Le Couronnement de Marie

En couronnant Marie, Dieu couronne ses propres dons (liturgie, préface des saints). Il est l’artisan de notre sainteté personnelle mais nous récompense de nous laisser agir par lui. Nous aurons notre couronne si, comme Marie, nous savons nous faire tout-petits et accueillir le Royaume des cieux à la manière des enfants (Matthieu 18, 3).

Charles de Foucauld a voulu rendre Jésus présent au monde en se livrant tel qu’il est à son amour, pour qu’il rayonne en lui, par lui.  En cela, il a été comme un petit enfant qui a mis toute sa confiance en son Père des cieux.

Que son exemple nous rappelle toujours que celui qui perdra sa vie, la sauvera (Marc 8, 35) et que la seule aventure qui vaille d’être vécue ici-bas, c’est celle de notre salut.

Seigneur Jésus, par Marie, par Charles de Foucauld, accordez-nous la grâce de nous donner à vous sans réserve, pour mieux nous donner à notre prochain.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

« Mon Père, je m’abandonne à toi, fais de moi ce qu’il te plaira. Quoi que tu fasses de moi, je te remercie. Je suis prêt à tout, j’accepte tout, pourvu que ta volonté se fasse en moi, en toutes tes créatures. Je ne désire rien d’autre, mon Dieu. Je remets mon âme entre tes mains. Je te la donne, mon Dieu, avec tout l’amour de mon cœur, parce que je t’aime, et que ce m’est un besoin d’amour de me donner, de me remettre entre tes mains sans mesure, avec une infinie confiance car tu es mon Père » (prière d’abandon de Charles de Foucauld).

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

L’Assomption

Quelle joie ineffable dans ce face à face de Marie avec Jésus dans le Royaume des cieux ! Essayons d’imaginer ce qu’a pu être leur rencontre. Jésus reçoit la toute-belle, celle qui ne lui a jamais rien refusé, qui s’est unie à lui jusqu’au plus intime et jusqu’au plus profond de la douleur. Avec quelle joie toute divine reçoit-il en Lui celle qui l’a porté en elle pendant neuf mois et dans son Cœur Immaculé toute sa vie. Quelle joie pour Marie de quitter cette vie et de s’unir pleinement, définitivement à son Sauveur et son Dieu. Ses désirs sont à présent comblés : elle possède Dieu, elle vit en sa présence pour toujours.

Jésus a dit « qu’il y a au ciel plus de joie pour un seul pécheur qui se convertit que pour 99 justes qui n’ont pas besoin de conversion » (Luc 15, 7). Quelle joie, quand le pécheur en question laisse la puissance ressuscitante du Christ se déployer en lui à tel point, qu’elle atteint des sommets de sainteté. Charles est à présent au Ciel. Celui qu’il a porté en lui et qui a illuminé toute sa vie de l’intérieur, qui a irradié de toute sa personne, le reçoit dans sa maison.

De là où il est, qu’il jette un regard de bonté sur nous tous encore en chemin, nous faisant ressentir douloureusement les mots de Léon Bloy : « Il n’y a qu’une tristesse, c’est de n’être pas des saints. » Oui, qu’il nous obtienne la grâce de la sainteté et rien de moins que cela !

Seigneur Jésus, par Marie, par Charles de Foucauld, accordez-nous la grâce de nous donner à vous sans réserve, pour mieux nous donner à notre prochain.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

« Mon Père, je m’abandonne à toi, fais de moi ce qu’il te plaira. Quoi que tu fasses de moi, je te remercie. Je suis prêt à tout, j’accepte tout, pourvu que ta volonté se fasse en moi, en toutes tes créatures. Je ne désire rien d’autre, mon Dieu. Je remets mon âme entre tes mains. Je te la donne, mon Dieu, avec tout l’amour de mon cœur, parce que je t’aime, et que ce m’est un besoin d’amour de me donner, de me remettre entre tes mains sans mesure, avec une infinie confiance car tu es mon Père » (prière d’abandon de Charles de Foucauld).

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

La Pentecôte

Alors qu’ils sont reclus au cénacle, l’Esprit-Saint descend sur les Apôtres, les remplit de force et de courage. Ils sortent alors de leur cachette et proclament à qui veut l’entendre, que Jésus est le Messie, qu’il est ressuscité d’entre les morts. Le jour de la Pentecôte, ils procèdent a plus de trois mille baptêmes (Actes 2, 41). Le feu de l’Esprit brûle en eux avec une telle ardeur, qu’ils partent en mission dans des pays différents où ils trouveront le martyre (à l’exception de Jean).

Soucieux de faire connaitre l’Évangile et de le rapprocher de ceux qui ne le connaissent pas, Charles de Foucauld le traduit en langue touarègue et compose même un dictionnaire, qui, aujourd’hui encore, fait référence. Se rapprocher des gens, vivre à l’image de Jésus, inculturer la foi et préparer les âmes à recevoir la parole de Dieu, voilà son mode opératoire. Il écrit : « Oh Seigneur Jésus, envoyez-nous votre Esprit, envoyez-le à tous les hommes, vos enfants, à tous les hommes pour qui vous êtes mort, à tous les hommes que vous aimez, à tous puisque vous voulez que tous vous suivent, que tous vous imitent en vous aimant, en vous obéissant, envoyez-le en particulier à tous ceux que vous avez mis plus près de moi sur la terre… »

Seigneur Jésus, par Marie, par Charles de Foucauld, accordez-nous la grâce de nous donner à vous sans réserve, pour mieux nous donner à notre prochain.

Prions

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O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

« Mon Père, je m’abandonne à toi, fais de moi ce qu’il te plaira. Quoi que tu fasses de moi, je te remercie. Je suis prêt à tout, j’accepte tout, pourvu que ta volonté se fasse en moi, en toutes tes créatures. Je ne désire rien d’autre, mon Dieu. Je remets mon âme entre tes mains. Je te la donne, mon Dieu, avec tout l’amour de mon cœur, parce que je t’aime, et que ce m’est un besoin d’amour de me donner, de me remettre entre tes mains sans mesure, avec une infinie confiance car tu es mon Père » (prière d’abandon de Charles de Foucauld).

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

L’Ascension

« Allez ! De toutes les nations faites des disciples : baptisez-les au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit, apprenez-leur à observer tout ce que je vous ai commandé. Et moi, je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin du monde » (Matthieu 28, 19-20).

Jésus invite ceux qui croient en lui, non pas à rester le regard fixé au ciel, s’affligeant de son départ, mais à proclamer joyeusement la bonne nouvelle du salut à toutes les nations. Il disparait à nos yeux mais demeure présent parmi nous par son Eucharistie, par sa parole, lorsque deux ou trois sont réunis en son nom. Où que l’on soit, Jésus est présent sous l’une de ces trois formes. Même au milieu du désert, un ermite n’est jamais seul s’il garde dans son cœur la parole de Dieu.

Charles de Foucauld a d’abord choisi la Trappe puis la vie d’ermite dans le désert. Jésus a toujours été avec lui, a vécu en lui. En vivant à son imitation, Charles a rendu Jésus présent à ceux qu’il rencontrait. S’isoler avec Jésus, ce n’est pas se couper des autres. Au contraire, se consacrer à la vie contemplative, c’est se donner à Dieu pour mieux faire connaitre Jésus-Christ et le rendre présent au monde. C’est en ce sens, que sainte Thérèse de l’Enfant Jésus est la patronne des missions alors qu’elle n’a jamais quitté son Carmel.

Seigneur Jésus, par Marie, par Charles de Foucauld, accordez-nous la grâce de nous donner à vous sans réserve, pour mieux nous donner à notre prochain.

Prions

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O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

« Mon Père, je m’abandonne à toi, fais de moi ce qu’il te plaira. Quoi que tu fasses de moi, je te remercie. Je suis prêt à tout, j’accepte tout, pourvu que ta volonté se fasse en moi, en toutes tes créatures. Je ne désire rien d’autre, mon Dieu. Je remets mon âme entre tes mains. Je te la donne, mon Dieu, avec tout l’amour de mon cœur, parce que je t’aime, et que ce m’est un besoin d’amour de me donner, de me remettre entre tes mains sans mesure, avec une infinie confiance car tu es mon Père » (prière d’abandon de Charles de Foucauld).

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

La Résurrection

Jésus dit à Nicodème qu’il « faut renaitre d’en-haut, de l’eau et de l’esprit » (Jean 3, 3-5). Là est la résurrection à laquelle Jésus nous appelle. Saint Jean ajoute : « à tous ceux qui l’ont reçu, il a donné de pouvoir devenir enfants de Dieu, eux qui croient en son nom. Ils ne sont pas nés du sang, ni d’une volonté charnelle, ni d’une volonté d’homme : ils sont nés de Dieu » (Jean 1, 12-13).

Par sa confession à l’abbé Huvelin, par la communion eucharistique qui a suivi, Charles de Foucauld est ressuscité à une vie nouvelle : il a fait son passage. Il avait 28 ans. Il est passé d’une vie de patachon à la vraie vie en Dieu. Il est né à nouveau dans le feu de l’Esprit-Saint pour vivre en enfant du Père, qu’il est, en vérité, depuis son baptême, reçu le 4 novembre 1872, jour de la fête de Charles Borromée, son saint patron.

Au Maroc, il avait été édifié par les musulmans dont il disait qu’ils vivent en permanence en présence de Dieu. Il commença à se poser des questions sur la religion et à prier en lui-même : « mon Dieu, si vous existez, faites que je vous connaisse. » En lui faisant la grâce de la conversion, Jésus semble lui adresser les mêmes paroles qu’à saint Thomas : « cesse d’être incrédule, sois croyant » (Jean 20, 27) et lui rappeler la béatitude pascale par excellence : « heureux ceux qui croient sans avoir vu » (Jean 20, 29). Charles a eu sa deuxième conversion, celle qui a été décisive, celle pour laquelle, il nous faut prier, pour que l’étincelle de la foi grandisse en nous jusqu’à devenir un brasier ardent, prêt à incendier le monde.

Seigneur Jésus, par Marie, par Charles de Foucauld, accordez-nous la grâce de nous donner à vous sans réserve, pour mieux nous donner à notre prochain.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

« Mon Père, je m’abandonne à toi, fais de moi ce qu’il te plaira. Quoi que tu fasses de moi, je te remercie. Je suis prêt à tout, j’accepte tout, pourvu que ta volonté se fasse en moi, en toutes tes créatures. Je ne désire rien d’autre, mon Dieu. Je remets mon âme entre tes mains. Je te la donne, mon Dieu, avec tout l’amour de mon cœur, parce que je t’aime, et que ce m’est un besoin d’amour de me donner, de me remettre entre tes mains sans mesure, avec une infinie confiance car tu es mon Père » (prière d’abandon de Charles de Foucauld).

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

Les Mystères Glorieux

Les mystères glorieux nous donnent de revivre le temps après la Résurrection de Jésus, de voir les Apôtres partir en mission pour porter la bonne nouvelle du salut à toute la Création et d’acclamer Marie, « la raison de toute notre espérance » (saint Bernard) dans le triomphe de son Assomption.

Les mystères glorieux nous donnent aussi de voir la puissance ressuscitante de Jésus à l’œuvre dans la vie de Charles de Foucauld, d’en tirer des enseignements pour notre édification, de solliciter son aide et son intercession. Qu’il nous obtienne de l’imiter en cette vie pour pouvoir le rejoindre dans l’autre.

Seigneur Jésus, par Marie, par Charles de Foucauld, accordez-nous la grâce de nous donner à vous sans réserve, pour mieux nous donner à notre prochain.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

« Mon Père, je m’abandonne à toi, fais de moi ce qu’il te plaira. Quoi que tu fasses de moi, je te remercie. Je suis prêt à tout, j’accepte tout, pourvu que ta volonté se fasse en moi, en toutes tes créatures. Je ne désire rien d’autre, mon Dieu. Je remets mon âme entre tes mains. Je te la donne, mon Dieu, avec tout l’amour de mon cœur, parce que je t’aime, et que ce m’est un besoin d’amour de me donner, de me remettre entre tes mains sans mesure, avec une infinie confiance car tu es mon Père » (prière d’abandon de Charles de Foucauld).

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

Le Crucifiement

« Ma vie, nul ne la prend, c’est moi qui la donne » (Jean 10, 18). Jésus s’est donné pour nous dans un acte d’amour insondable. Il avait dit : « Il n’est pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu’on aime » (Jean 15, 13). Il est allé jusqu’au bout de son amour, se livrant à la mort pour que nous, nous vivions.

« Vous êtes mes amis si vous faites ce que je vous commande » (Jean 15, 14). Qu’est-ce que Jésus nous commande ? « Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés » (Jean 15, 12).

Être l’ami de Jésus, faire ce qu’il commande, c’est se donner en lui au Père avec Marie au pied de la croix, pour mieux se donner au prochain. C’est, comme lui, donner sa vie pour sauver celle de son prochain, mourir en bénissant ceux qui vous maudissent.

Charles de Foucauld n’a semé que des bénédictions, dont les peuples du désert conservent le souvenir. Pourtant, le 1er décembre 1916, trahi par un ami (comme Jésus !) des Sénousistes se saisissent de lui. On l’assassine en lui tirant une balle dans l’oreille qui ressort par l’autre et se loge dans le mur du bastion, qu’il avait contribué à faire bâtir pour protéger les civils. Il meurt sans révolte, sans condamner ses meurtriers, dans l’offrande de lui-même pour ceux qui lui enlèvent la vie. Son seul regret : ne plus pouvoir faire tout le bien qu’il y aurait encore à faire. Comme saint Vincent de Paul, qui a tant fait, il meurt dans le regret de ne pas en avoir fait davantage. La charité nous pousse vers des limites inatteignables sans que nous renoncions à vouloir les atteindre. De là, la souffrance de ces géants de la charité qui s’affligent de ne pas en avoir fait assez.

Seigneur Jésus, par Marie, par Charles de Foucauld, accordez-nous la grâce de nous donner à vous sans réserve, pour mieux nous donner à notre prochain.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

« Mon Père, je m’abandonne à toi, fais de moi ce qu’il te plaira. Quoi que tu fasses de moi, je te remercie. Je suis prêt à tout, j’accepte tout, pourvu que ta volonté se fasse en moi, en toutes tes créatures. Je ne désire rien d’autre, mon Dieu. Je remets mon âme entre tes mains. Je te la donne, mon Dieu, avec tout l’amour de mon cœur, parce que je t’aime, et que ce m’est un besoin d’amour de me donner, de me remettre entre tes mains sans mesure, avec une infinie confiance car tu es mon Père » (prière d’abandon de Charles de Foucauld).

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

Le portement de la Croix

« Ils réquisitionnèrent Simon de Cyrène pour aider Jésus à porter la croix » (Luc 23, 26). Comme Simon, Jésus appelle chacun de nous à l’aider à porter la croix, à contribuer à son salut et à celui de son prochain.

La prière d’abandon de Charles de Foucauld exprime sa disponibilité à aider Jésus à porter la croix du salut. En se livrant à la volonté du Père, il se fait imitateur du Fils dans son offrande de Lui-même. Il prend la croix et suit Jésus sans craindre la souffrance. Il est même prêt à l’accueillir et à l’offrir si cela concourt à la gloire de Dieu et au salut des âmes. Il écrit : « Je m’abandonne à toi, fais de moi ce qu’il te plaira. Quoi que tu fasses de moi, je te remercie.  Je suis prêt à tout, j’accepte tout. Pourvu que ta volonté se fasse en moi, en toutes tes créatures, je ne désire rien d’autre, mon Dieu. » Il s’agit pour lui de porter la croix dans les sentiments d’amour de Jésus pour le Père, pour les hommes. Cet amour de Jésus, il le rendra présent jusque dans l’adversité, jusqu’au martyre.

Seigneur Jésus, par Marie, par Charles de Foucauld, accordez-nous la grâce de nous donner à vous sans réserve, pour mieux nous donner à notre prochain.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

« Mon Père, je m’abandonne à toi, fais de moi ce qu’il te plaira. Quoi que tu fasses de moi, je te remercie. Je suis prêt à tout, j’accepte tout, pourvu que ta volonté se fasse en moi, en toutes tes créatures. Je ne désire rien d’autre, mon Dieu. Je remets mon âme entre tes mains. Je te la donne, mon Dieu, avec tout l’amour de mon cœur, parce que je t’aime, et que ce m’est un besoin d’amour de me donner, de me remettre entre tes mains sans mesure, avec une infinie confiance car tu es mon Père » (prière d’abandon de Charles de Foucauld).

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

Le Couronnement d’épines

« Tu l’as dit, je suis roi, dit Jésus à Pilate, mais ma royauté n’est pas de ce monde » (Jean 18, 37).

À moins d’une grâce particulière, personne n’aurait pu imaginer que le Messie tant attendu exercerait sa royauté d’une autre manière que celle des rois de la terre, qu’il consentirait à se laisser maltraiter, ridiculiser pour nous sauver de la mort éternelle.

Jésus est un roi d’humilité. Il règne par l’amour. Il ne cherche pas à soumettre mais accueille ceux qui viennent à lui. C’est par la Croix qu’il prouve son amour. La Croix et son amour sont indissociables.

Charles de Foucauld arbore le Sacré-Cœur sur son habit. Il le porte sur sa poitrine, sur son coeur, parce que sa préoccupation est de révéler l’amour de Dieu en imitant Jésus, qui a choisi de se donner pour chacun de nous. « Mon Dieu, voilà où vous a conduit votre Cœur, voilà où vous a conduit votre amour pour nous ! … Pourquoi êtes-vous là, mon Seigneur Jésus, si ce n’est parce que Dieu a tant aimé les hommes qu’il a donné pour eux son Fils unique et voulut qu’il souffrît ainsi pour le bien de leurs âmes ? »

Seigneur Jésus, par Marie, par Charles de Foucauld, accordez-nous la grâce de nous donner à vous sans réserve, pour mieux nous donner à notre prochain.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

« Mon Père, je m’abandonne à toi, fais de moi ce qu’il te plaira. Quoi que tu fasses de moi, je te remercie. Je suis prêt à tout, j’accepte tout, pourvu que ta volonté se fasse en moi, en toutes tes créatures. Je ne désire rien d’autre, mon Dieu. Je remets mon âme entre tes mains. Je te la donne, mon Dieu, avec tout l’amour de mon cœur, parce que je t’aime, et que ce m’est un besoin d’amour de me donner, de me remettre entre tes mains sans mesure, avec une infinie confiance car tu es mon Père » (prière d’abandon de Charles de Foucauld).

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

La Flagellation

La foule hurle : « que son sang retombe sur nous et sur nos enfants » (Matthieu 27, 25). Jésus exauce la prière de la foule mais selon son projet de salut : son sang retombera sur eux mais comme une source intarissable de bénédiction.

Rendre le bien pour le mal, devenir une source de bénédiction pour ceux qui l’approchent : c’est le programme de vie de Charles de Foucauld. Le mystère de la communion des saints le marque profondément notamment la phrase : « tout ce que vous aurez fait au plus petit d’entre les miens, c’est à moi que vous l’aurez fait » (Matthieu 25, 40). À une époque où la charité se pratique pour l’essentiel envers ses semblables, Charles multiplie les œuvres de miséricorde envers les musulmans.

Seigneur Jésus, par Marie, par Charles de Foucauld, accordez-nous la grâce de nous donner à vous sans réserve, pour mieux nous donner à notre prochain.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

« Mon Père, je m’abandonne à toi, fais de moi ce qu’il te plaira. Quoi que tu fasses de moi, je te remercie. Je suis prêt à tout, j’accepte tout, pourvu que ta volonté se fasse en moi, en toutes tes créatures. Je ne désire rien d’autre, mon Dieu. Je remets mon âme entre tes mains. Je te la donne, mon Dieu, avec tout l’amour de mon cœur, parce que je t’aime, et que ce m’est un besoin d’amour de me donner, de me remettre entre tes mains sans mesure, avec une infinie confiance car tu es mon Père » (prière d’abandon de Charles de Foucauld).

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.