis, nos difficultés dans une confiance toute filiale, en nous abandonnant à sa miséricorde.

Par la prodigalité du miracle, vous nous apprenez à faire confiance au Seigneur, même dans les jours les plus sombres car il est maître de toute chose et son plan est toujours meilleur que le nôtre.

En demandant aux serviteurs de faire tout ce que Jésus leur demandera, vous les invitez à mettre leur confiance en Jésus, à s’en remettre entièrement à Lui, dans la foi qu’Il est vraiment l’envoyé du Père.

En demandant aux serviteurs de faire tout ce que Jésus dira, vous nous invitez aussi à vous imiter car personne, plus que vous, n’a écouté les paroles de Jésus et les a mises en pratique. En effet, la toute première à faire tout ce que Jésus dit, c’est vous, qui joignez ainsi l’exemple à la parole.

Aux noces de Cana, vous vous révélez à nous comme notre mère, attentive à tous nos besoins, qu’ils soient matériels ou spirituels. Non seulement, vous pourvoyez au nécessaire des noces, le vin, mais vous aidez aussi les serviteurs à croire en Jésus, le Verbe de Dieu, qui a pris chair en votre sein très pur.

Tous :

Nous vous remercions, O Notre Dame, d’être une Mère aussi prévenante et attentive à tous nos besoins. Vous intervenez sans cesse auprès de Jésus, pour que la tristesse cède le pas à la joie de croire, pour que, dans la monotonie du quotidien, le vin de la foi, de l’espérance, de la charité nous aide à faire tout ce que Jésus nous demandera.

Le cœur contrit, nous vous demandons pardon pour toutes les fois où nous n’avons pas défendu votre maternité divine, nous rendant ainsi complices de ceux qui vous dénient les titres de Mère de Dieu, de Mère des hommes et de Mère de l’Eglise.

Nous vous demandons pardon au nom et pour ceux qui les mettent en doute ou amènent d’autres à les rejeter.

Par les mérites infinis du Cœur Sacré de Jésus, unis aux mérites de votre Cœur Douloureux et Immaculé, en union avec saint Joseph et tous les Saints, nous prions la Très Sainte Trinité qui est Père, Fils et Esprit-Saint, pour la conversion de tous les pauvres pécheurs.

Une dizaine du chapelet

O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer, conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Mon Dieu, je crois, j’adore, j’espère et je Vous aime. Je Vous demande pardon pour ceux qui ne croient pas, qui n’adorent pas, qui n’espèrent pas et qui ne Vous aiment pas.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.