Les Mystères Douloureux

Méditons

Le regard de Marie va plus loin que les apparences. Si, à Pierre, qui voulait l’empêcher de se livrer aux mains des pécheurs, Jésus a dit  « passe derrière moi, Satan !… tes pensées ne sont pas celles de Dieu… »  (Matthieu 16, 23), les pensées de Marie s’élèvent au niveau de celles de Jésus. Elle se présente comme la figure de l’Eglise, qui attend dans la foi, l’espérance, l’amour, le triomphe de Jésus.

Le pagne de Jésus et les vêtements de Marie sont du même tissu. Cela ne procède pas seulement d’un souci d’esthétisme. En effet, la tunique, que Jésus a portée et qui n’a pas été déchirée, représente l’Eglise dans son unité. Marie est la figure de l’Eglise. La tradition veut que ce soit Marie, qui a réalisé la tunique de Jésus sans coutures et tout d’une pièce. On a  presque l’impression que le pagne de Jésus fait partie du manteau de Marie soulignant le lien indissoluble entre le Christ et l’Eglise…

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Sainte Marie, Mère de Dieu, gardez-moi un cœur d’enfant, pur et transparent comme une source. Obtenez-moi un cœur simple qui ne savoure pas les tristesses, un cœur magnifique à se donner, tendre à la compassion, un cœur fidèle et généreux qui n’oublie aucun bienfait et ne tienne rancune d’aucun mal. Faites-moi un cœur doux et humble, aimant sans demander de retour, joyeux de s’effacer dans un autre cœur devant votre divin Fils, un cœur grand et indomptable qu’aucune ingratitude ne ferme, qu’aucune indifférence ne lasse, un cœur tourmenté de la gloire de Jésus-Christ, blessé de son amour et dont la plaie ne guérisse qu’au ciel. Amen. (Léonce de Grandmaison)

Je vous salue, Joseph, vous que la grâce divine a comblé, le Sauveur a reposé dans vos bras et grandi sous vos yeux, vous êtes béni entre tous les hommes et Jésus, l’Enfant divin de votre virginale épouse, est béni. Saint Joseph, donné pour père au Fils de Dieu, priez pour nous dans nos soucis de famille, de santé, de travail, jusqu’à nos derniers jours, et daignez nous secourir à l’heure de notre mort. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

La résurrection de Lazare

Méditons

L’Evangile de saint Luc nous dit que Marie a retenu dans son cœur les évènements de la vie de Jésus dont elle a été témoin le témoin privilégié. Elle les a médités dans son Cœur pour en tirer un enseignement.

Tenant dans ses bras, le corps sans vie de son Fils, elle repense à la résurrection de Lazare. Elle repense aux paroles de Jésus : « cette maladie ne conduit pas à la mort, elle est pour la gloire de Dieu, afin que par elle le Fils de Dieu soit glorifié » (Jean 11, 04). Dieu avait permis la maladie, la mort de Lazare, pour faire éclater sa gloire et sa puissance. Jésus, a ramené Lazare à la vie alors qu’il était au tombeau depuis quatre jours.

Marie regarde Jésus, qui est bien plus que Lazare, attendant qu’il sorte de son tombeau. Il a le pouvoir de donner sa vie et de la reprendre. D’ailleurs, il porte déjà les vêtements du ressuscité. Son pagne est blanc et Marie a revêtu des vêtements assortis. Elle est prête à accueillir Jésus à son retour. Elle est comme ces vierges sages de la parabole, qui attendent le retour de l’époux et se tiennent prêtes à l’accueillir.

Marie, Notre-Dame de Marienthal, recevez-moi comme votre enfant et apprenez-moi la confiance en Jésus.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Sainte Marie, Mère de Dieu, gardez-moi un cœur d’enfant, pur et transparent comme une source. Obtenez-moi un cœur simple qui ne savoure pas les tristesses, un cœur magnifique à se donner, tendre à la compassion, un cœur fidèle et généreux qui n’oublie aucun bienfait et ne tienne rancune d’aucun mal. Faites-moi un cœur doux et humble, aimant sans demander de retour, joyeux de s’effacer dans un autre cœur devant votre divin Fils, un cœur grand et indomptable qu’aucune ingratitude ne ferme, qu’aucune indifférence ne lasse, un cœur tourmenté de la gloire de Jésus-Christ, blessé de son amour et dont la plaie ne guérisse qu’au ciel. Amen. (Léonce de Grandmaison)

Je vous salue, Joseph, vous que la grâce divine a comblé, le Sauveur a reposé dans vos bras et grandi sous vos yeux, vous êtes béni entre tous les hommes et Jésus, l’Enfant divin de votre virginale épouse, est béni. Saint Joseph, donné pour père au Fils de Dieu, priez pour nous dans nos soucis de famille, de santé, de travail, jusqu’à nos derniers jours, et daignez nous secourir à l’heure de notre mort. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

La multiplication des pains

Méditons

Lorsque Jésus voit cette multitude, qui est sur le point de tomber d’inanition, il dit à ses apôtres : « J’ai pitié de cette foule » (Matthieu 15, 32). Ces simples mots résument toute la rédemption. Notre pauvreté de pécheur est tellement grande, et l’amour de Jésus si dévorant, qu’il s’offre pour notre salut. Son amour est si grand, qu’il veut s’unir à nous et demeurer avec nous chaque jour de notre vie.

Marie semble nous tendre son Jésus, le Corps du Christ, comme le prêtre nous donne la sainte hostie au moment de la communion. Son regard nous invite à l’accueillir dans les mêmes dispositions de cœur à savoir avec foi et reconnaissance. Ses yeux semblent nous inviter à  rivaliser de délicatesses pour réparer, par un surcroit d’amour, les innombrables offenses faites à Jésus, le Dieu d’amour.

Marie, Notre-Dame de Marienthal, recevez-moi comme votre enfant et apprenez-moi la reconnaissance pour Jésus, réellement présent dans l’Eucharistie.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Sainte Marie, Mère de Dieu, gardez-moi un cœur d’enfant, pur et transparent comme une source. Obtenez-moi un cœur simple qui ne savoure pas les tristesses, un cœur magnifique à se donner, tendre à la compassion, un cœur fidèle et généreux qui n’oublie aucun bienfait et ne tienne rancune d’aucun mal. Faites-moi un cœur doux et humble, aimant sans demander de retour, joyeux de s’effacer dans un autre cœur devant votre divin Fils, un cœur grand et indomptable qu’aucune ingratitude ne ferme, qu’aucune indifférence ne lasse, un cœur tourmenté de la gloire de Jésus-Christ, blessé de son amour et dont la plaie ne guérisse qu’au ciel. Amen. (Léonce de Grandmaison)

Je vous salue, Joseph, vous que la grâce divine a comblé, le Sauveur a reposé dans vos bras et grandi sous vos yeux, vous êtes béni entre tous les hommes et Jésus, l’Enfant divin de votre virginale épouse, est béni. Saint Joseph, donné pour père au Fils de Dieu, priez pour nous dans nos soucis de famille, de santé, de travail, jusqu’à nos derniers jours, et daignez nous secourir à l’heure de notre mort. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

La rencontre avec la Samaritaine

Méditons

A la Samaritaine, Jésus dit : « Si tu savais le don de Dieu et qui est celui qui te demande à boire » (Jean 4, 10). Oui, si nous savions le don de Dieu, nos vies en seraient transformées…

Marie contemple son Jésus comme si elle avait tellement pénétré les desseins de Dieu, qu’elle se rend compte dans une mesure bien plus grande que nous, de toute l’ampleur du don de Dieu en Jésus-Christ, qui s’est livré pour notre salut.

Le Saint-Esprit a comblé Marie de bien plus de lumières que nous. Cependant, il ne lui a été révélé qu’une petite partie des desseins de Dieu car elle aussi devait traverser cette vie dans l’obscurité de la foi. Cela dit, personne, plus qu’elle, n’a réalisé toute l’ampleur du don de Dieu. On pourrait presque croire en la regardant, qu’en cet instant de douleur, il lui est donné de le réaliser plus encore, qu’elle en est submergée par la reconnaissance et l’émotion.

Pour cette raison, elle n’a de plus grand désir que de nous le faire connaitre. Aussi, semble-t-elle vouloir nous inviter à l’écouter quand elle murmure à nos cœurs toute la vie de Jésus. Elle semble aussi vouloir nous tendre le corps de Jésus, pour que nous l’aimions, croyions en lui et le lassions nous mener au salut qu’il nous a conquis sur le Calvaire.

Marie, Notre-Dame de Marienthal, recevez-moi comme votre enfant et donnez-moi de me laisser émouvoir par l’amour de Jésus.

Prions

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O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Sainte Marie, Mère de Dieu, gardez-moi un cœur d’enfant, pur et transparent comme une source. Obtenez-moi un cœur simple qui ne savoure pas les tristesses, un cœur magnifique à se donner, tendre à la compassion, un cœur fidèle et généreux qui n’oublie aucun bienfait et ne tienne rancune d’aucun mal. Faites-moi un cœur doux et humble, aimant sans demander de retour, joyeux de s’effacer dans un autre cœur devant votre divin Fils, un cœur grand et indomptable qu’aucune ingratitude ne ferme, qu’aucune indifférence ne lasse, un cœur tourmenté de la gloire de Jésus-Christ, blessé de son amour et dont la plaie ne guérisse qu’au ciel. Amen. (Léonce de Grandmaison)

Je vous salue, Joseph, vous que la grâce divine a comblé, le Sauveur a reposé dans vos bras et grandi sous vos yeux, vous êtes béni entre tous les hommes et Jésus, l’Enfant divin de votre virginale épouse, est béni. Saint Joseph, donné pour père au Fils de Dieu, priez pour nous dans nos soucis de famille, de santé, de travail, jusqu’à nos derniers jours, et daignez nous secourir à l’heure de notre mort. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

La pêche miraculeuse

Méditons

Pierre, un pécheur aguerri, passe pour un expert dans son domaine. Pourtant, il s’en revient bredouille de sa dernière pêche. Et ce n’est pas faute d’avoir besogné !

Or, Jésus lui demande de jeter à nouveau les filets. Pierre s’exécute et le miracle se produit. Les filets sont pleins à craquer. Parce que Pierre s’est fié à la parole de Jésus, le miracle a pu se produire.

Si Marie croit en la résurrection de Jésus, c’est parce que lui-même l’a annoncée et qu’elle s’appuie sur l’autorité de sa parole. Il a dit qu’il ressuscitera ! Ce que Jésus annonce, il l’accomplit. Aussi, elle prie avec toute la ferveur de son âme pour hâter ce retour, pour qu’il intervienne avant même le troisième jour comme annoncé. Marie semble murmurer à l’oreille de Jésus, l’appeler de toute la force de son amour pour qu’il hâte son retour. Et en effet, Jésus ressuscitera après être resté moins de deux jours dans les entrailles de la terre. La confiance fait jaillir du cœur cette prière toute-puissante, qui désarme la justice de Dieu et libère les torrents de miséricorde.

Marie, Notre-Dame de Marienthal, recevez-moi comme votre enfant et apprenez-moi à me fier à la parole de Dieu.

Prions

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O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Sainte Marie, Mère de Dieu, gardez-moi un cœur d’enfant, pur et transparent comme une source. Obtenez-moi un cœur simple qui ne savoure pas les tristesses, un cœur magnifique à se donner, tendre à la compassion, un cœur fidèle et généreux qui n’oublie aucun bienfait et ne tienne rancune d’aucun mal. Faites-moi un cœur doux et humble, aimant sans demander de retour, joyeux de s’effacer dans un autre cœur devant votre divin Fils, un cœur grand et indomptable qu’aucune ingratitude ne ferme, qu’aucune indifférence ne lasse, un cœur tourmenté de la gloire de Jésus-Christ, blessé de son amour et dont la plaie ne guérisse qu’au ciel. Amen. (Léonce de Grandmaison)

Je vous salue, Joseph, vous que la grâce divine a comblé, le Sauveur a reposé dans vos bras et grandi sous vos yeux, vous êtes béni entre tous les hommes et Jésus, l’Enfant divin de votre virginale épouse, est béni. Saint Joseph, donné pour père au Fils de Dieu, priez pour nous dans nos soucis de famille, de santé, de travail, jusqu’à nos derniers jours, et daignez nous secourir à l’heure de notre mort. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

La tempête apaisée

Méditons

A contempler la Pietà, toute la vie de Jésus finit par se déployer sous nos yeux. En effet, on se remémore, par exemple, l’épisode de la tempête en mer. Les apôtres sont embarqués avec Jésus quand survient la tempête. Elle est si violente que le bateau est près de chavirer. Pendant que les apôtres font face au déchainement des vagues, Jésus dort comme si de rien était.

La Pietà nous renvoie à cet épisode, qui a mis la confiance des apôtres à rude épreuve. En effet, Jésus semble dormir tranquillement sur les genoux de Marie, tandis qu’autour de lui, sur le Calvaire, et dans tout Jérusalem, tout est dans l’agitation. A la mort de Jésus, la terre a tremblé, le voile du temple s’est déchiré, l’obscurité est descendue sur la terre, des morts sont sortis de leurs tombeaux, la population est prise de panique et de frayeur… Or, à contempler la Pietà, on ne ressent que paix et sérénité. Les bras de Marie sont comme la barque dans laquelle Jésus dort alors qu’une tempête fait rage, et Marie semble, comme les apôtres, vouloir le réveiller pour qu’il commande aux éléments de se calmer et ramène la paix dans les âmes.

Marie, Notre-Dame de Marienthal, recevez-moi comme votre enfant et apprenez-moi la confiance en Jésus.

Prions

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O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Sainte Marie, Mère de Dieu, gardez-moi un cœur d’enfant, pur et transparent comme une source. Obtenez-moi un cœur simple qui ne savoure pas les tristesses, un cœur magnifique à se donner, tendre à la compassion, un cœur fidèle et généreux qui n’oublie aucun bienfait et ne tienne rancune d’aucun mal. Faites-moi un cœur doux et humble, aimant sans demander de retour, joyeux de s’effacer dans un autre cœur devant votre divin Fils, un cœur grand et indomptable qu’aucune ingratitude ne ferme, qu’aucune indifférence ne lasse, un cœur tourmenté de la gloire de Jésus-Christ, blessé de son amour et dont la plaie ne guérisse qu’au ciel. Amen. (Léonce de Grandmaison)

Je vous salue, Joseph, vous que la grâce divine a comblé, le Sauveur a reposé dans vos bras et grandi sous vos yeux, vous êtes béni entre tous les hommes et Jésus, l’Enfant divin de votre virginale épouse, est béni. Saint Joseph, donné pour père au Fils de Dieu, priez pour nous dans nos soucis de famille, de santé, de travail, jusqu’à nos derniers jours, et daignez nous secourir à l’heure de notre mort. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

Les mystères de la Confiance

Méditons

Il fait bon prendre son temps quand on se tient devant la Piéta et s’attarder à étudier, à interpréter chaque détail de la statue. Son image dégage une telle sérénité face à l’adversité, qu’elle  fait descendre la paix de Dieu en nos âmes. Marie tient la dépouille de son Fils entre ses bras et pourtant, elle ne trahit aucun signe d‘inquiétude, de désespérance. Au contraire ! Elle invite à la confiance en Jésus, Dieu fait homme, mort pour chacun d’entre nous. Le visage paisible de Jésus, son pagne blanc, annoncent son réveil imminent. Et Marie, la Vierge sage par excellence, est prête pour l’accueillir dans son triomphe.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Sainte Marie, Mère de Dieu, gardez-moi un cœur d’enfant, pur et transparent comme une source. Obtenez-moi un cœur simple qui ne savoure pas les tristesses, un cœur magnifique à se donner, tendre à la compassion, un cœur fidèle et généreux qui n’oublie aucun bienfait et ne tienne rancune d’aucun mal. Faites-moi un cœur doux et humble, aimant sans demander de retour, joyeux de s’effacer dans un autre cœur devant votre divin Fils, un cœur grand et indomptable qu’aucune ingratitude ne ferme, qu’aucune indifférence ne lasse, un cœur tourmenté de la gloire de Jésus-Christ, blessé de son amour et dont la plaie ne guérisse qu’au ciel. Amen. (Léonce de Grandmaison)

Je vous salue, Joseph, vous que la grâce divine a comblé, le Sauveur a reposé dans vos bras et grandi sous vos yeux, vous êtes béni entre tous les hommes et Jésus, l’Enfant divin de votre virginale épouse, est béni. Saint Joseph, donné pour père au Fils de Dieu, priez pour nous dans nos soucis de famille, de santé, de travail, jusqu’à nos derniers jours, et daignez nous secourir à l’heure de notre mort. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

L’Institution de l’Eucharistie

Méditons

« Ceci est mon corps qui est donné pour vous » (Luc 22, 19) avait dit Jésus lors de la dernière Cène. Et Marie tient dans ses bras ce corps livré par Jésus lui-même, ce corps qu’elle a donné à Jésus pour qu’il puisse le livrer en rançon pour les péchés du monde.

« Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang, qui est répandu pour vous » (Luc 22, 20) avait-il ajouté. En regardant les nombreuses plaies de Jésus et le sang qui s’en épanche, elle pense au prix de la rédemption. Vraiment, nous avons coûté cher au Seigneur…

« Faites ceci en mémoire de moi » (Luc 22, 19). Les genoux de Marie sont le premier autel de Jésus… Les bras de Marie son premier ostensoir… Le Cœur de Marie son premier Ciboire… Marie se tient comme l’Eglise, qui perpétue le sacrifice de Jésus et le rend présent à toutes les générations. Elle regarde Jésus comme dans un éternel présent…

Elle le tient comme l’Eglise, l’épouse de Jésus-Christ, enlace son époux. Il a donné sa vie pour elle et, en réponse, l’Eglise, figurée par Marie, l’aime d’une fidélité sans faille.

Le pagne de Jésus et les vêtements de Marie sont du même tissu. On a  même l’impression que le pagne de Jésus fait partie du manteau de Marie. Jésus et l’Eglise sont inséparablement unis comme le souligne le pape Benoit XVI : « Marie est tellement liée au grand mystère de l’Eglise qu’elle et l’Eglise sont inséparables, tout comme sont inséparables le Christ et elle » (Benoit XVI, 8 décembre 2005).

Marie, Notre-Dame de Marienthal, recevez-moi comme votre enfant et apprenez-moi l’amour de l’Eucharistie.

Prions

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O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Sainte Marie, Mère de Dieu, gardez-moi un cœur d’enfant, pur et transparent comme une source. Obtenez-moi un cœur simple qui ne savoure pas les tristesses, un cœur magnifique à se donner, tendre à la compassion, un cœur fidèle et généreux qui n’oublie aucun bienfait et ne tienne rancune d’aucun mal. Faites-moi un cœur doux et humble, aimant sans demander de retour, joyeux de s’effacer dans un autre cœur devant votre divin Fils, un cœur grand et indomptable qu’aucune ingratitude ne ferme, qu’aucune indifférence ne lasse, un cœur tourmenté de la gloire de Jésus-Christ, blessé de son amour et dont la plaie ne guérisse qu’au ciel. Amen. (Léonce de Grandmaison)

Je vous salue, Joseph, vous que la grâce divine a comblé, le Sauveur a reposé dans vos bras et grandi sous vos yeux, vous êtes béni entre tous les hommes et Jésus, l’Enfant divin de votre virginale épouse, est béni. Saint Joseph, donné pour père au Fils de Dieu, priez pour nous dans nos soucis de famille, de santé, de travail, jusqu’à nos derniers jours, et daignez nous secourir à l’heure de notre mort. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

La Transfiguration

Méditons

Six jours avant sa Passion, Jésus a emmené Pierre, Jacques et Jean sur le Thabor. Il leur a révélé une infime part de sa divinité : « son visage resplendit comme le soleil, et ses vêtements devinrent blancs comme la lumière » (Matthieu 17, 2). Cette confirmation de la divinité de Jésus n’a pourtant pas fortifié la foi des apôtres, sauf peut-être celle de Jean, qui s’est enfui lors de l’arrestation de Jésus, mais qui est revenu sur ses pas et a accompagné Marie sur le Calvaire.

Marie n’a pas été témoin de la Transfiguration de Jésus. Elle n’en avait pas besoin, car toujours elle a cru en lui, le Dieu tout-puissant caché sous les voiles de son humanité. Elle l’a suivi jusqu’au bout, sur le Calvaire. Maintenant, qu’elle tient son Fils mort dans les bras, son regard va plus loin que son humanité. Même s’il est horriblement mutilé, elle voit en lui le Dieu Sauveur, qui a le pouvoir de donner sa vie et de la reprendre (Jean 10, 18). Aussi, son regard n’est-il pas obscurci par l’amertume ou le poids écrasant de la désespérance, mais rempli de foi et de paix intérieure.

Marie, Notre-Dame de Marienthal, recevez-moi comme votre enfant et apprenez-moi à voir au-delà des apparences.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Sainte Marie, Mère de Dieu, gardez-moi un cœur d’enfant, pur et transparent comme une source. Obtenez-moi un cœur simple qui ne savoure pas les tristesses, un cœur magnifique à se donner, tendre à la compassion, un cœur fidèle et généreux qui n’oublie aucun bienfait et ne tienne rancune d’aucun mal. Faites-moi un cœur doux et humble, aimant sans demander de retour, joyeux de s’effacer dans un autre cœur devant votre divin Fils, un cœur grand et indomptable qu’aucune ingratitude ne ferme, qu’aucune indifférence ne lasse, un cœur tourmenté de la gloire de Jésus-Christ, blessé de son amour et dont la plaie ne guérisse qu’au ciel. Amen. (Léonce de Grandmaison)

Je vous salue, Joseph, vous que la grâce divine a comblé, le Sauveur a reposé dans vos bras et grandi sous vos yeux, vous êtes béni entre tous les hommes et Jésus, l’Enfant divin de votre virginale épouse, est béni. Saint Joseph, donné pour père au Fils de Dieu, priez pour nous dans nos soucis de famille, de santé, de travail, jusqu’à nos derniers jours, et daignez nous secourir à l’heure de notre mort. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.

L’Annonce du Royaume de Dieu

Méditons

A la Samaritaine, Jésus a dit : « Si tu savais le don de Dieu et qui est celui qui te demande à boire » (Jean 4, 10).

En tenant le corps de Jésus dans ses bras, Marie pense au grand don du Seigneur. Il a donné sa vie pour ceux qu’il aime. Elle pense à cet amour inconcevable de Dieu. Elle pense au prix que Dieu accepte de payer pour l’amour de nous, pour notre salut. Il va jusqu’à se livrer lui-même.

On peut s’étonner de la sérénité qu’exprime le visage de Marie au vu des circonstances. Elle sait, pour l’avoir proclamé, que l’amour de Dieu ne se démentira jamais, « sa miséricorde s’étend d’âge en âge sur ceux le craignent » (Luc 1, 50).

Marie, Notre-Dame de Marienthal, recevez-moi comme votre enfant et apprenez-moi la reconnaissance envers Jésus.

Prions

1 dizaine du chapelet (Notre Père… 10 Je vous salue Marie… Gloire au Père…)

O mon Jésus pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer ; conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.

Sainte Marie, Mère de Dieu, gardez-moi un cœur d’enfant, pur et transparent comme une source. Obtenez-moi un cœur simple qui ne savoure pas les tristesses, un cœur magnifique à se donner, tendre à la compassion, un cœur fidèle et généreux qui n’oublie aucun bienfait et ne tienne rancune d’aucun mal. Faites-moi un cœur doux et humble, aimant sans demander de retour, joyeux de s’effacer dans un autre cœur devant votre divin Fils, un cœur grand et indomptable qu’aucune ingratitude ne ferme, qu’aucune indifférence ne lasse, un cœur tourmenté de la gloire de Jésus-Christ, blessé de son amour et dont la plaie ne guérisse qu’au ciel. Amen. (Léonce de Grandmaison)

Je vous salue, Joseph, vous que la grâce divine a comblé, le Sauveur a reposé dans vos bras et grandi sous vos yeux, vous êtes béni entre tous les hommes et Jésus, l’Enfant divin de votre virginale épouse, est béni. Saint Joseph, donné pour père au Fils de Dieu, priez pour nous dans nos soucis de famille, de santé, de travail, jusqu’à nos derniers jours, et daignez nous secourir à l’heure de notre mort. Amen.

Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen.