Récits complémentaires

Méditons

Le 17 août 1835, une religieuse suisse déjà prévenue de beaucoup d’autres grâces extraordinaires, voit Notre-Seigneur, assis sur un trône de gloire, après la sainte Communion, tenant en main un glaive.

Où vas-tu, et que cherches-tu ? lui demanda-t-il.

0 Jésus ! lui répondit-elle, je vais à vous, et c’est vous seul que je cherche.

Où me cherches-tu, en quoi et par qui ?

Seigneur, c’est en moi que je vous cherche, dans votre sainte volonté et par Marie.

Ici Notre-Seigneur disparut, et la religieuse, revenue à elle-même, réfléchit sur les paroles du Sauveur, lorsque lui apparait la très sainte Vierge toute resplendissante et toute débonnaire. Elle tient en main une médaille où est gravée son effigie avec l’inscription : 0 Marie, conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous. Et des faisceaux de rayons sortent de ses mains.

Ces rayons, lui dit Marie, sont le symbole des grâces que j’obtiens aux hommes.

Elle retourne la médaille où la religieuse voit la lettre M surmontée d’une petite croix, et au bas les saints Cœurs de Jésus et de Marie.

Porte cette médaille, lui dit alors la Reine des cieux, et tu jouiras de ma protection toute spéciale. Aie soin, que tous ceux qui se trouvent dans quelque besoin la portent aussi, qu’on s’efforce de la leur procurer. Prépare-toi, car je te la mettrai moi-même à la fête de mon bien-aimé serviteur Bernard ; aujourd’hui je la laisse dans tes mains.

La Sainte Vierge lui reproche ensuite d’avoir laissé égarer cette médaille et de ne pas s’être mise en peine de la chercher. La religieuse avoue en effet que la médaille lui a été donnée dans le mois de juillet, et que, l’ayant perdue, elle n’a pas pensé à la chercher, parce qu’elle la regardait comme une médaille ordinaire, ne connaissant nullement ni son origine, ni ses effets avant cette vision ; ce que le supérieur de la communauté atteste et certifie lui-même.

La très sainte Vierge remplit sa promesse, et le 20 du même mois, fête de saint Bernard, elle lui met au cou la médaille qu’elle lui a déjà mise entre les mains. Il lui est recommandé en même temps de la porter avec respect, de réciter souvent l’Invocation et de s’appliquer à la pratique des vertus de l’Immaculée.

Pendant sa retraite (août 1836), elle voit tous les jours la médaille comme suspendue dans les airs. D’abord elle lui apparait très élevée, brillante par moments comme le soleil, et puis comme l’or pur ; ensuite moins haute, et seulement comme en argent ; enfin, fort près de terre, et simplement comme en cuivre.

La religieuse est dans l’admiration, sans cependant comprendre ce que signifie la représentation de ces diverses médailles, jusqu’à ce que, pendant l’office des vêpres, elle en reçoit l’explication.

Une voix, pleine de douceur, qu’elle ne peut pas reconnaître, lui demande quelle est celle des médailles qu’elle préfère ? Elle répond que c’est la plus brillante ; et la même voix, la félicitant du choix qu’elle a fait, lui dit que la médaille brillante comme le soleil est celle des chrétiens fidèles qui, en la portant, honorent parfaitement Marie et contribuent à procurer sa gloire. La médaille en or est celle des personnes pieuses qui ont une dévotion tendre et filiale envers Marie, mais en qui elle est renfermée dans leur cœur, sans qu’elles contribuent beaucoup à faire honorer cette divine Mère. La médaille en argent est celle de toutes les personnes qui la portent avec respect et dévotion, mais qui manquent parfois de constance et de générosité dans l’imitation des vertus de Marie. Enfin la médaille qui lui apparut comme en cuivre, est celle de quiconque, se contentant de lui adresser des prières, sans se mettre en peine de marcher sur ses traces, demeure ainsi tristement attaché à la terre.

La même voix lui ajoute encore que, comme il y a cependant une espèce d’union particulière entre ces diverses personnes marquées, pour ainsi parler, du sceau précieux de Marie Immaculée, elles doivent toutes s’entraider mutuellement d’une manière toute spéciale par la prière, afin que, par ce puissant secours, les troisièmes puissent relever les dernières, les secondes soutenir les troisièmes, et que les premières attirent ainsi heureusement toutes les autres.

Ces apparitions sont rapportées par l’abbaye Notre-Dame-des-Ermites à Einsiedeln en Suisse.

Prions 

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

O Marie conçue sans péché priez pour nous qui avons recours à vous (ter).

Ô Notre Dame de la médaille miraculeuse qui avez voulu apparaître à sainte Catherine Labouré comme la médiatrice de toutes les grâces, écoutez-moi, je vous implore !

Je remets entre vos mains maternelles toutes mes intentions, tous mes intérêts spirituels et temporels. Je vous confie la grâce que j’ose solliciter de votre bonté, vous suppliant humblement d’en parler à votre divin Fils et de lui demander de m’exaucer, si cette grâce que j’implore est bien conforme à sa volonté et au bien de mon âme.

Après avoir élevé vos mains suppliantes vers le Seigneur, daignez, ô Vierge puissante, les abaisser sur moi, m’envelopper de vos rayons de grâces afin qu’à la lumière et à la chaleur de ces rayons, mon âme se dégage des choses d’ici-bas, se purifie et marche joyeusement à votre suite, jusqu’au jour où vous m’accueillerez à la porte du ciel. Amen. 

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

https://www.youtube.com/channel/UC0Va9VhE_C2EMUaWwJtv8Og?view_as=subscriber

 

Las apôtres de la Médaille Miraculeuse

Méditons

Parmi ceux qui, les premiers, éprouvèrent l’efficacité de la foi à travers la médaille donnée par la Vierge Marie, on peut citer  Mgr de Quélen qui, après une minutieuse enquête sur les faits affirmés, en devient un propagateur convaincu. Il obtient personnellement des guérisons inespérées.

Le Pape Grégoire XVI a la médaille à la tête de son lit.

En 1833, saint Jean-Gabriel Perboyre, lazariste, relate la guérison miraculeuse, attribuée à la médaille, d’un confrère. Une fois arrivé en Chine, où il mourra martyr en 1839, il distribue beaucoup de médailles et rapporte de nombreux miracles dans ses lettres.

En 1833, le bienheureux Frédéric Ozanam porte la médaille lorsqu’il fonde, à Paris, les Conférences de Saint-Vincent-de-Paul.

Le plus enthousiaste encore fut peut-être le saint curé d’Ars. Dès 1834 il fait l’acquisition d’une statue de Notre-Dame de la Médaille Miraculeuse et la place sur un tabernacle dont la porte reproduit le revers de la médaille. Le 1er mai 1836, il consacre sa paroisse à « Marie conçue sans péché ». Il devient un apôtre zélé de la Médaille Miraculeuse, et distribue avec elle des centaines d’images sur lesquelles il marque de sa main la date et le nom de ceux qui se consacrent à l’Immaculée.

En 1843, Jean-Baptiste Etienne, supérieur des Lazaristes et des Filles de la Charité, évoque les apparitions comme source du renouveau des vocations et de la ferveur nouvelle qui anime les deux familles.

En 1845, un pasteur anglican, John Newman, qui portait la médaille depuis le 22 août se convertit le 9 octobre. Il devient prêtre et cardinal. Il est canonisé en 2019.

Sainte Bernadette Soubirous portait la médaille Miraculeuse. Quand on raconte les apparitions de Lourdes à sœur Catherine Labouré, qu’on lui décrit la « belle Dame », elle dit : « C’est la même ! »

Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus portait sur elle, au Carmel, la Médaille Miraculeuse.

En 1915 naît aux Etats-Unis, à Philadelphie à l’initiative du Père Joseph Skelly, l’Apostolat marial avec la Neuvaine perpétuelle de la Médaille Miraculeuse.

Une nouvelle impulsion est donnée à la diffusion de la Médaille Miraculeuse grâce au Père Kolbe. Ce franciscain, né en Pologne, est ordonné prêtre à Rome en 1919. Il veut célébrer sa première messe à San Andrea delle Fratte où l’Immaculée a converti Alphonse Ratisbonne. En 1917, il fonde la Milice de l’Immaculée, placée sous le patronage de la Vierge de la Médaille Miraculeuse, développe un journal marial, « Le chevalier de l’Immaculée » qui connaît un succès foudroyant. En partance pour le Japon en 1930, il traverse la France et se rend rue du Bac, à Lourdes et à Lisieux. Il distribue généreusement des médailles : « Ce sont mes munitions » dit-il. Fait prisonnier au camp d’Auschwitz, il meurt martyr le 14 août 1941 en donnant sa vie en échange de celle d’un père de famille.

Aujourd’hui, des milliers de pèlerins passent rue du Bac chaque année. La Médaille Miraculeuse est répandue à travers le monde entier.

Prions 

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

O Marie conçue sans péché priez pour nous qui avons recours à vous (ter).

Ô Notre Dame de la médaille miraculeuse qui avez voulu apparaître à sainte Catherine Labouré comme la médiatrice de toutes les grâces, écoutez-moi, je vous implore !

Je remets entre vos mains maternelles toutes mes intentions, tous mes intérêts spirituels et temporels. Je vous confie la grâce que j’ose solliciter de votre bonté, vous suppliant humblement d’en parler à votre divin Fils et de lui demander de m’exaucer, si cette grâce que j’implore est bien conforme à sa volonté et au bien de mon âme.

Après avoir élevé vos mains suppliantes vers le Seigneur, daignez, ô Vierge puissante, les abaisser sur moi, m’envelopper de vos rayons de grâces afin qu’à la lumière et à la chaleur de ces rayons, mon âme se dégage des choses d’ici-bas, se purifie et marche joyeusement à votre suite, jusqu’au jour où vous m’accueillerez à la porte du ciel. Amen. 

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

https://www.youtube.com/channel/UC0Va9VhE_C2EMUaWwJtv8Og?view_as=subscriber

 

Mission de Soeur Catherine

Méditons

Cette belle mission consiste en trois choses : faire frapper la Médaille, la répandre partout et promettre de grandes grâces à tous ceux qui la porteront avec confiance.

Cette mission est parfaitement remplie. Pour le reste, la voyante doit vivre dans la plus grande humilité. Elle gardera jusqu’à la fin une répugnance invincible à faire connaître son nom. De même, elle ne peut se décider à paraître devant l’Archevêque de Paris, Mgr de Quélen, qui insiste inutilement pour la voir Pendant l’enquête canonique, elle est comme frappée d’amnésie momentanée. Elle regarde cette réserve comme voulue par la sainte Vierge et rien ne pourra jamais l’en faire sortir.

En 1876, sept à huit mois avant sa mort, elle se sent pressée de faire élever, sur le lieu des deux premières apparitions de la Médaille, un autel surmonté de la statue de la Vierge au globe dite Vierge Puissante. Elle ne doute pas que ce mouvement impérieux vient de la Vierge elle-même, mais pour réussir, elle doit parler à sa supérieure, sœur Dufès, des événements de 1830. Elle veut au préalable en demander et en obtenir la permission.

Les communications faites ainsi, en 1876, dans des circonstances très particulières, à sœur Dufès, supérieure de Reuilly, loin d’être une violation du secret jalousement gardé depuis 46 ans, en sont au contraire une heureuse confirmation. Le secret avait été imposé à la sœur pendant un demi-siècle par la sainte Vierge. C’est la sainte Vierge qui l’en dispense, après 46 ans, sept à huit mois seulement avant de la rappeler à elle.

Prions 

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

O Marie conçue sans péché priez pour nous qui avons recours à vous (ter).

Ô Notre Dame de la médaille miraculeuse qui avez voulu apparaître à sainte Catherine Labouré comme la médiatrice de toutes les grâces, écoutez-moi, je vous implore !

Je remets entre vos mains maternelles toutes mes intentions, tous mes intérêts spirituels et temporels. Je vous confie la grâce que j’ose solliciter de votre bonté, vous suppliant humblement d’en parler à votre divin Fils et de lui demander de m’exaucer, si cette grâce que j’implore est bien conforme à sa volonté et au bien de mon âme.

Après avoir élevé vos mains suppliantes vers le Seigneur, daignez, ô Vierge puissante, les abaisser sur moi, m’envelopper de vos rayons de grâces afin qu’à la lumière et à la chaleur de ces rayons, mon âme se dégage des choses d’ici-bas, se purifie et marche joyeusement à votre suite, jusqu’au jour où vous m’accueillerez à la porte du ciel. Amen. 

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

https://www.youtube.com/channel/UC0Va9VhE_C2EMUaWwJtv8Og?view_as=subscriber

 

L’apparition du 27 novembre 1830

Méditons

Dans la chapelle des Filles de la Charité, de la rue du Bac, à Paris, la veille du premier dimanche de l’Avent, samedi, 27 novembre 1830, il est 5 heures et demie du soir. Les jeunes sœurs du Séminaire commencent dans le plus profond recueillement leur oraison. La novice, sœur Catherine Labouré, est au milieu d’elles, placée du côté de l’Épître. Le plus grand silence règne dans la chapelle, toutes les jeunes sœurs prient avec ferveur. Dans ce lieu béni, déjà favorisé de deux visites de la sainte Vierge, tout porte à la piété et à l’union à Dieu.

Une sœur lit, d’une voix émue, le premier point de la méditation, puis elle se tait et rien ne trouble plus le grand silence et le recueillement profond de la communauté.

LA VIERGE AU GLOBE

Tout à coup sœur Catherine entend, sur sa droite, un bruit léger, comme le froufrou d’une robe de soie en marche. Elle lève la tête, regarde, passablement intriguée, et, presque aussitôt, voit devant elle, en face, au-dessus du petit autel, alors dédié à saint Joseph, à la hauteur du tableau du saint, la sainte Vierge telle qu’elle l’a déjà vue au mois de septembre précédent.

Elle la contemple de toute son âme. La Vierge, de taille moyenne, est debout, les pieds appuyés sur une boule blanche visible à moitié. De son pied virginal, elle écrase la tête du serpent anéanti devant elle.

Elle est vêtue d’une robe de soie blanche aurore, montante, et elle porte sur la tête un voile qui descend, de chaque côté, jusqu’en bas. Ses cheveux en bandeaux, sont retenus par un serre-tête garni d’une dentelle de trois centimètres environ. Sa belle figure, bien découverte, apparaît dans tout son éclat.

Entre les mains, élevées à la hauteur de la poitrine, elle tient d’une manière très aisée, une boule représentant le globe, qu’elle offre à Dieu. Ses yeux fixent le ciel d’un regard suppliant. Devant ce tableau merveilleux, la sœur reste comme en extase. Bientôt des anneaux, sertis de pierreries de différentes dimensions et d’un éclat varié, apparaissent aux doigts de la Vierge, et lancent de tous les côtés des faisceaux de lumière éblouissants.

La seconde phase de l’apparition se prépare.

LA MÉDAILLE.

La première phase s’est passée tout en haut, vers le ciel, dans une ardente prière et dans l’offrande du monde à Dieu. La seconde va se passer dans le bas, vers la terre, où la Vierge regardera les hommes et leur donnera avec amour sa Médaille.

Tandis que Marie se montre tout éblouissante de lumière, elle fait disparaître très doucement le globe des mains, offert à Dieu, abaisse son regard sur l’heureuse voyante et tend les bras vers le second globe, placé sous ses pieds, où est écrit le mot France. En même temps, elle fait comprendre à la sœur, que le globe représente le monde entier, la France, chaque personne en particulier. Les rayons et les flots de lumière sont le symbole des grâces répandues sur les personnes qui savent prier.

Dans cet instant de communication intime entre la Vierge et sa fidèle servante, un tableau, de forme ovale, se dessine lentement autour de l’Immaculée, et porte bientôt, en-haut, allant de la main droite à la main gauche de la Vierge et passant au-dessus de sa tête, ces paroles : 0 Marie conçue sans  péché priez pour nous qui avons recours à vous, écrites en lettres d’or.

Alors une voix se fait entendre, au fond du cœur de la voyante : « Faites, faites frapper une médaille sur ce modèle. Toutes les personnes qui la porteront indulgenciée, au cou, avec confiance, et feront avec piété cette prière, jouiront d’une protection toute spéciale de la Mère de Dieu et recevront de grandes grâces. »

Sœur Catherine lit avec une grande attention et fait sienne la prière : 0 Marie conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous. Elle écoute la voix intérieure qui lui parle, accepte de grand cœur la haute mission qui lui est confiée et contemple toutes ces transformations avec ravissement.

LE REVERS DE LA MÉDAILLE.

En un instant le tableau semble se retourner ; il montre à la voyante le revers de la Médaille qui doit être frappée, c’est le monogramme de Marie : La lettre M surmontée d’une croix, avec une barre sous la croix. Au-dessous de l’M, les saints cœurs de Jésus et de Marie, le premier couronné d’épines, le second percé d’un glaive. Tout autour douze étoiles. Tandis que sœur Catherine réfléchit sur le contenu du revers de la médaille et se demande s’il faut mettre autre chose encore que ce qu’elle a vu, une voix intérieure lui dit : « le M et les deux cœurs en disent assez ».

Le revers de la Médaille, troisième phase de l’apparition, disparaît à son tour. La vision est terminée. C’est la seconde fois que la Vierge apparaît au-dessus de l’autel de saint Joseph? Une troisième fois elle apparaîtra au-dessus du maître-autel. Les deux dernières apparitions de mars et de septembre 1831, auront lieu sans doute pendant la sainte Messe, toujours dans la même chapelle.

La phase principale de l’apparition n’est pas celle de la Vierge au globe qui prépare seulement et explique ce qui va suivre, c’est celle de la Médaille. Les dépositions dans l’enquête canonique ne laissent aucun doute à ce sujet.

Le Ciel va faire de cette Médaille l’instrument des plus grandes bénédictions spirituelles et temporelles, et il portera le peuple chrétien à l’appeler lui-même Miraculeuse. L’Église l’approuvera d’une manière générale, puis étudiera avec grand soin, les diverses circonstances de ses multiples manifestations et lui accordera une fête spéciale.

La Communauté semble avoir fait les choses d’une manière parfaite dans la chapelle des apparitions. Elle a mis à la place d’honneur, au-dessus du maître-autel, la Vierge de la Médaille, et, sur le côté, à la place des deux premières apparitions, la Vierge au globe.

Prions 

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

O Marie conçue sans péché priez pour nous qui avons recours à vous (ter).

Ô Notre Dame de la médaille miraculeuse qui avez voulu apparaître à sainte Catherine Labouré comme la médiatrice de toutes les grâces, écoutez-moi, je vous implore !

Je remets entre vos mains maternelles toutes mes intentions, tous mes intérêts spirituels et temporels. Je vous confie la grâce que j’ose solliciter de votre bonté, vous suppliant humblement d’en parler à votre divin Fils et de lui demander de m’exaucer, si cette grâce que j’implore est bien conforme à sa volonté et au bien de mon âme.

Après avoir élevé vos mains suppliantes vers le Seigneur, daignez, ô Vierge puissante, les abaisser sur moi, m’envelopper de vos rayons de grâces afin qu’à la lumière et à la chaleur de ces rayons, mon âme se dégage des choses d’ici-bas, se purifie et marche joyeusement à votre suite, jusqu’au jour où vous m’accueillerez à la porte du ciel. Amen. 

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

https://www.youtube.com/channel/UC0Va9VhE_C2EMUaWwJtv8Og?view_as=subscriber

 

La Médaille Miraculeuse

Méditons

Le nom de « médaille miraculeuse » lui a été attribué parce que l’origine de cette médaille était miraculeuse. Dès le début de sa diffusion, il a été dit que la médaille a été frappée d’après le dessin et le modèle vu par une religieuse anonyme, dans une vision. C’est pour cela que l’origine de la médaille était considérée comme miraculeuse et que la médaille prit ce nom. Par la suite, très vite, des porteurs de la médaille attribuèrent à cette médaille, et à la Vierge Marie, l’origine de grâces reçues ou de protection, souvent résumées sous le terme de miracles.

La diffusion de la médaille est très rapide : en 1834, plus de 500 000 médailles sont distribuées, en sept ans plus de 10 millions de médailles sont frappées et répandues dans le monde entier, en 1876, le cap du milliard de médailles diffusées est dépassé.

Au XXe siècle, la diffusion de la « médaille miraculeuse » connaît une nouvelle impulsion grâce à saint Maximilien-Marie Kolbe et aux mouvements qu’il suscite, ou qui se sont inspirés de son apostolat marial. De fait, ce jeune religieux des Tiers Mineurs Conventuels choisit la « médaille miraculeuse » comme le signe distinctif pour les membres de la Mission de l’Immaculée qu’il fonde à Rome en 1917.

Aujourd’hui encore, il se vend chaque année 4 millions de médailles dans la seule chapelle de la Rue du Bac.

Prions 

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

O Marie conçue sans péché priez pour nous qui avons recours à vous (ter).

Ô Notre Dame de la médaille miraculeuse qui avez voulu apparaître à sainte Catherine Labouré comme la médiatrice de toutes les grâces, écoutez-moi, je vous implore !

Je remets entre vos mains maternelles toutes mes intentions, tous mes intérêts spirituels et temporels. Je vous confie la grâce que j’ose solliciter de votre bonté, vous suppliant humblement d’en parler à votre divin Fils et de lui demander de m’exaucer, si cette grâce que j’implore est bien conforme à sa volonté et au bien de mon âme.

Après avoir élevé vos mains suppliantes vers le Seigneur, daignez, ô Vierge puissante, les abaisser sur moi, m’envelopper de vos rayons de grâces afin qu’à la lumière et à la chaleur de ces rayons, mon âme se dégage des choses d’ici-bas, se purifie et marche joyeusement à votre suite, jusqu’au jour où vous m’accueillerez à la porte du ciel. Amen. 

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

https://www.youtube.com/channel/UC0Va9VhE_C2EMUaWwJtv8Og?view_as=subscriber